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Al' . Pardonne-moi

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Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyDim 10 Oct - 9:19

Al' . Pardonne-moi Sean9
crédit (mmaalleenkkaa).

→ Alvaro Ernando Baldovina, dit(e)
Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Salem pour entamer sa septième année année au collège. Il/Elle est né(e) à lieu de naisance en ce beau jour qu'est le 15 août 2044 en tant que sang mêlé ; à présent il vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être très mauvais, etc. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de cerisier, mesurant trente centimètres et contenant un poil de licorne. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un chacal. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : lui, LA tenant dans ses bras, entouré de marmots. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une tombe, dans son cas.



→ the best day of my life.
( p-s: les images des mini-bannières ne représentent pas Sean Farris, pour la simple et bonne raison que je n'ai pas réussi à en trouver de belles le concernant.)

Al' . Pardonne-moi 363472450

    " Tu croyais que tous les hommes étaient fondamentalement bons, que le mal n’existait pas. Tu étais naïve, petite rose, et j’avais peur, en m’interposant à tes illusions, de briser ta fraîcheur. Tu aimais louer la bonté des gens, en omettant leurs vils penchants. J’aurais dû te le dire, pour empêcher qu’ils ne te détruisent. Qu’on ne peut avoir confiance en personne, sur cette putain de planète. Qu’ils trouveront toujours le moyen de t’anéantir, de te dépouiller de toute dignité. Que les choses sont ainsi, qu’on ne peut rien y changer. Tu pensais qu’il suffisait d’un sourire, pour que les cœurs s’adoucissent. Tu t’es fait avoir, ton arme n’était pas assez efficace. Ils te l’ont arrachée, t’ont obligée à céder, à plier. Ils ont cassé ta tige, ont souillé tes pétales. Tu as perdu l’essence qui animait ton être ; ils l’ont répandu aux quatre coins du continent, l’ont donné en pâture aux vautours. J’aurais dû te le dire, que l’espoir n’existe pas. Que ce n’est qu’un leurre pour empêcher qu’on se révolte. J’aurais dû te le dire, mais je n’ai pas su le faire.

    Mais la prochaine fois qu’ils passeront, petite sœur, je vais les prendre. Je
    vais les prendre comme ils t’ont prise... Et je les tuerai. "




Al' . Pardonne-moi 962461joos18 all feat.coca-cola
« j'étais gamin, j'étais jeune. Pour moi, vivre, c'était d'me soûler à la bière et aux femmes. »chapter I ou la juvénile innocence.




    Muaha. Légende... Italique = Souvenir et normal = Présent

    Il se souvenait. De ces moments que l’on ne prend pas en compte, de ces riens anodins qui revêtent une importance dans le futur. Il se souvenait et putain ! ça faisait mal. De se rappeler de ces jours où elle était là, avec lui, rieuse et insouciante. Où lui-même ne se préoccupait de peu de choses, sinon de faire sourire son entourage. L’homme avala une rasade de vodka, en renversa sur son torse nu. Il était une bête désespérée, assoiffée par la haine et le désir du sang. Sa rose. On lui avait enlevé sa rose et désormais, il n’était plus rien.

    Des jeux et des rires, des danses et de l’inconscience. Le sol semblait tanguer au rythme lascif de la musique alors que les bassins s’heurtaient, que les lèvres se cherchaient et que le rouge colorait les joues. Les hommes faisaient tournoyer leur partenaire ; tantôt dans les airs, tantôt dans leurs bras. Quand aux fortunées, elles se faisaient à la fois ardentes et timides, cherchant à embraser la passion qui déjà, ravageait les rangs des danseurs pour imbiber l’atmosphère d’une sensualité farouche. Assis à une table, avec l’œil avisé de celui qui en a déjà trop vu, Alvaro fumait clope sur clope. Quant à celle qui avait eu le malheur de l’accompagner, elle le fixait d’un air mauvais ; son menton se contractait farouchement et ses yeux s’acharnaient à lancer des éclairs.
    L’ami – « Tu ne me présentes pas la nouvelle? »
    Al’ – « Nah. Elle est aussi emmerdante que la précédente. »
    Elle – « L’emmerdeuse va se barrer, alors. Pauvre con. »

