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Fait de pain et d'histoire

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Fait de pain et d'histoire _
MessageSujet: Fait de pain et d'histoire Fait de pain et d'histoire EmptySam 16 Oct - 6:47

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HARRY TRISTAN AINSWORTH .&&. LYNN DAISY AUSTEN
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Un nouveau jour commence, et pour les étudiants, pas des moindres. Le samedi devait être l'une de leurs journées préférées. Pour l'enseignante que j'étais, c'était une journée qui allait être ponctuée de petits tours et détours dans les couloirs, de petits regards avec sourires sadiques à l'appui aux étudiants qui se promenaient. Mais avant tout, petit détour vers la grande salle, et bien entendu aux heures de pointe pour avoir l'œil sur la majorité de ces petits jeunes gens. J'entrais ni avec geste brusques, ni avec gestes délicats, toujours un énorme grimoire d'histoire de la magie sous le bras. A dire vrai, on aurait pu aisément me confondre avec l'enseignant de cette matière tant je la préférais à la mienne. Encore aujourd'hui, après cinq ans de bons et loyaux services à Poudlard, je me demandais pourquoi j'avais choisi cette dernière. Mais bon, encore une dizaine d'année et je changerai. Ou pas. J'avais juste l'intention de battre, voir même plus que surpasser le record de mon prédécesseur à ce poste. Record impossible à battre en histoire de la magie puisqu'il est détenu par un fantôme. J'étais intelligente, pas suicidaire. Il aurait sans doute fallu que je commence à enseigner à l'âge de cinq ans, si tant est que je puisse au moins enseigner jusqu'à mes quatre vingt-dix ans pour le battre. Du coup j'ai préféré me tourner vers quelque chose de plus réalisable.

Alors que j'avançais non sans un tout léger sourire sur mon visage, je croisais ma cousine qui faisait le voyage dans le sens contraire. Une accolade, un baiser sur la joue, deux ou trois petits mots échangés et la promesse de nous retrouver quelque part dans les couloirs pour flâner et repenser au passé. Quelques pas plus loin, un regard lancé à ma jeune sœur, qui semblait trouver un amusement certain à décortiquer la mie de son pain pendant que ses amies lorgnaient sur l'un des enseignants installés à table. Harry Tristan Ainsworth. Je ne connaissais pas Tristan que depuis quelques années, celles qu'il avait passé à enseigner ici. Non, nous étions camarades de jeux à Poudlard,pendant nos sept longues années. Je n'avais pas beaucoup parlé avec lui, mais j'appréciais sa compagnie, elle était plus reposante que celle de James ou d'Emma. J'ai contourné la table par le côté inverse au sien, pour malgré tout venir m'installer près de lui. J'ai posé mon livre sur la table avant de m'assoir, lui lançant un regard dépourvu de sentiments. Histoire de regarder quoi.

    « Je ne sais pas si elles sont attirées par ton postérieur ou bien par ton beignet, je me pose la question ... oh et puis, bonjour. »


J'ai tendu la main pour attraper un petit pain encore chaud à la vue de la fumée qui s'en échappait. avant de remplir une tasse d'un thé plutôt foncé et de me servir un verre de jus d'orange, le jus de citrouille n'étant pas à mon goût. D'un geste droit et parfait, j'ai coupé le pain pour y poser une cuillère de confiture de fraise. Le brouhahah de la salle se faisait encore plus prononcé, et je me demandai sérieusement comment les étudiants faisaient pour se comprendre. Il était vrai que nous, à leur place, soit nous venions plus tôt, soit nous venions plus tard. Jamais aux heures de pointes. James préférait car la discrétion était de mise pour préparer ses plans foireux avec Paul et Tristan. Ce n'était pas souvent une bonne idée car voir une bande de garçons parler à voix basse, même avec une fille lisant et une autre matant les postérieurs qui passaient, c'était bien souvent suspect.


Dernière édition par Lynn D. Austen le Sam 6 Nov - 12:08, édité 1 fois
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Ophélia P. Zabini
Ophélia P. Zabini

⊰ PARCHEMINS : 404
⊰ INSCRIPTION : 02/10/2010
⊰ ÂGE : 32
⊰ CRÉDITS : money honey. (c)
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⊰ PSEUDO : So'.
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MessageSujet: Re: Fait de pain et d'histoire Fait de pain et d'histoire EmptyVen 29 Oct - 4:35

    When the rain starts to pour, i'll be there for you,
      like i've been there before, you're there for me.
        i'll be there for you. the rembrandts.



