Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa sixième année au collège. Il est né à Birmingham en ce beau jour qu'est le 22 avril 2044 en tant que sang pur ; à présent il vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être excellent. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette bois de prunier, mesurant vingt-neuf centimètres et contenant de la poudre de croc de basilic. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'unchien. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : lui et sa petite sœur, rien que tout les deux, heureux.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une pièce, noire, vide, qui représenterait sa vie, sans humour, seul., dans son cas.
→ the best day of my life.
I. c'en était trop. on aurait dit qu'elle allait se mettre à exploser telle une cocote minute d'une minute à l'autre. vous savez, ce chaudron version moldu. vous ne voyez vraiment pas? bref, passons. « Syrius, tu te moques de moi là? » je me trouve dans la cuisine, typiquement sorcière, en la compagnie agréable de ma mère, qui elle est étrangement rouge comme une tomate. j'écoute tranquillement de la musique sur un ipod, que j'appelle boite à musique, ce qui jure horriblement avec l'univers magique qui m'entoure. je parvient tout de même à lire sur les lèvres de la femme m'ayant mis au monde. faussement surpris, je retire les écouteurs, lui faisant le coup de l'innocent, avec de gros yeux ronds. « Maman, comment peux-tu penser une telle chose? comment oserais-je? » je me pince les lèvres, tentant de refréner un fou-rire incontrôlable. ma mère, dite la sorcière raciste folle furieuse s'approche de moi, laissant tomber la casserole qu'elle était en train de faire léviter, dans un grand BAM!. ses yeux semblent fusiller les miens, comme toujours. « donnes moi ça! » dit-elle en tendant la main. je prends un air de chien battu, amenant l'objet moldu contre ma poitrine, le cachant de mes mains. ma mère n'était décidément pas mme.Patience. elle me l'arracha des mains. « hey, ça coute la peau des fesses ces trucs là! » mais sans considérer mon argument une seule seconde, elle anéantit l'objet avec son talon droit, avant de le prendre dans ses mains, et de le jeter par la fenêtre ouverte, en plein milieu de la route. « pas de ça chez moi! » je me mets à rire, comme un idiot, je l'avoue. « tu vas voir quand ton père va rentrer! » la menace de trop. BROUUH, quand le chat n'est pas là, les souris dansent. mais visiblement la souris va très bientôt se faire engloutir par le chat. c'est un risque à prendre. je me lève de la chaise sur laquelle j'étais assis, et je dis, d'un ton supérieur inhabituel. « mère, vous n'êtes qu'une ingrate! » elle se rue dans ma direction, mais je me met à courir à mon tour, et elle abandonne, comme toujours. ma plus jeune sœur, Sadélye, m'attends dans le couloir sombre. lorsqu'elle m'aperçoit, son visage se fends en un sourire qui l'illumine. elle s'amuse du fait que j'ai fait enrager ma mère, une fois de plus. c'est devenu comme une seconde nature pour moi. je prend la petite (pas si petite que ça, après tout elle a deux ans de moins que moi), dans mes bras, la ruant de bisous, tout en remontant les escalier en quête de rejoindre ma chambre. « oh, je t'aime toi, tu sais? »