    Et l’effarouchée qui se lève, couvre de son manteau sa tenue impudique censée provoquer la concupiscence de cet homme qui , un sourire amusé aux lèvres, la regardait sans éprouver ne serai-ce qu’un regret en voyant la soirée ainsi écourtée.
    Al’ – « Susceptible, la mam’zelle. »
    L’ami – « Mais franchement bien roulée, par contre. »

    Un geste de la main, comme on écarte un moustique espiègle, une pensée embarrassante. Menteur est celui qui affirme ne s’intéresser qu’au cœur et salaud est celui qui déclare n’accorder de l’importance qu’à la physionomie.

    Al’ – « J’te la laisse . Si tu cours vite, t’as peut-être une chance.
    L’ami – « Oublie ça, si j’me lève, j’m’écrase par terre. »
    Al’ – « C’est quoi, ce soir? »
    L’ami – « Vodka. Et toi? »
    Al’ – « Une blonde, une très jolie blonde… »

    Le copain haussait un sourcil moqueur alors qu’Alvaro se levait, marchant avec souplesse jusqu’à sa cible. Celle-ci était assise en retrait, sa chevelure de blé répandu sur sa peau de lait, l’auréolant d’or. Elle portait une robe simple qui couvrait complètement ses genoux ; une moue boudeuse se forma sur son visage angélique lorsqu’elle vit celui qui s’approchait d’elle.

    Al’ – « Alors la frangine, on se barre? »
    Rosa – « Quand tu veux, frérot. »
    Et les deux s’éloignèrent, bras-dessous, bras-dessus, indifférents aux regards dardés sur eux.


    Al' . Pardonne-moi 498528520 all feat.coca-cola
    « y'a deux sortes de moment. Celui où on déconne, et celui où on paye pour les conneries des autres. »chapter II ou quand les choses dérapent
    Rosa - « Al’, arrête de la fixer veux-tu? Ça devient gênant. »
    L’interpellé haussa les sourcils en signe de désapprobation avant de reporter son regard sur l’étagère de livres qui lui faisait face. À quelques mètres de lui, une superbe rousse étirait ses jambes félinement, espérant capter à nouveau son attention. Le geste n’échappa pas au jeune adulte qui, aussitôt, lorgna dans la direction de ce prédateur redoutable qu’est la femme. Sa sœur lui donna un coup de coude.

    Rosa – « Y’existe des chambres pour ces choses-là. »
    Al’- « Ah c'est vrai...Depuis que Mlle sort avec Dean, elle connait très bien ces lieux...»

    Comme pour donner raison à ces paroles, l’intéressée haussa les sourcils d’un air boudeur . Le jeune homme éclata d’un léger rire avant de se lever , marchant jusqu’à la rouquine. Et le jeu débuta…Il s’appuya nonchalamment sur la table, complimenta sa tenue. Elle baissa la tête en simulant la modestie, chercha ‘la’ répartie. Celle qui, elle le croyait, le ferait tomber à genoux devant elle. L’aguicheuse s’imaginait déjà, se pavanant à son bras, alors qu’il lui susurrait à l’oreille des mots interdits, fou amoureux de sa beauté… L’écrouer dans un piège de possession, réussir là où les autres avaient échouées. Car il fallait l’admettre…Sans être inaccessible, l’italien n’était pas constant dans ses amours. La seule qui semblait pouvoir trouver grâce à ses yeux était sa sœur. Celle qu’on jalousait à tort et dont on se fait l’amie, pour s’approcher du frérot. Plan qui, souvent, fonctionnait.