La bataille était éprouvante, le duel sans merci qu’ils se livraient ne semblait pas sur le point d’être abandonné, les deux adversaires étant bien trop motivés par la victoire, et surtout par la récompense qui irait de paire.

« N’ose même pas y penser. » Grogna le garde chasse.
« J’en ai besoin. Je vais crever si je ne le prends pas. » Contra le professeur de Potions.
« Moi aussi.»

Aucun des deux n’osait esquisser le moindre mouvement, assis sur leur chaise respective. Imperturbables au chahut de la grande salle, ils se fixaient haineusement du regard. Un bleu ciel contre un noir incisif. Dans sa logique d’ancien Serpentard, la compétition ne laissait aucune possibilité à un partage équitable de la récompense tant convoitée. Une récompense exquise. C’était simple, ce donut obsédait littéralement Tristan, que cela fut ce lit de chocolat couvrant le dessus de la pâtisserie, ou les pépites multicolores qui parsemaient le beignet…Bonté divine, il s’agissait de l’un des avantages non négligeable de l’arrivée des élèves de Salem : un buffet de déjeuner à moitié américain. Et cela, le professeur de Potions le savait tout autant que le garde chasse. Aucun ne pouvait manquer une occasion pareille. Les deux gargantuas qu’ils étaient n’avaient décemment guère la force de résister à cette tentation ultime, à ce nouvel horizon qui venait apparaitre dans leurs assiettes pourtant déjà pleines. Cette torture subtile que maîtrisait avec perfection la gourmandise, les hantait plus que jamais. C’était absolument ridicule, puisque cette nouvelle gastronomie avait été adoptée dans le menu quotidien depuis la rentrée. Il ne s’agissait pas là d’une exception d’un jour, bien au contraire, ce qui accentuait évidemment l’absurdité de la situation. A la fois navrant et désopilant, Tristan avait une expression de pure détermination sur le visage. Le garde chasse n’était néanmoins pas dans un meilleur état, ce dernier aurait pu entendre la pâtisserie lui murmurer des choses coquines à l’oreille que cela n’en aurait été guère étonnant.

« Si je ne l’ai pas, je ne pourrais pas protéger le château des créatures de la forêt interdite. » Réitéra le garde chasse.
« Si je ne l’ai pas, je vais m’évanouir en pleine préparation de potions. Le chaudron explosera, et on crèvera tous par le souffle de la déflagration Adieu élèves de Salem, Beauxbâtons, Durmstrang et Poudlard. Toute une génération détruite, par ta faute. Aucune relève pour le futur, l’économie s’écroulera, et le monde sorcier britannique tombera. Le monde tel que nous le connaissons n’existera plus.» Il reprit son souffle, et chuchota d’un ton des plus sérieux, « Par ta faute. »

« Et pour un beignet...» Répondit vaguement l’adversaire.

« Hun-hun.» Acquiesça Tristan, toujours aussi concentré. L’ancien Gryffondor finit par reconnaître la défaite, permettant à l’ancien Serpentard de se ruer sur le dernier donut, sans délicatesse aucune. Le garde chasse laissa échapper un grognement de mécontentement, et poussa d’un geste brusque sa chaise, avant de disparaitre par les portes de la Grande salle. Contemplant la silhouette immense, une once de remord vint serrer le cœur du professeur de Potions. Il grimaça, et reposa lentement le dernier morceau de donut dans son assiette. Il observa quelques secondes les miettes qui jonchaient l’assiette, autour du beignet.

« J’suis con. »

Pensif, il ne remarqua aucunement l’arrivée de Lynn. Pourtant, Tristan était doté d’un don d’observation des plus aiguisés, captant toujours rapidement la démarche silencieuse de son amie. Mais il divaguait probablement beaucoup trop intensément, élaborant déjà une idée pour se faire pardonner par le garde chasse, pour ne pas sursauter en entendant la voix taquine de la belle rousse.

« Je ne sais pas si elles sont attirées par ton postérieur ou bien par ton beignet, je me pose la question ... oh et puis, bonjour. »

Tristan eu un léger sursaut en entendant la voix de son ancienne amie. Il mit un quart de seconde à comprendre ce dont elle voulait parler, et suivit le regard de Lynn jusqu’à la table des élèves, où quelques étudiantes le regardaient. Dès le début de la puberté, le jeune homme avait été mal à l’aise face à cette attention nouvelle, et encore plus en devenant professeur. Il avait rapidement géré ce malaise par les plaisanteries, blagues de petite envergure aux origines douteuses, et sous-entendus plus que suggestifs. Une fausse arrogance qui se remarquait clairement par son regard parfois embarrassé.