II. je crois que le meilleur n'est pas de voir la tête de ma mère, indignée, de jour en jour, alors que mon père est en déplacement pendant un mois, c'est justement, de voir leurs têtes réunies, lorsque je fais des choses qui leur déplait fortement, ou que je tiens des propos qu'ils ne veulent pas tolérer. vous savez, vivre dans une famille de sangs purs, toujours en train de venter les valeurs de Serpentard, toujours en proie à une colère la plus immonde envers les moldus et les "Sangs-de-Bourbe", c'est pas si facile. je ne sais pas si ce qui me dégoute le plus, ce sont mes parents eux-même, ou la haine qu'ils perpétuent jours après jours, enrôlant deux de mes sœurs, les jumelles, alias Katherina et Alaïs. Sadélye et moi, ils nous auront pas. plutôt crever dans d'atroces souffrances que de n'être qu'un zombie à patte pensant à travers les traditions immondes de la famille Slyback. « quelle chance tu as toi! l'année prochaine tu seras à poudlard, et tu sauras vraiment à quoi ressemblent les cachots... papa ne veut jamais nous le dire! » me lance Alaïs avec un air mauvais, alors que nous sommes à table, en "famille". si vous saviez combien je la déteste cette gamine. elle et sa sœur jumelle. mes sœurs. si on m'avait dit qu'un jour, elles seraient aveuglées par notre père, incapable d'avoir leur propres opinions, je me serai enfoncé une baguette dans le crâne. c'est pitoyable cette manière qu'elles ont de prouver leur "loyauté" envers notre père. « le cachots? quels cachots? » dis-je en ricanant, les yeux rivés sur ma tarte à la citrouille. « ceux de serpentards. » renchérit Katherina. c'est là que je me mets vraiment à rire. je lève les yeux, et vois la mâchoire crispée de mon père. il serre sa fourchette comme s'il avait l'intention de l'écraser à main nue. « papa? ne me dis pas que tu fais une crise cardiaque? besoin d'un verre d'eau? un jus de citrouille? du whisky? » dis-je, comme si de rien n'était. lui me fixe toujours avec des yeux ayant des envies de meurtres. « de la tarte? » dis-je après un long silence, le regardant « Syrius. je veux bien tolérer tes folies et tes rebellions de pré-adolescent. mais les plaisanteries les meilleures sont les plus courtes. tu vas à serpentard! » je lui souris. dieu ce que je peux le trouver barbant, avec sa manie de toujours me répéter que je ne suis qu'un rigolo, que ça me passera... « tu sais, c'est pas moi qui décide. c'est le choixpeau. » on entends presque -j'ai bien dis presque- une mouche voler. sa moustache d'un noir de jais ne m'a jamais paru aussi grosse, aussi prompte à exploser d'une minute à l'autre. il est vraiment immonde, ce tapis touffu qu'il a entre le nez et la bouche. je me demande comment ma mère peut embrasser ça. EURK. « oh, que si, c'est toi qui décide, Syrius. » « le choixpeau. » « toi, Syrius. » « si je te dis que non. » il hausse le ton « je te dis que si, Syrius. » mon sourire est étincelant « on peu jouer à ça longtemps. et puis pourquoi tu agrémente chaque phrase avec mon nom, papa? je sais comment je m'appelle. » ravisant. je sens la colère monter en lui. la moustache frémit. va t-il ouvrir la bouche? va t-il se lever? va t-il me jeter un endoloris? ou peut-être me frapper à la moldu? hum, le choix est bien trop vaste. il semble être pris au dépourvu. j'ai été trop loin, je le sais, mais justement, c'est ça le meilleur dans l'histoire. « JE NE SUIS PAS EN TRAIN DE JOUER SALE GAMIN! » ha? ça aurait été drôle pourtant. je suis déçu. « rabat-joie. » pour la première fois depuis longtemps, je détourne la tête, du côté de Sadélye, qui a des yeux exorbités. un long silence s'installe. les yeux de mon père me foudroient, et moi je fais mine de rien. « papa? ta moustache est frémissante. tu es sur que tu n'as pas besoin de t'allonger? tu as une mine effroyable! »
