Jeune homme qui nous vient tout droit de Salem pour entamer sa septième année année au collège. Il est né à Rawlings, Wyoming en ce beau jour qu'est le 23 juillet 2043 en tant que né moldu ; à présent il vit ... nulle part. Il restera à Poudlard chaque vacances. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen. Il y a quelques années maintenant, ils'est procurée une baguette faite en bois de houx, mesurant trente centimètres et contenant un ventricule de cœur de dragon. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un coyote. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : un match de rink hockey dans le monde sorcier, où il a le bonheur de retrouver dans les gradins les visages rassurants des gens qu'il aime et qui ne sont pas avec lui sur le terrain. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Tyler et sa bande, munis cette fois-ci de crosses semblables à celle qu'il a utilisé. On lui avait bien dit que ça finirait en vendetta, cette histoire.
→ oh, oh, it's magic, you know.
Ce jour-là, il avait un pansement sur le nez. Nez cassé. Le casque, c'était bien, mais il faudrait penser à des protèges-nez pour la plupart des sports. Marlon leva les yeux vers le ciel de la Grande Salle, se souvenant qu'il était en fait une imitation. Dommage, une gigantesque verrière lui aurait bien plu. On lui indiqua un endroit où s'asseoir, histoire de laisser de la place pour la répartition des premières années. Il prit place à une table, entre des gens qu'ils ne connaissaient et n'avait pas tellement envie de connaître. Ce qu'il voulait, c'était dormir. Ou rentre chez lui, peut-être. A défaut de trouver un réconfort dans l'inactivité, il prit la décision de se rabattre sur la nourriture. De toute façon, s'il prenait du gras, il le ferait fondre à grand renfort de sport. Il ne serait pas dit que les américains étaient tous obèses. On l'avait traité trois fois déjà de "yankee" pour s'amuser, et trois fois il avait répondu un "connard" murmuré, qu'il pensait sérieusement mais n'osait pas trop dire. Parce qu'un écart disciplinaire le premier jour.
Il avala une bouchée de ce qui semblait être une recette au bœuf et aux brocolis. Il reposa sa cuiller. Chercha un endroit où vomir. Bordel, mais c'était in-fect, ce truc. Comment pouvait-on servir ça sciemment, en sachant qu'on gâchait tant de nourriture d'un seul coup ? Etait-ce seulement de la nourriture ? Le bout de viande marron qui flottait dans la sauce ne l'aidait pas à trancher. Il observa les autres personnes à table. Pas besoin de chercher à entendre les conversations pour déceler un accent étranger, il suffisait de regarder tous ceux qui ne mangeaient pas. Des étrangers qui, comme lui, se demandaient comment les anglo-saxons pouvaient avaler cette ... Hem. Ce truc.
Il leur trouva d'ailleurs un teint cireux et des cheveux gras. Tous les habitués de Poudlard semblaient avoir plus de cernes les uns que les autres. Finirait-il dans le même état loqueteux qu'eux ? A cette pensée, il frissonna. Ils respiraient pas la joie de vivre, à cette table. Bon, on lui avait peut-être indiqué le pire endroit, c'est vrai. N'empêche qu'il n'avait pas confiance et ne parvint pas à se rassurer totalement en voyant un groupe qui avait l'air de s'amuser un peu plus loin. C'était un bon début. Il ne trouvait plus étranges les élèves qu'il avait entendu dans le train se lamenter d'avoir repris des kilos cet été. C'était logique. Ce qu'on servait à manger était immonde. Et puis il n'y avait que le Quidditch comme sport. Pas d'endroit où monter un club de hockey. A moins de faire du hockey sur gazon ... Non. C'était pourri, le hockey sur gazon. Pas de patins, tu cours comme un abruti derrière ta balle, crosse à la main. Pas très enthousiasmant. Il se rabattrait sur le Quidditch. Si on autorisait les nouveaux élèves à passer les tests. C'est que les anglois ne semblaient pas très heureux de voir débarquer du monde dans leur école.
Son regard se porta de nouveaux sur son assiette. Il y avait sans doute un rapport de cause à conséquence entre la nourriture résolument inhumaine et les visages hautains des habitués de Poudlard.
Ils avaient un brocoli dans le séant.
→ i am not a robot. ton pseudo : Ce sera Fantomas ton âge : Secret ! ton avatar : Nicolas Bemberg ton avis sur sonorus : J'aiiiiime ! Depuis que je cherchais un bon hp qui ait l'air de tenir la route ! Quelques rps de plus et ce serait parfait ! si je te dis what else ? tu me réponds : Ca serait plus fun avec du thé.
Dernière édition par Marlon J.Geller le Mar 12 Oct - 9:20, édité 12 fois
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: niet.
Sujet: Re: Marlon ♣ Ma crosse contre ta tête. Mar 12 Oct - 4:46
→ the best day of my life.
« Ca commence quand ? » Je crois qu’aucun gamin n’a jamais été aussi heureux d’entendre parler de Salem. Quand j’ai débarqué dans ce patelin, je m’attendais au pire. On en a vu, des gosses qui refusent d’aller dans le monde magique parce qu’ils ne veulent pas quitter leurs amis, leur famille, leur normalité. Marlon ne demandait que ça. Il m’a lancé un regard plein d’espoirs dès les premiers mots. Je pense qu’il a vu en tout premier la possibilité de sortir de son patelin. Je le comprends. Sheridan, Wyoming. A peine quinze mille habitants. Deux choix de carrière s’offrent à vous. Employé de bureau ou fermier. Les parents de Marlon avaient de grands espoirs pour lui, qui ont été un peu déçus. C’est qu’on espérait le voir reprendre l’affaire de son oncle. Fermier. A Cody. Moins de neuf mille habitants. Lui n’espérait pas.
Lindsay Frecken, professeure
« Le problème de Marlon, c’est ses fréquentations. Je parle pas des clubs sportifs de Salem. Il doit être inscrit dans plus de la moitié d’entre eux. Le sport, c’est LE truc qu’il adore. S’il n’était pas venu dans le monde sorcier, on l’aurait retrouvé dans des championnats moldus. Sa famille n’aimerait pas, évidemment. Ils ont flippé, une peur bleue de le voir partir dans le monde sorcier. Ca s’est senti. Lui, il en avait déjà assez lors de son arrivée. Ca lui a fait un bien fou de partir de son petit Wyoming. Le monde de la sorcellerie, totalement nouveau pour lui … Forcément, il a pas eu le temps et de comprendre comment utiliser la magie et s’adapter à ça, et en même temps trouver les meilleures fréquentations possibles. Il s’est lié d’amitié avec un petit groupe. Le genre sang-pur-friqué. Je ne sais pas ce qu’il fout avec eux. J’ai l’impression qu’il sert un peu d’homme de main. Ca ne me plaît pas. Faut le connaître, il est vachement sympa, au fond. »
Felicy Calloway, amie
« On lui fait comprendre. Rien de plus. Une petite intimidation. Pas vraiment méchant. On la bouscule un peu, elle comprend qu’elle n’aurait pas du me parler comme ça, et puis voilà. C’est bon, les mecs ? Marlon ? Marlon ? Mec, redescends. C’est bon ? » « Oui. » « Donc on y va, les deuxième années vont sortir de leur cours de potions. On l’intercepte. » J’étais sortie de cours quand j’ai entendu ça. Pas le temps de prévenir Georgia, à peine était-elle sortie qu’ils l’ont encerclée. Interceptée, ouais, c’est ça. J’ai cherché Marlon des yeux. Il était au milieu du groupe. Je ne le pensais pas connard à ce point. Merde, Georgia, il la voit tous les jours ou presque au club de sport. Et il a le culot de lui faire ça ? C’est un connard. Comme les autres, en fait. Je suis déçue. Je le pensais un peu au dessus du lot. Faut croire que non.
Mina Ainsworth, camarade de classe de Georgia et Marlon
« T’en reprends un peu ? » « Non. Ca va. Merci. » « T’as quel âge, Marlon ? C’est bon, une gorgée, ça va pas te tuer. Putain, tu t’amuses jamais, toi … Allez. Une gueule de bois, c’est pas grave. De toute façon, le personnel ferme les yeux et ils nous chercheront pas ici. Bois. » Tiens, ça y est, il s’y met. Je crois que le problème de Marlon, c’est qu’il n’est pas habitué à picoler. Il faut le pousser pour qu’il se lâche en soirée. Ca fait déjà plusieurs années que ça dure. Et pourtant, c’est pas qu’on n’organise pas assez de soirées … Si je le connaissais plus mal, je dirais que c’est parce qu’il vient d’un de ces petits patelins du monde moldu. Quand tout le monde te connaît, que le gérant du café se souvient de l’époque où t’étais un gamin dont la tête dépassait à peine de la table, il n’a pas envie de te vendre de l’alcool. De toute façon, tes parents verraient la différence s’il ne disait rien lors de leur partie de poker hebdomadaire où presque tout le monde se retrouve. Ca doit être mortellement chiant, ce genre d’endroits. Je suis bien content d’être dans une famille de sorciers influente, où on ne surprotège pas stupidement les enfants, et où chacun a assez de liberté et de fric pour respirer. Parfois, je me demande ce que Marlon fait dans la bande. Il fait un peu tâche, quand même. Enfin bon. Ca arrange tout le monde. On est tranquilles, il joue les hommes de main si ça lui chante, et puis voilà. « J’me sens pas bien, Tyler ... » Allons bon. Qu’est-ce qu’il supporte mal l’alcool … « Trouve un mur et mets la tête en arrière. Sinon, le doigt dans la gorge. » C’est vrai, quoi. C’est pas à moi de le babysitter.
Tyler Harrison, camarade et ami selon ses dires
« J’ai pas envie de continuer, Tyler. » « Pardon ? » « Tout ça … Cette façon de … J’sais pas … De traîner en gang … De t’éclater à traumatiser des gosses en première ou deuxième année … Et puis … Avec les cours, je peux pas réussir à suivre … Je vais foirer mes études. » D’un côté, c’est courageux de la part de Marlon de le dire. De l’autre, je trouve ça lâche de vouloir nous abandonner. Enfin … Merde … Il doit bien se rendre compte de quelque chose. Tyler n’a pas apprécié. C’est bien simple, que le type qu’il avait pris sous son aile, en oubliant qu’il était né-moldu et franchement fauché, lui dise qu’il voulait laisser tomber le groupe c’était inacceptable. Alors on ne l’a pas accepté. On lui a mené la vie dure, sous les ordres de Tyler. C’est allé de plus en plus loin. D’abord, on le bousculait gentiment. Un petit coup sur l’épaule, pas le laisser passer à la sortie d’un cours … C’est monté petit à petit. C’est bien simple, on était toujours dans le coin pour le mettre toujours sur les nerfs. On n’a jamais suivi autant d’entraînements de sports que lorsqu’on le « poursuivait ». Ses seuls moments de détente, c’était sur le terrain. Le reste du temps, on était toujours là. Sortie d’un couloir, d’une salle commune … On était là. Pour qu’il soit toujours sur ses gardes. Une fois, ça a dégénéré.
Trevor Pernston, camarade et ami
« Que je me souvienne ... je crois qu’ils ont dit … « Oh putain … On fait quoi ? Je sais pas. On se casse, pas la peine. Y aura bien quelqu’un pour le trouver ici. » enfin, je ne sais plus trop. Ca m’a suffisamment surprise pour que j’entre. Dans les toilettes des garçons, ok. J’aurais peut-être du, mais … Les types m’ont bousculée pour sortir. Je suis restée un peu hagarde, le temps de comprendre ce qu’il se passait. C’est alors que j’ai vu Marlon. Il ne bougeait pas. J’ai plongé les mains dans l’eau pour sortir sa tête. Il était évanoui. Alors j’ai appelé à l’aide …
Felicy Calloway, amie
« Je sais ce que vous pensez, Geller. Sous prétexte que je suis membre du corps éducatif, je ne peux pas comprendre vos petites histoires d’adolescent. C’est faux. J’ai très bien compris ce qui se passe. Vous êtes en pleine … Vendetta puérile. Ce que je ne peux pas comprendre, c’est pourquoi vous protégez des coupables. Vous me dites le nom de ce qui vous ont fait ça, on les punit et ils ne recommenceront plus. C’est aussi simple que ça. Alors ? » Geller lève ses yeux vers moi. Il a l’air presque calme. Ben voyons. On l’a retrouvé il y a deux heures, la tête dans une cuvette des toilettes de garçons du bâtiment. Propre, c’est une chose. N’empêche que les petits abrutis qui ont fait ça n’ont pas eu la conscience d’aller chercher du secours lorsqu’il s’est évanoui, parce qu’il manquait d’air. Bravo. Ca manquerait de noyer un camarade pour un bizutage, ou une espèce de petite vendetta … Et ça se foutrait des conséquences. « Vous auriez pu mourir, Geller. Ca ne vous fait rien ? » « … Je ne sais pas. Je crois qu’ils n’auraient pas été capables d’aller jusque là. Il faut du cran pour ça. » « Il en faut aussi pour accepter de dénoncer quelqu’un qui vous intimide. Faites-le. » « J’ai pas le cran pour ça. »
Lindsay Frecken, professeure et conseillère d’éducation
« Tu sais ce que ça représente, seize ans, pour le monde moldu ? » Je me tourne vers Marlon. Je ne vois pas pourquoi on a cette conversation, au beau milieu d'une matinée de week-end, dans un couloir. L'équipe de sport dont il fait partie a un entraînement, je l'accompagne jusqu'au terrain car j'ai prévu de retrouver une amie près du terrain. On n'a pas parlé du monde moldu. Je vois vraiment pas le rapport. « Non ». Il attend un peu avant de parler. Il y a des moments où Marlon s’arrête de parler, ne finit pas une phrase. Il n’a jamais été bavard. Le genre à agir impulsivement. « C’est le droit de conduire une voiture. ». Je ne vois toujours pas le rapport avec la situation dans laquelle nous nous trouvons. « Et ? ». Il attend encore. Cette fois, il agit différemment. J’ai l’impression qu’il pèse le pour et le contre. « Une voiture, c’est l’occasion de pas mal de responsabilités. C’est plus simple pour trouver un boulot. J’ai pas d’argent de côté, mais je trouverais un moyen de m’en faire. » Je n’ai pas confiance en sa notion du mot « responsabilité ». Nous nous arrêtons brusquement. Il s’assoit sur un muret et sort de son sac quelques affaires, celles de Hockey. De Rink Hockey, ce sport moldu pour lequel il a crée un club qui a un petit succès à Salem. Le fairplay de l’équipe plait beaucoup. En dehors du fait que l’entraînement commence dans une demi-heure, je ne comprends pas pourquoi il décide de chausser ses patins et soupèse un peu sa crosse. « J’irais pas à l’entraînement, aujourd’hui. Et ça sera doublement pas fairplay. » J’ouvre des yeux ronds. « Pardon ? ». « J’irais pas à l’entraînement. Je pourrais pas. On va me renvoyer parce que je vais faire quelque chose de très con. ». Il n’en dit pas plus, me confie son sac, saisis un peu plus fermement sa crosse et glisse vers un groupe de jeunes gens dans le couloir. Oh putain. Tyler Harrison. Marlon. Une crosse. J’aime pas le rapport de cause à conséquence que ça induit.
Felicy Calloway, amie
« On n’a pas vu venir grand-chose, les gars et moi. J’ai entendu un bruit de rollers anormal. On est pas sur un terrain, merde. Je me suis retourné. J’ai vu arriver Marlon. En tenue de hockey. Ca lui arrive souvent d’être en tenue avant les cours, quand il s’entraîne un peu plus. Normal, quoi. Avec sa crosse. Pas vraiment normal. En roller, fonçant sur nous. Pas normal du tout. Il m’a foutu un coup d’épaule et s’est jeté sur Tyler. Enfin, jeté … Disons qu’il a foncé dessus et lui a foutu un méchant coup de crosse avant de vraiment se jeter sur lui et le frapper. C’est un prof qui les a séparés. Qui a empêché Marlon de lui faire la peau, plutôt. Il s’est laissé faire, a levé les mains pour bien montrer qu’il ne frapperait plus. De toute façon, Tyler avait le visage en sang. Je crois que j’ai vu Marlon sourire. Il avait l’air satisfait. »
Trevor Pernston, camarade et ami
« Ce ne sera même pas la peine de le marquer sur votre dossier .C’est trop gros. Vous avez frappé un autre élève. Violemment. D’abord avec une crosse, puis avec vos poings. Violemment aussi. Que vous vouliez lui faire payer ce qu’il vous a fait, c’est une chose. Que vous agissiez ainsi, ça ne passera pas. Vous allez devoir quitter Salem. Peu importe celui qui a commencé. Vous l’auriez tué si on vous avait laissé faire. Et vous vous en foutez ? Vous vous croyez assez grand pour pouvoir régler vos problèmes vous-mêmes ? Vous allez avoir dix-sept ans. Vous n’êtes PAS un adulte. Et votre avenir ? Vous étiez content de partir de votre petit monde moldu, non ? Il va falloir y retourner. Salem ne pourra plus vous accueillir. Je … Je ne comprends pas. Vous venez de gâcher votre vie, Geller. Qu’est-ce que vous allez faire, maintenant ? » Il ne dit rien. Je me retrouve face à un gosse de dix-sept ans, pas vraiment conscient de ce qu’il a pu faire. Il a l’air de comprendre. Je ne sais pas s’il regrette. Je ne crois pas. Bien sûr, il sait qu’il vient de gâcher son avenir magique. Qu’en foirant ses études à Salem au lieu d’en suivre dans le monde moldu, il a aussi foiré son avenir moldu. Et il reste hagard. Pas de réaction. Pas envie de réagir. Le regard droit devant lui, vide. « Je vais retourner quelques jours chez ma famille. Saluer mes sœurs. Ensuite, je vais partir. Vers l’Est. Même au black, on doit pouvoir trouver des petits jobs. Grâce à des boulots ingrats, je devrais récolter assez pour avoir un toit au-dessus de la tête et de la nourriture dégueulasse. Il y a bien des mexicains, pas plus qualifiés que moi qui y arrivent. Je suis désolé de vous avoir déçue. » Je fouille dans les tiroirs de mon bureau. Je sais que le formulaire est là. « Postulez pour Poudlard. Votre dossier scolaire n’est pas mauvais. Je dirais que vous avez eu un écart disciplinaire en partie provoqué par le stress des examens et ce que ces camarades vous avaient fait. Que vous avez besoin d’être placé sous la tutelle d’un professeur. On ne voudrait pas de vous à Beauxbâtons ou Durmstang, mais Poudlard acceptera peut-être. »
Lindsay Frecken, professeure et conseillère d’éducation
Dernière édition par Marlon J.Geller le Mar 12 Oct - 6:21, édité 8 fois
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Sujet: Re: Marlon ♣ Ma crosse contre ta tête. Mar 12 Oct - 5:02
Le voilà débarqué sur nos écrans Bemberg est un trèèèès bon choix. Bienvenu