« Les deux étant d’une importance capitale pour le monde, je me pose aussi la question. » répondit-il, en saluant Lynn par un hochement de tête. « Et quand bien même, tu sais très bien que je n’ai d’yeux que pour toi. Mon cher et tendre postérieur t’appartient pour l’éternité.» Finit-il, tout sourire. Tout en déchirant distraitement les derniers petits morceaux de son donut, il observa un instant les gestes précis de la jeune femme, Même dans sa manière de trancher un morceau de pain, ou d’étaler de la confiture, Lynn était d’une minutie et d’une droiture à toute épreuve.
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MessageSujet: Re: Fait de pain et d'histoire Fait de pain et d'histoire EmptySam 6 Nov - 13:47

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Le morceau de pain plongé dans le thé bouillant, un souffle frais histoire d’éviter tout contact désagréable, et j’en prenais la partie humidifiée entre mes lèvres. Etant étudiante, je me suis toujours demandé ce que ça faisait d’être enseignante et de manger devant huit cent personnes. Aujourd’hui, y’a des fois où je me dis que les enseignants devraient pouvoir bénéficier d’une salle privée pour s’y pointer en robe de chambre, pas coiffés, et la tête dans le pâté. Cela ne serait pas judicieux d’arriver ainsi devant les plus jeunes. Nous manquerions sans doute d’une certaine crédibilité par la suite. Quoi que j’étais certaine que les petites demoiselles assises en face de nous et dévisageant leur maître des potions ne seraient pas contre le voir arriver en petite tenue, les cheveux en bataille. Même baillant comme un mufle, elles arriveraient à le trouver séduisant. Personnellement, j’avais déjà vu cette chose dans cette tenue … et y’a rien de plus effrayant au lever que cette vision. J’avais survécu, normal. J’étais vaccinée contre les âneries de cet homme.

Sans même le regarder, j’ai senti qu’il avait suivit mon regard pour confirmer mes dires. Tristan restera toujours Tristan. Je savais qu’il avait tendance à prendre ça à la légère, à même plaisanter avec ses élèves à ce sujet. J’étais sceptique face à ses méthodes d’enseignement, mais je devais avouer qu’elles avaient leurs qualités. Pour en revenir à ce matin, j’attendais qu’il ait fini de mirer les étudiantes pour me répondre. « Les deux étant d’une importance capitale pour le monde, je me pose aussi la question. ». Toujours aussi modeste, le Tristan. Autant dire qu’il n’avait pas changé et que, de se faire aimer par ces pauvre innocentes prudes n’allait pas aider. Je soupirais en avalant une gorgée de mon thé. « Et quand bien même, tu sais très bien que je n’ai d’yeux que pour toi. Mon cher et tendre postérieur t’appartient pour l’éternité. ». Un léger rire traversa mes lèvres quand il me fit cette révélation.

Devrais-je être heureuse ? Ravie ? Bonne question. Il me regardait, je le laissais espérer quelques instant une réponse. Ce n’était pas rare que je ne réponde pas, même ayant engagé la conversation. Tristan devait être habitué, il me connaissait depuis si longtemps maintenant. A vrai dire, ça faisait peur de savoir que nous avions vécu notre période de puberté ensemble, assis sur ces bancs de bois, et qu’aujourd’hui, nous espionnons celles de nos élèves, assis à la table des enseignants. Au passage, pour ceux que ça intéresse … c’est carrément plus classe de manger la que d’être dos à quelques uns de ses camarades, bref. Alors que mon voisin et ami s’était retourné sur les miettes de son donuts, j’ai observé son postérieur sans retenue, comme pour prouver en plus aux étudiantes que moi je pouvais le faire. J’ai grimacé légèrement, avant de passer à l’action. A travers le brouhaha de l’assemblée, ma main s’est glissée juqu’aux fesses de mon amie pour le pincer légèrement sur les parties que je pouvais atteindre de mes doigts. Bien entendu, j’avais un regard sérieux.

    « Hum, mouais … un peu flasque ton postérieur … tu aurais dû laisser ce beignet à notre pauvre garde chasse. Mais je sais comment je pourrais l’utiliser à bon escient. J’ai besoin d’un cobaye pour mon prochain cours. Tu me le prête ? »


Par crainte des représailles féminines de Poudlard, je ne me servirai pas du postérieur de Tristan pour le massacrer en cours. Non … je n’oserai pas. … Si en fait, mais bon, je me devais de rester un tant soit peu sérieuse. J’ai tapoté la joue de mon ami en guise de fin de blagues, et avec un sourire non dissimulé cette fois-ci, je suis retournée à mon thé-pain/confiture-et jus d’orange.