III.POUAH! la raclée que j'ai pris ce soir là. encore une fois, ça en valait la peine. largement même. le boulet que je suis adore peser sur leur vie, comme je l'ai toujours fais depuis ma naissance. sauf que là, ça n'est même plus possible. les trois quarts de l'année, je suis à Poudlard. enfin, pour le moment, je suis dans la Grande Salle. on nous explique comment la répartition va se passer. mais moi, honnêtement, je n'en ai rien à cirer. j'ai dû faire mes adieux à ma petite sœur. dans deux ans, c'est son tour, certes, mais elle me manque déjà, tout de même. et j'ai peur. oui, peur que le bourrage de crâne intensif que mon père lui a préparé fonctionne sur elle. maintenant que je ne suis plus à la maison, personne ne peut l'aider à retomber sur terre, à reprendre ses esprits. « mais non, on ne se laissera pas embobiner par ces cons! » je n'arrive pas à croire que j'ai parlé à haute voix. trois de mes idiots de camarades se tournent vers moi, et se mettent à rire. apparemment, madame "je fais un discours interminable" venait tout juste de faire à son tour une sorte de bourrage de crâne sur le règlement. ma remarque tombe à pic. heureusement qu'elle n'a rien entendu. la vieille s'arrête, et se met à appeler des noms. YOUPI! sauf que le temps passe, et que moi, justement, je ne passe pas. un gamin boutonneux dont le nom commence par un "w", du genre " wardick" ou "warfick", je ne sais même plus, passe lui aussi. c'est moi ou le "s", c'est bien avant le "w"? alors que l'autre moche s'en va chez les Serdaigle, la vieille me toise du regard, intriguée. « le meilleur pour la fin. » dis-je, le plus naturellement du monde. « votre nom, jeune homme. » « Slyback. » « vous figurez bien sur la liste. pardonnez moi, j'ai du vous oublier. » « je suis outré! » dis-je, tout fort, en gravissant les escaliers de bois, faussement indigné. tu ne vas pas m'aimer, vieille folle! je m'assois, et on dépose sur ma tête ce chapeau immonde. on dirait qu'il lit dans mes pensées, et ça, ça me donne les frissons. en plus, avec ces centaines d'yeux rivés sur moi, je ne suis pas dans une position confortable. le pire, c'est que lorsque que le choixpeau me parle, je ne sais même pas si tout le monde entend ou si c'est juste dans ma tête. « hmuuuu... » on dit HUMM! « tes ancêtres ont tous fini à serpentard... tu as du potentiel, pourquoi ne pas t'y envoyer? » « dans tes rêves! » « je vois... les verts & argents ne te tentent pas? tu es doté d'une grand loyauté... pourquoi pas Poufsouffle? » « le jaune jure avec la couleur de mes yeux! » « bien... ton intelligence fera peut-être la différence dans ce cas... » « Serdaigle? mais j'suis pas une tête d'ampoule! » c'est moi ou le choixpeau vient d'être pris d'un fou rire? « je ne vois pas ce qu'il y a de drôle! » « je sais depuis le début où je vais t'envoyer mon garçon. le suspens n'est pas ton fort, on dirait. tu as un esprit vif, un humour à toute épreuve, un courage étonnant, et une mépris de l'autorité déconcertant. » trop de compliments... « je t'envoies donc à ... » vous vous doutez bien de la suite. non? alors laissez moi vous dire, que j'ai pris un malin plaisir à envoyer cette lettre à mes parents;
Citation :
papa, maman,
j'ai l'honneur de vous annoncer que je viens d'être reçu à GRYFFONDOR! et oui, votre tradition, vous pouvez vous la mettre où je pense. enfin, après tout, ce n'est pas comme si vous m'aviez pourri mon enfance à me rabâcher que je devais être un gentil petit garçon bien vicieux et intéressé par la magie noire pour être digne d'être votre fils. allez, sans rancunes!