    Belle - « J’ai entendu dire que tu étais un coureur. Suis-je donc une prise ? »
    Al’- « À toi de me le dire. »

    L’éphèbe étira ses lèvres en un sourire avant de tourner sa tête vers Rosa. Celle-ci, après un baiser soufflé dans sa direction, quittait la bibliothèque.

    * * *
    Des morceaux de verre jonchaient le sol. Alvaro envisagea un instant de se saisir de l’un d’eux ; il imagina la texture froide sur sa peau, goûta le sang qui coulait, sentit la vie qui le quittait… Une angoisse lui saisit alors le cœur à l’idée de mourir, une douleur sourde, atroce, encore plus terrible que celle qui le démangeait. L’homme laissa alors tomber l’arme improvisée sur le plancher avant de s’écrouler à sa suite, la tête entre les mains. Il était un couard, un faible. Et parce que la lâcheté est un crime, il s’haïssait lui-même.



    Dehors, il neigeait. La nuit tombait à l’extérieur, enveloppant le château et ses environs d’un manteau noirâtre où se confondaient parfois des flocons hagards, virginale couleur dans des taches sombres. À l’orée des bois, une femme semblable à un spectre courrait. Sa robe colorée l'enveloppait dans un tourbillon lumineux ; sur ses joues, des sillons témoignaient des larmes qui coulaient. Elle était dans ce triste état que les optimistes qualifieraient par ce sombre syntagme qu’est le désespoir et les pessimistes, de dangereux. Quant à son regard, il était braise et incendie, vent et tempête. Ses pas pressés la menèrent jusqu’à un arbre ; à ce conifère imposant, un jeune garçon dans les dix-sept ans embrassait avec fougue sa partenaire, une main experte parcourant sa peau avec hardiesse. Le fantôme éclata. Cinq…

    Rose – « Ose me dire, Al’…Ose me dire que c’est pas s’que je crois ! »

    Le rouge qui envahit les joues et la misérables qui, rajustant ses vêtements, se sauvent vers le château, laissant l’éphèbe aux prises avec une furie. Charité humaine! L’abolition de cette noble attitude poussant le riche à soutenir le pauvre et le bien-portant, à s’occuper du malade, n’est-elle pas à l’origine de cette lâcheté, de cet abandon dérisoire ? Quatre…

    Al’ – « Rose, calme-toi, ce n’était qu’… »
    Rose – « Qu’une fille ? … Et ta copine, t’en fais quoi ? Elle le sait, elle, que t’aime bien tripoter quelques conasses en dehors des heures de cours? »
    Al’ – « Nan mais… »
    Rose – « Elle le sait, que son mec est un salaud? »
    Al’ – « Bordel mais, ça va pas toi ? Occupe-toi d’tes amours, je m’occupe des-miens. »
    Rose – « T’es un sale type, Ernando. Tu m’dégoûte. »
    Al’ – « Mais tu va te taire, oui ? T’vas ameuter tout Salem là, avec tes conneries… »

    Un silence, de ceux qui confond l’homme innocent et rend fou l’homme coupable, s’installa. Alvaro remarqua alors à ce moment l’allure de sa sœur, nota qu’elle l’avait appelé par son deuxième prénom. Et parce que cette situation lui était inconnue, que l’idée que Rose lui échappasse réellement le faisait frissonner, sa figure se teinta de vanille et de pourpre. Il avait pourtant toujours cru qu'elle,savait qu’il entretenait bien des aventures, sans faire fi de son couple…Certes, elle n’avait jamais manifesté son approbation mais inversement, n’avait jamais cherché à lui faire des remontrances. Las. Il était las… Se calmer était une nécessité. Trois…

    Rose – « J’te croyais différent. »
    Al’ – Tu vas pas m’faire une scène conjugale han!