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MessageSujet: Re: Fait de pain et d'histoire Fait de pain et d'histoire EmptyDim 14 Nov - 3:44

    When the rain starts to pour, i'll be there for you,
      like i've been there before, you're there for me.
        i'll be there for you. the rembrandts.


Après la plaisanterie de Tristan, quelques secondes se passèrent dans le silence. Le sorcier ne s’en préoccupa pas outre mesure, connaissant parfaitement le tempérament du professeur de défense contre les forces du mal. Il avait donc repris le pitoyable gaspillage dans son assiette, inconscient du regard malicieux que Lynn avait posé sur lui, et encore moins de la main hasardeuse qui vint le pincer légèrement sur les fesses. Pris de surprise, Tristan faillit s’étrangler avec son jus de citrouille, et tourna instantanément un regard stupéfait vers la belle rousse. Il aurait voulu s’écrier un « mais tu es folle ?! Pas devant les gamines ! », car il ne se rappelait que trop bien de la dernière fois où Lynn avait osé faire un geste de ce genre. En effet, quelques jours plus tard, une Gryffondor de 18 ans ayant connaissance de la dynamique purement amicale qui liait Lynn et Tristan, avait également tenté de le toucher de la même manière que la jeune Austen. Elle était restée après la sonnerie annonçant la fin du cours de Potions, et s’était montrée bien trop amicale devant un Tristan horrifié, et qui s’était empressé d’éclaircir les choses de la façon la plus digne possible…Autant dire que l’affaire avait été des plus embarrassantes, que cela soit pour le professeur de Potions que pour l’adolescente effrontée. Cet incident ayant été gardé dans le plus grand secret, il espérait alors sincèrement qu’aucune des midinettes - qui prenaient leur petit-déjeuner et l’observaient - n’avaient remarqué la taquinerie de Lynn. Auquel cas, il devrait sans doute vérifier encore plus minutieusement, la fermeture des verrous de ses appartements.

« Hum, mouais … un peu flasque ton postérieur … » Le choc laissa place à un bref éclat d’amusement, qui détendit ses muscles crispés et le fit oublier quelques instants son embarras. Il passa une main dans ses cheveux blonds ébouriffés, écoutant ce que la jeune femme avait à ajouter. « Tu aurais du laisser ce beignet à notre pauvre garde chasse. Mais je sais comment je pourrais l’utiliser à bon escient. J’ai besoin d’un cobaye pour mon prochain cours. Tu me le prêtes ? »

« Te prêter mon beignet ? » suggéra-t-il, feignant l’innocence alors qu’elle se concentrait à nouveau sur son propre petit-déjeuner. « Mais…il est en miettes, Lynn. Comment voudrais-tu l’utiliser pour lutter contre les forces du mal ? » Tristan accompagna sa phrase d’un froncement de sourcils, un sourire en coin des plus mutins accroché sur son visage.

L’ancien Serpentard avait maintes fois utilisé cette attitude ingénue avec Lynn. Dès leur plus tendre enfance, il n’avait pas hésité une seule seconde, la jeune femme ayant cependant très rapidement compris ses supercheries. Depuis lors, il avait toujours su qu’en empruntant le chemin de la fausse innocence, l’ancienne Poufsouffle l’ignorerait comme à son habitude en guise de réponse, ou au contraire, le détruirait par une belle réplique de son cru. Il avait toujours été époustouflé par sa répartie d’ailleurs. Bien plus développée que durant leurs années étudiantes, cette répartie avait pourtant toujours été présente en elle. Et c’était l’une des raisons pour laquelle Tristan l’adorait. Elle était imprévisible, personne ne pouvait savoir la réaction impassible ou piquante que la rousse aurait dans telle ou telle situation. Mais il s’agissait également de l’une des causes principales qui le retenait de tomber sous son charme. Le jeune homme était effectivement davantage attiré par des filles plus calmes, dociles. Il n’avait pourtant certainement pas la carrure d’un dominant, Tristan appréciait tout autant les jeunes femmes se battant pour ce qu’elles pensaient être juste, il était donc bien loin d’être un de ces phallocrates qu’il haïssait tant. A y réfléchir davantage, son raisonnement en matière de gente féminine était confus, n'est-ce pas ? La seule constante qui demeurait claire était l’amitié entièrement platonique qu’il ressentait pour Lynn. Et au fond, c'était ce qui était le plus important.

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