veuillez agréer mes jurons les plus distingués,
votre fils adoré, Syrius
PS; ma jolie Sadélye, tu me manque énormément ♥
IV. quand je suis retourné à la maison, pour les vacances, ça, c'était amusant. mon père m'a hurlé dessus, frappé dès qu'il en a eu l'occasion, et a même lâché qu'il finirait par me lancer un endoloris un de ces jours. qu'il essaye pour voir. ma mère et les jumelles ne m'ont pas adressé la parole. tant pis. le seul point positif, ça a été ma petite Sadélye. elle, n'a en aucun cas été odieuse. elle est restée elle-même. et c'est dans ces instants là que je me suis rendu compte qu'elle restera toujours aussi dégoutée que moi par nos parents, et que jamais elle n'osera se tourner du "côté obscur de la force". comme prévu, les jumelles infernales se sont frayées vite un chemin vers Serpentard. elles sont tellement insignifiantes à mes yeux que je ne fais même plus attention à elles. les amis que je me suis fais me conviennent parfaitement, tant et si bien que je n'ai pas besoin d'elles. d'ailleurs, ça m'a paru bizarre, mais je suis populaire. oui, moi, Syrius Slyback. populaire. en gros, je vous explique, être populaire, à quoi ça consiste. être un joueur de Quidditch brillant, avoir un humour qui fait rire tout le monde, avoir des ennemis que tout le monde déteste généralement, être convoité par un paquet de demoiselles, avoir une bande d'amis géniaux et connaitre un peu tout le monde dans l'école. oui, étrangement, tout ces points, je les ai validé. mais passons. l'année qui suivit, Sadélye débarqua à Poudlard. elle atterrit chez les Gryffondors, ce que mon père n'a jamais réellement pu digérer. lorsque nous sommes rentré à la maison, durant les vacances, personne ne nous a adressé la parole. on est donc resté exclusivement tout les deux, nous, les hontes de la famille. TANT MIEUX!
V.là, je suis en cinquième année. je rentre, tout heureux, ou pas, à la maison, à Londres, pour les vacances d'été. mon père n'est pas là. c'est notre mère qui vient nous chercher. elle n'adresse pas la parole aux deux hontes de la famille, juste aux deux petites princesses, comme toujours d'ailleurs. jusque là, tout va bien, avec Sadélye, on entreprend de déplacer son lit dans ma minuscule chambre. elle n'en peut plus de dormir avec les jumelles. elle aurait dû faire ça depuis longtemps d'ailleurs, mais bon. après le "déménagement", pour faire enrager nos parents, on colle partout des images moldues, des affiches de Gryffondor, des photographies prises avec nos camarades rouges & ors (choses, que, également, nous n'avions pas eu la brillante idée d'entreprendre bien avant). on dépose aussi une grande banderole "VIVE GRYFFONDOR" juste sur notre porte. provocateurs, nous? non! bref, c'était l'extase. pas pour monsieur moustache. lorsqu'il rentre du travail, nous deux, on dort. on dirait qu'il a attendu ce moment toute sa vie, le vieux fou. « Syrius! » je mets longtemps à émerger. il fait me lever de force, m'asseyant sur le lit. « par les saintes culottes de Dumbledore, quel est ce doux personnage qui me tire de force des bras de Morphée? » dis-je, à moitié endormi. soudain, j'entends un bruit sourd, puis ma tête résonne. une douleur aiguë envahit ma joue gauche. c'est moi ou il vient juste de me frapper, l'infâme? je finis par ouvrir les yeux « d'où te vient cet accès soudain de colère, papa? » « je ne suis pas ton père! plus maintenant! » je me mets à sourire. je frappe dans mes mains, d'un air victorieux. « ha! je savais bien que j'étais le fils du facteur! maman, petite cachotière! » un nouveau bruit sourd. ma tête résonne encore. cette fois c'est ma joue droite qui en pâtit. « arrête de te foutre de moi, Syrius. compris? » « ben quoi? on voit bien que j'ai pas hérité de ta laideur maladive. je crois que je me souviens que le facteur qui passe tout les jours chez