    Elle exagérait. Ce qu’il avait fait était certes, mal, mais il y avait bien pire que lui en la matière. L’italien serra les poings et les dents ; que la dispute cesse. Il détestait être ainsi en froid avec sa sœur , sentir son exaspération monter en cran à mesure que la conversation avançait. Deux…

    Rose – « Vous les gars, vous pensez tous à la même chose, pas vrai? Et si vous ne l’avez pas, vous allez voir ailleurs. »
    Al’ – « Mais arrête, putain! On croirait que t’es dingue, ma parole.
    Rose – « C’est dégueulasse, s’que tu fais. Est-ce que j’trompe mon copain, moi? »
    Ne pas céder à l'impulsion, à son agressivité... Et merde! Elle l'avait bien cherché. Un…
    Al’ – « Peut-être pas mais, lui, baise avec ta meilleure amie… »

    Zéro. It’s too late, now…



    Al' . Pardonne-moi 107t1de all feat.coca-cola
    « j'croyais que tout était éternel, que la mort, c'était pour les vieux...j'me suis trompé et bon sang! quelle chute. »chapter III ou comment vivre sans elle

    Les vacances d’été furent les jours qui suivirent. Et en cette saison qui aurait dû être belle, en ces semaines qui auraient dû être heureuses, Alvaro appris la nouvelle…L’homme ferma les yeux, massa ses tempes. Tenta de chasser ses réminiscences qui s’emparaient de son esprit, de le faire mourir, lui aussi. Le pire…Le pire, c’était de savoir qu’il aurait pu changer les choses ; qu’un soir, il avait eut ce pouvoir, celui de sauver la vie de sa rose. Cette puissance, il l’avait bafouée. Et désormais, elle était morte…Par sa faute.

    Elle lui avait donné rendez-vous dans la forêt . Pour lui, c’était le moment idéal pour se faire pardonner sa bourde, implorer son pardon. S’assurer que cette sœur, qu’Il aimait tant, se sortait bien de sa rupture. Car c’était la raison de sa colère à son égard, la veille ; avant qu’elle ne le croise, elle avait surpris son chéri en plein délit d’adultère. Or, ce détail, il ne l’avait appris que le matin et depuis, s’était insulté mentalement à maintes reprises. Il connaissait Rose, son tempérament, sa manière d’agir...Ses moyens étaient extrémistes, ses raisonnements, sous le contrôle continuel de ses émotions. Elle ne voyait pas le gris ; que du blanc et du noir. Et savoir qu’il l’avait laissé partir ainsi, bouleversée…

    Ses pas s’accélérèrent, son souffle se fît haletant. Il devait lui parler. Immédiatement. Il ne marchait plus ; il courrait. Les branches craquaient sous l’assaut brutal de ses pieds, les animaux gémissaient devant ce bruyant spectacle. Quelques mètres. Et il pourrait la voir, la serrer dans ses bras…Lui dire qu’il était un idiot , qu’il avait eu tort de lui parler ainsi…Qu’Il l’ aimait, qu’elle était l’unique femme à qui il témoignait ne serai-ce qu’un peu de respect. Que sans elle, il était perdu. Quelques mètres, et il serait assuré que sa fleur allait bien, que ses pétales étaient intactes.


    Pardonne-moi. J’ai été un connard, un salaud. Reviens, ne me laisse pas ici. C’est trop cruel, que de m’abandonner dans un monde où tu n’es pas présente.

    Elle avait mis sa robe blanche. Sans doute trouvait-elle cela poétique, cette image de pureté, avant que son âme ne rejoigne le ciel. Son corps reposait sur le sol, tordu. Son visage n’était que chagrin, sa bouche, que grimace. Ses yeux fixaient avec obstination devant-elle ; ils étaient vides, effrayants. Il se précipita aussitôt vers elle, chercha son pouls. Sortit sa baguette, lança des sorts. Mais son cœur refusait de battre, mais les sortilèges refusaient d’accomplir l’impossible. Il empoigna sa main blanchâtre, ouvrit ses doigts crispés, regardant médusé la fiole qui en tomba. Du poison. Sa sœur avait voulu mourir. Et ce que Rose veut, Rose obtient...

    Il hurlait, criait son nom. L’adolescent gesticulait comme un forcené, parlait à voix haute à cette chère défunte qui ne l'écoutait point. Les larmes envahissaient ses joues ; les râles de désespoir emplissaient le silence de la nuit. Déjà, l'homme n'était plus...Il avait cédé son humanité au profit de la douleur.



→ oh, oh, it's magic, you know.
MISE EN SITUATION. Premier diner dans la Grande Salle. Vous pénétrez dans cet univers inconnu, majestueux, où tout le monde se connait déjà, où la routine est établie. Que ressent le personnage ? Que fait-il ? Essaie-il de se lier aux autres pendant le diner ? Quelles sont ses premières impressions sur Poudlard, sur les élèves qui y étudient ? Sont-ils accueillants, le château est-il à la hauteur de ses attentes ? Ou le contraire ?Alvaro LA cherche. Celle qui pendant l'été, était là pour lui. Il se fout de tous les autres, ne remarque pas son environnement. Tout ce qui importe, c'est qu'il peut recommencer à zéro. Ces gens ne le connait pas, ces gens ne SAVENT pas...Et il y a elle. À quelque part dans ce château...

→ i am not a robot.
ton pseudo :Al' . ( aucun lien avec mon pseudo, j'vous jure. )
ton âge : En âge de conduire.
ton avatar :Sean Faris
ton avis sur sonorus : Lalala.
si je te dis what else ? tu me réponds : Que y'a une patate dans l'garde-manger. et que meeeerde, j'ai mal à la tête et j'prendrais bien un café. et que naaan, j'plagie pas, vous avez peut-être déjà vu cette fiche ailleurs parce que j'suis trop flemmard pour me retaper une fiche à chaque forum.
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Georgie Finnigan
Georgie Finnigan

⊰ PARCHEMINS : 712
⊰ INSCRIPTION : 18/09/2010
⊰ ÂGE : 30
⊰ CRÉDITS : LOLLIPOPS+ TUMBLR
⊰ ÂGE RPG : 17 YO.
⊰ PSEUDO : APPLESTORM, LULA
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9533


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JUKEBOX: KATE NASH & PAUL EPWORTH, foundations
RELATIONSHIPS:
DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 4:29

BIENVENUE. I love you
la fiche est nickel. pour la maison, tu as une préférence ?
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Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 5:18

J'aime bien gryffondor et serpentard.
( en total controverse, je sais.)
À toi de voir. =)
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Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 5:22

Bienvenuuue ! Al' . Pardonne-moi 751726
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Ophélia P. Zabini
Ophélia P. Zabini

⊰ PARCHEMINS : 404
⊰ INSCRIPTION : 02/10/2010
⊰ ÂGE : 32
⊰ CRÉDITS : money honey. (c)
⊰ ÂGE RPG : sixteen yo.
⊰ PSEUDO : So'.
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9908


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JUKEBOX:
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DOUBLE-COMPTE: Bonnie D. Callahan
Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 6:13

    Bienvenue sur le forum. I love you
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Georgie Finnigan
Georgie Finnigan

⊰ PARCHEMINS : 712
⊰ INSCRIPTION : 18/09/2010
⊰ ÂGE : 30
⊰ CRÉDITS : LOLLIPOPS+ TUMBLR
⊰ ÂGE RPG : 17 YO.
⊰ PSEUDO : APPLESTORM, LULA
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9533


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DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 6:32

Je dirais plutôt Serpentard. Validé. Al' . Pardonne-moi 461537

edit : j'ai rien dit, j'avais oublié que tu venais de Salem. Arrow
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Al' . Pardonne-moi _
MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi EmptyLun 11 Oct - 7:04

J'avais oublié moi aussi. >_<
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MessageSujet: Re: Al' . Pardonne-moi Al' . Pardonne-moi Empty

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