crédit lyvious → WEASLEY, GALADRIEL ELMIR, dit le petit merdeux Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa sixième année année au collège. Il est né à Sainte-Mangouste en ce beau jour qu'est le 13 décembre 2044 en tant que sang mêlé ; à présent il vit à Cardiff. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, il s'est procuré une baguette faite en bois de bruyère, mesurant vingt-deux virgule quatre centimètres et contenant un nerf de cœur de dragon. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un aigle blanc. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : des centaines de gens euphoriques à s'en fendre les côtes, vivant dans un monde des plus étranges et différents que celui dans lequel nous sommes présents. un tout nouvel univers, motivé par les désirs fous des sorciers les plus dingues. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. une totale noirceur apocalyptique, sans lumière, sans présence, sans bruit aucun, sans rien. le silence, les ténèbres abyssales. la fin, dans son cas.

→ the best day of my life.
Tout commença à l'heure où l'aurore darde ses rayons à travers les écharpes de brume. Je naquis en ce treize décembre, dans la vaste et verte ville qu'est Cardiff, qui imitait alors ses vieux compères par son climat humide, faussant l'ambiance de Noël par le refus catégorique de recouvrir ses contrées de ce large manteau blanc qui enthousiasme tant les enfants de tous âges.

Cadet d'une famille de deux enfants, fils d'un père à demi-vélane, petit-fils d'un homme s'étant fait mordre par le lycan Fenrir Greyback et d'une française particulièrement réputée pour sa beauté obnubilante, je suis un Weasley. J'ai remarqué que ce nom consiste parfois en un réel fardeau sur les frêles épaules de ses descendants, tandis que d'autres favorisent en porter bénéfices. Mon frère d'un an mon aîné, nommé Liven, fait partie de la première catégorie de personnes. Dès son plus jeune âge, il s'évertue à dépasser ces limites humaines pour frôler la perfection, friser le mérite le plus jouissif. Une réputation parfois falsifiée nous précède tous, des Potter aux Weasley en passant par les Londubat, Lupin et tant d'autres ; pourtant, à mes yeux, la seule chose qu'on a à faire, c'est de se montrer tels que nous sommes. Les honorables prestiges de nos aïeuls de nous appartiennent pas, la situation est grandement différente – Merlin, merci -, et de ces simples faits, c'est à notre tour, désormais, d'écrire l'histoire. Probablement une cantine plus soporifique, sans la Mort nous poursuivant à chaque recoin du monde ; toutefois, la vie dont nos parents se sont battus pour, avec pour unique rythme, les chimères adolescentes et cours de sorcellerie. C'est ça, notre vie, sans gloire ni dangers mortels. Nous n'avons plus rien à prouver, simplement cette paix à enrichir et intensifier.

Je me nomme Galadriel, un nom bien long et angélique pour un garçon tel que moi. L'espèce humaine tient à comparer chaque comportement, chaque trait de visages, chaque petite parcelle de soi à quelqu'un d'autre. Pour ma part, les similitudes que je possède semblent me ramener vers les célèbres jumeaux Weasley, Fred et George. Deux inséparables n'ayant à cœur que le rire des gens. J'ignore si mes ambitions ont autant de pureté que la leur. Je ne souhaite pas égayer un univers magique qui me paraît déjà bien serein. Ce dont je désire, c'est briser le quotidien monotone qui les attire comme de vulgaires aimants.

« Le petit merdeux », c'est comme ça, que l'on m'appelle. Dès mon plus jeune âge, j'excellais dans l'art de faire des « blagues ». Ce terme excusant pour moi n'importe quel acte, comme s'il s'agissait de l'excuse parfaite, d'un mot magique. Au début, ça fait doucement rire vos parents. Lorsqu'on a seize ans, ça commence à devenir agaçant. Je suis un intelligent, malin, stratégique et déterminé jeune homme. Je ne recule devant rien, avide de connaissances, avide de nouvelles inventions propulsant mes camarades de classe dans un monde complètement différent, où peu importe les mœurs, les responsabilités ainsi que les conséquences. Une galaxie où l'on ne fait que vivre heureux, épanoui, serein. Où peu importe votre nom, votre nez, votre taille, il n'y a qu'une chose qui prime : votre bonne humeur.

C'est de ça que je rêve depuis ma plus tendre enfance. Je souhaite réunir des gens pour un monde plus frivole. Sociable, je catalogue rapidement les individus, sachant bien vite comment les convaincre. De la manipulation ? Peut-être bien. Par la suite, je les incite dans mes aventures dignes des pires tares, leur attirant tous les problèmes possibles selon l'autorité. « Le petit merdeux », oui, c'est ça, moi. J'enchante et désillusionne. J'ai passé ma vie à faire ça. Et à Poudlard, ça n'a fait que de prendre de l'ampleur. J'ai l'âme d'un leader, un véritable cœur de lion, une détermination d'acier. Difficile de passer inaperçu, l'on me connait, l'on me suit. Mais je ne possède aucun sens moral, aucune responsabilité, et entraîne sans retenue mes amis dans les pires coups foireux possibles. Des ennuis, j'en ai eu, je leur en ai apporté, également. Mais des vrais amis, ça pardonne, non ? Et comme le dirait ce chanteur moldu des années 2000, « ça vaut bien toutes les paires de claques ». Il faut simplement qu'ils le remarquent. Qu'ils brisent leurs foutues chaînes.

Je ne demeure ainsi pas réellement le parfait compagnon de classe. J'ai beaucoup de défauts et me rapproche de procédés assez mauvais, bien que possède un cœur assez pur. Je suis celui qui sème le trouble, mais possède toujours une « bonne » raison de le faire. Celui qui ne recule devant rien, qui veut tout, souvent tout de suite. Celui qui sait y faire avec les autres. Et qui sait comment tout faire. Le hic, c'est que je ne fais pas ce que les autres attendent que je fasse, que je ne suis pas leur chemin bien tracé, préférant le mystère des voies méconnues, dans ce qui leur semble être une véritable névrose psychotique.


→ oh, oh, it's magic, you know.
« Dis-moi encore, les étudiants de Salem... ? »

Inspirant doucement l'air automnal clamant la mort imminente du printemps, je sens la brise caresser doucement mon visage, redressant les mèches de mes cheveux, tandis que je garde mes yeux doucement clos, tentant de me reposer de la veille assez mouvementée en émotions. Cette année assurait de l'imposant changement. Les autres écoles de sorcellerie fermaient, envoyant leurs protégées au collège Poudlard. A mes yeux, ça ne pouvait s'annoncer que davantage intéressant. D'autres élèves équivalaient à d'autres personnalités à explorer, d'autres connaissances à se faire, d'autres liens à se créer. On apprenait de tous, et plus l'on possédait de gens dans son répertoire, plus les futurs coups foireux s'auguraient majestueux. Pourtant, chaque pays, chaque institutions, a ses mœurs, ses coutumes. Ainsi, avant le plaisir s'imposait l'apprentissage de ces nouvelles hordes. J'en connaissais assez de Beauxbâtons pour avoir une grand-mère assez fière de son école française, tout comme sa jeune sœur Gabrielle, d'ailleurs. Mais Salem... Aucune information bien concise à ce sujet.

« Salem est une des premières académie magique des Etats-Unis, fondée en 1644 par Dorothy Eames. Elle est située dans les montagnes, à l'est de Salem, en Caroline du Nord. Comme la plupart des institutions magiques, elle est... Ou était, extrêmement protégée, et non reconnaissables des moldus. Elle fut créée par dix-neuf étudiants et s'étend sur vingt-deux bâtiments sur plus de 100 acres. »

Je souris doucement, m'en fichant un peu de la géographie et l'histoire de l'école. Ce qui m'intéressait, c'était les gens. Après tout, on n'allait pas étudier avec des chandeliers, des tables et des murs américains... Quoi que, à la vue de certains... Enfin bref, sentant non sans difficultés le regard fixe sur mon visage de mon interlocutrice, celle-ci continue, comme encouragée de ma moue.

« Selon le journal personnel de Eames, les dix-neufs étudiants étaient Arthur Middlebrook, Llewellyn Kerr, Edmund Taylor, Abigail Whitehurst, Sophia Cabot... »

J'ouvre un œil, entendant ce qui me semble être un gémissement craintif de la part d'un élève. Un première année, de Salem, visiblement. Stoïque, j'observe la scène tandis que la jeune femme à mes côtés me récite le recueil qu'elle a apparemment engloutit goulument.

« Oh, et ils ont six ans d'études. »
« Six ans ?! Nom d'une goule édentée... »

Je fronce les sourcils. Il n'y a franchement rien d'intéressant à tirer sur cette école. Le seul moyen qu'il me reste consistera à apprivoiser ces américains à l'accent nasal. J'extirpe ma fine baguette de la poche de ma robe de sorcier et, d'un geste vif comme gracieux, fait apparaître un furoncle immense sur la joue du pauvre première année étranger. Dégoutés et désopilés, ses assaillants finissent par déguerpir, tandis que paniqué, l'élève retient non sans difficultés ses larmes, tâtant frénétiquement sa joue. Si ce n'est pas mignon, à cet âge-là. Maître d'un calme hors-du-commun tandis que mes amis s'esclaffent, à la fois choqués et impressionnés par mon culot, j'appelle d'une voix forte.

« Eh, petit ! »

Peu rassuré, le garçon demeure en mode stationnaire, probablement terrifié de Poudlard jusqu'à la fin de la... semaine. Ce soir, je l'imaginais bien envoyer une longue lettre tremblante et humide à ses parents, reniant être un sorcier ou quoi que ce soit d'autre lui permettant de déguerpir vite fait bien fait de cette sacrée Angleterre. Je tâte le gazon entre moi et le dictionnaire vivant, un sourire amical étirant mes lèvres, dans un charme inexplicable.

« Viens ! Viens t'asseoir avec nous. On n'est pas méchants... »

Argument stupide, mais que dire à un gamin de onze ans ? A cet âge-là, ça m'aurait suffit. Bien qu'avouons-le, à onze ans, j'étais déjà pas très net... Le frêle garçonnet finit par saisir à deux mains son courage et s'installe mécaniquement à mes côtés – bien que vivement motivé par l'arrivée de cinquième année en grand nombre -. Je lui souris doucement, avant de pointer de l'extrémité de ma baguette sa joue immonde, sous un gémissement sur-aigüe terrifié de sa part.

« Bouge pas. »

Je marmonne l'incantation et le visage joufflue du Salem reprend son allure initiale. Suffisant, je rétorque :

« Tu vois, j't'avais dit, on n'est pas méchants. »

Le môme tâte aussi frénétiquement qu'il y avait quelques minutes auparavant sa joue, un sourire s'apparentant davantage du rictus ornant son visage. Satisfait, le triomphe illuminant mes pupilles sous les rires étouffés de mes congénères, je déclare solennellement.

« Désormais, tu m'es redevable. Si tu m'racontais Salem. »

Soudainement propulsé vers un mélange de joie et méfiance, le petit prononce les premiers mots d'un long récit sur ce qui lui semblera être l'essentiel à propos des États-Unis et de son vieil institut du Massachusetts. L'année promet d'être riche en (més)aventures.

→ i am not a robot. ton pseudo : muhaha ton âge : dix-neuf ans ton avatar : xavier samuel ton avis sur sonorus : je vous hais. à cause de vous, j'suis déjà devenu accro T.T en somme, il est superbe par contre, j'avoue que ça fait un étrange manque sans chatbox, en prolixe que je suis si je te dis what else ? tu me réponds : whatever.

BIENVENUE
Encore un couzin

le petit merdeux

Bienvenuuu

Bienvenuue

Merci à vous

Mon frrrrrrrrèèèèèèèèèèère !
Dans mes bras

Bienvenue sur le forum =D

Ehp, welcome !

BIENVENUE
bonne chance pour la suite de ta fiche x).

Liven
Merci à vous
Désolé pour le retard, je me booste pour finir ma fiche très bientôt :)

Merci, je t'aime aussiiiii

Je pense avoir terminé ma fiche. En espérant qu'elle soit correcte

La fiche est parfaite. une préférence pour la maison ?
Au début, je pensais Serdaigle, mais au final, j'ai des doutes...

Han, merci beaucoup

Hé bien, honnêtement, je me demandais bien où il pourrait être casé, le petit... Je n'ai pas franchement de préférences, bien que j'aime beaucoup Serdaigle

Ben il irait clairement pas à Serpentard, mais il a la soif de savoir, d'en apprendre sur les gens qui pourrait aller à Serdaigle, la témérité de Gryffondor et et l'intégrité des Poufsouffle
J'hésite surtout entre Serdaigle et Gryffondor, mais si Serdy te convient pour Galadriel, c'est bon

Haha, oui, j'suis bien d'accord avec toi :)

Hé bien... J'aime beaucoup Serdaigle, et il pourrait y coller pour plusieurs facettes jusqu'à son large côté déjanté - rien qu'à voir avec son plus grand souhait xD -, mais c'est sûr que Gryffondor pourrait être bien joué avec la "tradition" des vieux Weasley et le fait que son frère soit à Serpentard. Et étant donné qu'ils sont pas vraiment similaires, et que Galadriel admire assez les jumeaux Weasley, être à Gryffondor, ça serait comique.

*Indécision powaa*

Tu peux me faire la surprise entre les deux ?

KEUPINE ÉTERNELLE INDÉCISE
Bon, j'ai relu ta fiche encore pour me décider, et finalement ce sera... roulement de tambour...
Gryffondor.

(quoi ? moi, avoir hâte de voir une confrontation entre brothers ? du tout )

Yeaaaaaaaaaah !

Merci beaucoup !

Geo fouteuse de merde

Mon frère, ce cliché xD

t'aaaaime Liven