les moldus d'en face il est pas si mal alors... » je m'apprête à continuer, mais il me frappe une fois encore. et là c'est pas juste une baffe. c'est un poing. ça fait mal. « mais rooh! le prends pas mal, je suis sure que les jumelles sont les tiennes. t'as vu leurs faces de citrouille? » second coup de poing. j'entends Sadélye pousser un petit cri désespéré. « mais pourquoi tu le prends si mal? ton impuissance partielle ne choque personne! après tout c'est naturel! » et de trois! cette fois c'en est trop. sa face de rat me dégoute. je ne peux plus prétendre avoir envie de m'amuser de la situation. tout me revient en mémoire, comme un boomerang. tout ce qu'il nous a fait enduré à Sadélye et moi-même, ses allusions tordues qu'ils faisaient, en avouant avoir pris plaisir à torturer des moldus, tout ces livres de magie noire qu'il gardait bien au chaud dans sa bibliothèque, qu'il avait bien souvent expérimentés, son obsession maladive à vouloir faire de ses enfants des bons petits soldats... si vous saviez combien j'ai envie de le frapper à mon tour. de plus, je ne sais même pas pourquoi il m'a réveillé au départ. peut-être à cause de la banderole sur la porte, qui sait? je me lève d'un bond, raide comme une carotte. il est face à moi, à quelques centimètres à peine. « mais merde à la fin! cogner sur ton fils ne te fera pas oublier que t'es qu'un pauvre naze! » « comment oses-tu me parler comme ça? » « je ne suis plus ton fils, je te signale. » BAM! qu'il me frappe encore et il verra ce que ça fait un Syrius en colère. « pauvre raté! » cette fois, il n'essaye pas de recourir à sa force pour me faire du mal. il sort carrément sa baguette, et la pointe sur moi, la moustache frémissante. « ENDOLO... » HAHA! Même pas le temps de dire "RIS". Ni une ni deux, je sors ma baguette avec une vitesse incroyable -oui, c'est un jogging qui me sert de pyjama, et oui, dans ce jogging il y a une poche magique, et oui c'est là que je range madame la baguette, donc, oui, c'est pour ça que je vais plus vite que BUZZ L'ÉCLAIR. prend un expelliarmus dans les dents, vieux fou. sa baguette lui vole des mains, traverse le couloir, et je l'entends même atterrir en bas des escaliers. « même pas capable de se défendre sans l'aide de ses pouvoirs. pitoyable. » « même pas capable de faire honneur à sa famille! » se défend-il « ma famille? t'appelles ça une famille? Sadélye, c'est elle ma famille. et mes amis à Poudlard. parce que vous quatre j'appellerai plutôt ça une tartine de ratés. » « je...! » « Amiros, je t'en supplie, laisses tomber! il n'en vaut pas la peine. » dit ma mère d'une voix sifflante. tiens, je ne l'avais même pas vue celle là. « j'en ai pas fini avec toi, fils indigne. » dit-il en sortant de ma chambre. « ouais, si ça peut te faire plaisir, vas-y, installes ta pseudo-autorité. j'en ai plus rien à cirer. » d'abord, j'ai commencé à faire mes valises. parce que j'en pouvais plus! parce que je préférais dormir sous les ponts pendants le reste des vacances plutôt que de rester ici. mais Sadélye s'est mise à pleurer à chaudes larmes. elle m'a supplié de ne pas la laisser toute seule. elle m'a dit qu'elle ne pourrait pas survivre ici sans son grand frère. alors je suis resté. après tout, je n'ai jamais eu aussi soif que ce soir de l'envie de les faire enrager, ces quatre là. après tout, je l'avais, moi, mon quatuor. à nous quatre, Sadélye, Pookie -mon ours en peluche troué partout et délavé, qui me servait de confident lorsque j'allais mal-, Prongs, notre chat, et moi-même, on formait une belle équipe. et on allait certainement pas se laisser abattre par ces résidus immondes. « mais non, on ne se laissera pas embobiner par ces cons! » je souffle (j'aurais voulu dire "souffle-je, mais ça fait un tantinet prétentieux, non?) à Sadélye. tiens, ça me rappelle quelque chose. pas vous?
→ oh, oh, it's magic, you know. « t'entends ça Gavin? non mais, les américains ne sont plus ce qu'ils étaient. » « t'as raison Adrew. t'as pas honte, toi, le gnome? » je n'ai pas la moindre idée de la raison pour laquelle ces deux géants s'en prennent en cet instant précis, à un gamin de Salem, qui, visiblement, n'a rien demandé. « je... » balbutie le "gnome", en question. contre toute attente, je débarque, entre les deux caïds et le gamin. « je quoi?... je suis désolé d'avoir éveillé en vous le peu de neurones que vous avez? je ne sais pas quelle chose est la pire, votre face de bouse de dragon ou votre incapacité à vous en prendre à plus fort que vous? je me demande si vous avez vécu une période tragique pour être dans un état de décomposition mentale pareille? » dis-je, complétant les paroles du gamin, apparemment effrayé. je me tourne vers les deux "grands" qui font ma taille d'ailleurs. « vous en dites quoi les mecs? je crois que la deuxième est pas mal. » les deux brutes épaisses le regardèrent d'un air complètement surpris. « il sort d'où lui? » « c'est Syrius je ne sais plus comment. » « moi c'est Syrius Slyback, pas si enchanté que ça. » leur dis-je d'un air désolé « sur ce, moi et mon ami... » merde, je me rends compte que je ne connais pas son nom « john » me souffle t-il « ... john, nous allons vous laisser à vos occupations puériles. » ils sont tellement surpris par mon attitude qu'ils en restent bouche bée. moi et mon "ami" john nous en allons vers d'autres contrées, en quêtes d'aventures - non, je rigole, je le laisse juste en plan, après lui avoir dit de ne pas se laisser faire de la sorte.
→ i am not a robot. ton nom : Emilie ton âge : quatorze ans ton avatar : Adam Brody, l'incontournable. ton avis sur sonorus : Wooooaaa ♥ si je te dis what else ? tu me réponds : Nespresso :3
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Jeu 28 Oct - 22:21, édité 70 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 10 Oct - 4:16
Bienvenuuuuue
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 10 Oct - 5:05
THANKS Jackson
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 10 Oct - 6:35
Bienvenuuuuuuue
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 10 Oct - 6:36
Merci, Merci, Merciiiiii
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Lun 11 Oct - 8:33
Bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Jeu 14 Oct - 10:05
Welcome & bonne chance pour ta fiche Ton avatar
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Ven 15 Oct - 22:36
Merci à vous
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 1 fois
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 24 Oct - 1:17
Petit point. (pardon du double-post). Je recommence tout à zéro. J'ai senti qu'avec Essindra ça allait pas marcher. Alors on a rompu. Oui, j'en suis grandement désolée, mais c'est la vie, ça va, ça viens. Je change donc de sexe, pour vous présenter mon boulet national
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 1 fois
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Bonnie D. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 24 Oct - 3:01
Oh, le début ! J'aime. (re)Bienvenue sur le forum, et impatiente de voir la suite de ta fiche.
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 24 Oct - 3:18
Galadriel: Oh, je me sens moins seule, maintenant je sais que je ne suis pas la seule à dire "topain". Merciiiiiiii (petite danse rien que pour Xavier) Tristan: Merci beaucoup
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 1 fois
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Dim 24 Oct - 12:25
Et oui, encore un double post, mais cette fois pour annoncer que j'ai terminé ma fi-fiche edit: j'ai oublié de préciser que j'ai mis dans dans le texte la maison dans laquelle il est. j'espère que ça ne pose pas de problèmes, parce que le fait qu'il soit à Gryffondor fait partie de l'histoire, donc voilà
Dernière édition par Syrius S. Slyback le Lun 25 Oct - 0:42, édité 2 fois
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: KATE NASH & PAUL EPWORTH, foundations ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Lun 25 Oct - 3:31
Pas de problèmes pour Gryffondor, c'est là que je comptais l'envoyer anyway. Validé, j'aime ton personnage.
ps-mode-admin-qui-pour-une-fois-en-branle-quelque-chose-et-qui-essaye-d'être-stricte-et-sévère : fais néanmoins attention à certains détails de ton histoire néanmoins, par exemple, si Syrius a fait usage de la magie avant ses 17 ans, il a déjà reçu un avertissement du ministère de la magie, et le coup du "je résiste à un endoloris lancé par un sorcier expérimenté avec un expelliarmus alors que j'ai 15 ans" évite de le faire trop de fois
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Lun 25 Oct - 4:21
Merci beaucoup J'y ferai attention
Invité
Invité
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Mar 26 Oct - 9:25
BRODY *w* bienvenue ;D
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS Mar 26 Oct - 9:27
BILSON Merci ! Je veux -non, J'EXIGE- un lien !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: all you need is fun ◊ SYRIUS
all you need is fun ◊ SYRIUS
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum