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After a fire of hell, it remains only ASHES

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After a fire of hell, it remains only ASHES  _
MessageSujet: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 9:13

After a fire of hell, it remains only ASHES  Tumblr_l8g0dx1k9S1qbpl7no1_500
crédit (ivefallenfromgrace. ).

→ LEAVITT, ASHES ISEULT, dite
Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Elle est né(e) à Oxford en ce beau jour qu'est le 29 décembre 2042 en tant que née moldue ; à présent elle vit à Paris. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être excellent dans les matières plus cérébrales, moyen lorsqu'il s'agit d'agiter de la baguette dans tous les sens et de prononcer des formules barbares. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois d'olivier, mesurant vingt-sept centimètres et contenant un cheveu de vélane. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un ocelot. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : elle-même, accompagnée d'un garçon roux souriant, qu'on devine aisément être son frère, un bras passé autour de ses épaules. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Un grand feu, brûlant comme en enfer, qui grandit encore et encore., dans son cas.



→ burning fifth birthday.

Une vie banale. C’est ce qui avait toujours caractérisé l’existence d’Ashes. Et, à dire vrai ce n’était pas plus mal. Aucun grand drame ne venait ternir les cinq bougies de son gâteau d’anniversaire fièrement tenu entre les mains fines et élégantes de sa blonde mère, aucune ombre cachée derrière la pile modeste, mais raisonnable, de cadeaux qui attendaient sagement sur la table du salon d’être déballés par ses mains potelées et avides d’enfant. Aucun ricanement au lieu des sourires aimables et heureux de ses parents, tous deux sobres comme de coutume, et de son frère, cadet d’Ashes d’un an seulement.

Tout semblait parfait. La scène de leur salle à manger, relativement petite - et meublée uniquement d’une table carrée, entourée de six chaises en bois avec une assise moelleuse et rebondie, et d’un petit bar rempli de seulement quelques bouteilles d’alcools incontournables qui n’étaient sorties que pour les grandes occasions, afin de les servir aux invités en guise d’apéritif - plongée dans le noir et seulement éclairée par les cinq point lumineux et tremblant des flammes posées sur son gâteau, un somptueux, épais et lourd forêt noir confectionné par son père lui-même dans la journée. C’était d’ailleurs avec cet appât de qualité qu’Ashes avait attiré tous ses amis (ou ceux qui fréquentaient simplement son école dans la même année qu’elle) à se joindre à son goûter d’anniversaire de la semaine prochaine : la pâtisserie divine de son paternel.

Ainsi donc, les petites étoiles vacillantes avancèrent-elles dans sa direction, sous un concert a capella interprété par les membres de sa famille à majorité rousse, tout comme elle, encadrant le visage doux de sa mère et donnant à ses lèvres chantant ‘Happy Birthday to you’ éclairées par le bas une allure qui aurait pu être étrange, s’il n’avait pas été question d’un chant qui, la rousse le savait, était destiné à chanter la joie du souvenir de sa venue au monde. La petite fille eut un sourire espiègle, un brin sournois, dans le plaisir, qu’elle pensait malhonnête, qu’elle avait de savoir que ce vingt-neuf décembre était sa fête à elle. Sourire inapproprié pour ses lèvres juvéniles qui se mua en simple sourire heureux, pur, idolâtre de bonheur, creusant trois fossettes sur son joli visage poupon – une à la commissure droite de sa lèvre et une autre sur chaque joue - lorsqu’une caresse aérienne et aimante, comme seule sait l’être celle d’un père, effleura le sommet de son crâne, aplatissant sa masse de cheveux rougeâtres bouclés qui volaient en tous sens, en dépit de tout bon sens.

Le chant s’arrêta, remplissant la maison d’un silence qui, du point de vue d’Ashes, avait tout d’angoissant. Elle n’aimait pas cette sensation de solitude, d’inattention que le silence, oppressant autour d’elle, lui apportait. Tout comme elle n’aimait pas ce qui venait avec ce silence-ci : l’attente, pleine d’espoirs et d’exigences folles, de sa famille pour qu’elle puisse souffler ses cinq bougies, malgré son asthme diagnostiqué depuis … presque toujours. Un frisson désagréable courut le long de son échine avant de faire trembler sa tête et ses épaules. Elle avait si peur de décevoir. Elle prit une grande inspiration, gonfla ses frêles poumons autant qu’elle le put, retint autant que possible, malgré les quelques soubresauts de son torse, heureusement invisibles dans la pénombre, une quinte de toux, et expulsa aussi vite qu’elle le put et aussi fort que possible l’air en direction des bougies. La structure à cinq piliers de flammes ne fit que vibrer faiblement à l’impact de son souffle médiocre. A côté d’elle, Ashes entendit clairement le petit soupir nasal et triste de son père.

Seigneur, non.

Elle recommença l’exercice rapidement, une fois, deux fois. La lumière du salon se ralluma, quelqu’un avait appuyé sur l’interrupteur en ce sens. Qui ? Aucune importance. L’échéance approchait et, bientôt, son échec serait éternel, gravé dans les mémoires de sa famille, impossible à effacer. Elle recommença, encore. Mais, en même temps qu’elle soufflait pitoyablement, elle vit surgir dans son champ de vision les mains pâles de sa mère, se tendant inexorablement vers le gâteau afin, à n’en point douter, de le soustraire à sa vue et à ses efforts aussi vains que pitoyables.

Alors Ashes ne pu plus penser convenablement. Elle enchaîna essai inutile sur essaie stupide, faisant entrer et sortir autant d’air que possible dans ses poumons à un débit bien trop élevé. Elle inspirait, soufflait, inspirait, soufflait, sentait sa tête tourner, ses poumons la brûler, l’air lui manquer. Bientôt, l’exercice ne visait plus seulement à éteindre ces fichues bougies, ennemies de sa réussite, de la fierté qu’elle aurait dû pouvoir procurer à ses parents , mais était aussi devenu un obstacle infranchissable afin de récupéré son souffle, perdu quelque part en cours de route. Où était son inhalateur ? Elle s’en fichait. Son attention n’était portée que sur les bougies et sur le délai miraculeux laissé par sa mère qui s’était détournée du gâteau (sûrement partie chercher l’inhalateur en question, sans que sa fille ne s’en préoccupe).

Poil de carotte sentit une main légère, fraîche et légèrement moite toucher son poignet – son frère, son petit Jamie, la prunelle de ses yeux, tout aussi roux qu’elle et dont elle se sentait responsable comme personne depuis que ses parents l’avaient mis en garde sur le fait de le porter convenablement, en soutenant bien sa tête, la première fois qu’elle l’avait tenu dans ses bras. Elle se dégagea néanmoins de son touché réconfortant d’un coup de bras, plus un spasme qu’autre chose à vrai dire, et vit les étoiles annonciatrice de l’évanouissement tourbillonner devant ses yeux. Mais les lueurs les plus importantes de son monde restaient ces bougies, inébranlables qui dansaient, goguenardes, devant elle.

Avant l’oubli, Ashes n’eut que l’occasion de voir ces flammes minuscules qu’elle haïssait tant s’embraser comme des brasiers infernaux, grandir et, dans ce qu’elle crut être une illusion, brûler sa maison, lécher le visage de son père, frotter le plafond qu’elles rendirent noir charbonneux et faire crépiter les meubles en bois qu’elles tentaient de manger jusqu’à plus faim. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus que des cendres.

Ce fut le premier acte de magie incontrôlé dont Ashes fut à l’origine. Elle fut sauvée de son propre brasier par sa mère qui, après l’avoir portée à l’extérieur, retourna au cœur de l’enfer pour rechercher son frère. Le second, qui suivit peu après le premier, fut de dégager ses propres poumons. La seule fois où la demoiselle se soigna elle-même, sûrement par une volonté de vivre à l’époque farouche et très déterminée. Mais l’inconscient enveloppa la jeune fille qui fut trouvée par des ambulanciers, conduite à l’hôpital. Par la suite, Iseult – et non plus Ashes, nom trop ironique, cruel à porter – fut baladée de famille d’accueil en famille d’accueil, jusqu’à être adoptée par un père célibataire, Damien, un sorcier de sang-mêlé, qui l’emmena vivre à Paris, à 8 ans.




Dernière édition par A. Iseult Leavitt le Mer 27 Oct - 6:34, édité 8 fois
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After a fire of hell, it remains only ASHES  _
MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 9:14

After a fire of hell, it remains only ASHES  Nloi0g
crédit (grumpy crumpet).

→ oh, oh, it's magic, you know.

Le temps restait étonnamment clément pour un mois de septembre. Sans que les filles ne sortent leur débardeur pour autant, les rayons de soleil qui glissaient sur l’herbe encore relativement sèche du parc invitaient encore assez aisément les élèves à venir se poser aux abords du lac pour profiter de la chaleur encore agréable de cette époque de l’année. Et Iseult ne faisait pas exception. A ceci près que, frileuse comme elle l’était, elle portait déjà un gilet – fin, certes, mais en laine tout de même – que la chaleur du soleil sur sa peau de rousse ne lui procurait que tellement peu de plaisir, et tellement plus d’angoisses qu’elle s’était réfugiée sous l’ombre protectrice d’un saule pleureur et que, pour finir, elle s’était payé le luxe d’un petit moment de solitude, à l’écart du lac et de ses amis de tous poils qui, parfois, malgré leurs innombrables qualités, l’énervaient prodigieusement à cause de leurs défauts.

Cependant, cela ne signifiait pas pour autant que la jeune fille était quelqu’un d’antipathique. Au contraire, elle avait un sens de l’humour vif, assez apprécié, et parlait facilement avec de nouvelles connaissances, pour peu que celles-ci fassent le premier pas dans sa direction. Car Iseult n’était pas non plus à la recherche désespérée d’attention ou de nouvelles amitiés. Elle accueillait ceux qui voulaient d’elle, pour une période de probation tout du moins, ne supportant pas de juger les gens sur les apparences, et apprenaient à les connaître avec une réserve minime, mais bien réelle. Cependant, parfois … Tout ce jeu de sociabilisation ne faisait que l’agacer. La seule chose qu’elle recherchait vraiment chez les autres, c’était qu’ils lui permettent de s’améliorer, de combler le vide qui la poursuivait partout, et éventuellement leur reconnaissance. Elle n’attendait rien de plus, après les multiples abandons et pertes qu’elle avait connus. Juste, savoir comment le monde tournait, se mettre en phrase avec les grands esprits qui avaient marqués le monde et, peut-être, du moins l’espérait-elle viscéralement, marquer elle-même le monde à son tour.

Ainsi, allongée sur le ventre, les mollets relevés et battant de temps en temps l’air, un épais livre de potion – sa matière favorite – ouvert devant elle, elle laissait ses yeux dérivés entre les mots, comme un funambule exécutant un tour compliqué mais qui, l’exécutant si naturellement, semblait rendre cela facile et à la portée du premier venu. Elle lisait vite, comprenait ce dont on parlait à la première lecture. Pire, même, pour tous les réfractaires des savants mélanges magiques, elle prenait plaisir à ce petit exercice.

C’est pourquoi, fascinée par son manuel, elle ne remarqua pas directement que son coin de parc calme et déserté avait connu une soudaine reprise de vitalité et que des voix, parlant plus fort que la bienséance ne pouvait l’accepter, troublaient le calme. Cela énerva profondément Iseult. Elle fit claquer sa langue contre son palais, impatiente et releva la tête pour voir ce qui se passait – rah, cette curiosité maladive. Elle dut secouer sa tête pour chasser les mèches rebelles et mi-courtes qui retombaient légèrement devant ses cheveux. Elle avait bien besoin d’une coupe. Ce geste l’irrita encore plus, comme elle prenait conscience d’à quel point elle pouvait être négligée parfois. Cependant, cela ne dura pas comme elle vit, au loin, deux garçons semblant se disputer.

Pas de quoi fouetter un scrout à pétard. Si ce n’est que n’importe quel idiot aurait pu voir que les deux protagonistes de ce qui semblait être une dispute avancée avaient visiblement une importante différence d’âge. Et Iseult détestait l’injustice. Aussi son premier réflexe, instantané, fut-il de refermer son livre d’un coup bref, s’accordant par là un regard en coin, rapide et inintéressé, du plus grand des deux garçons à quelques mètres d’elle. Cependant, elle hésita avant de ranger son livre dans sa sacoche pour se lever et aller défendre le minus qui se faisait maintenant pousser par le plus grand. Car, une autre chose que la Rousse détestait bien, c’était le complexe du héros ou bien le fait de mêler de ce qui ne la regardait pas. Cependant, elle ne put pas rester couchée dans l’herbe lorsqu’elle vit le plus grand agrippé le sac du plus petit et le jeter à terre avant de donner un coup de pied dedans.

Merlin, ce garçon avait-il un cerveau de méduse ? Quel intérêt pouvait seulement avoir un geste pareil ? Intimidation ? Non car qui, sérieusement, pourrait être intimidé par un sorcier usant de force physique sans le moindre discernement ou la moindre conscience qu’il possède une baguette. Enfin, à part elle, s’entend. Mais, elle, elle ne savait pas se servir convenablement de sa baguette.

Elle se redressa donc, s’avança en quelques enjambées peu grâcieuses mais très efficaces et amples, idéales pour l’usage qu’elle voulait en faire dans le cas présent : être rapide. Elle arriva bien vite à leur hauteur, se pencha, ramassa le sac de l’enfant – Dieu, il était si petit et, pourtant, il faisait presque sa taille à elle. Enfin, elle se tourna vers le grand jeune homme. Iseult garda une expression neutre pour s’adresser à lui, ne le menaçant pas, ne touchant pas subtilement sa baguette ou ne prenant pas l’air de considéré le garçon comme un déchet sous sa chaussure. Mais n’ayant pas l’air intimidée non plus. Juste comme si elle était curieuse.

    ASHES – « Pourquoi tu as fait ça ? »
    GRANT – « Quoi ça ? »
    ASHES – « Pousser ce … » elle cessa de parler un instant, marquant un moment d’hésitation et lançant un regard interrogatif vers le plus petit.
    CHARLES – « … Charles.»
    ASHES – « Je disais donc ; pourquoi tu bouscules le Charles, là. Qu’est-ce qu’il t’a fait ? »
    GRANT – « Ca ne te regarde pas. Mais saches qu’il vient de Salem. Sa place n’est pas ici. Ce sont des gosses comme lui, sans aucun avenir, qui prennent les places de notre école. » Il eut une moue méprisante et posa une main sur l’épaule d’Iseult pour la faire bouger. Pas méchamment, juste avec une certaine autorité. « Maintenant, tu es mignonne, mais tu bouges. »

La réaction, violente, ne se fit pas attendre. Comme sortie d’un méchanisme de défense profondément ancré en elle et qui se rebiffait de tout son être contre cette marque de dédain, cet ordre qu’on lui donnait. Elle porta sa deuxième main à la hanse du sac du gamin et la maintient fermement dans sa main. Puis, tournant sur elle-même afin de se donner de l’élan, et avec une rapidité assez inattendue, elle envoya le sac dans les airs, tourbillonner autour d’elle avec un bruit sifflant pas désagréable, et le laissa poursuivre son ellipse pour venir frapper dans les côtes le septième année qui tomba à genoux par terre, le souffle coupé.

Puis, jetant le sac sur son épaule et agrippant fermement le poignet du petit garçon brun, elle se mit à courir, trainant derrière elle le première année médusé, avec cette injonction simple et pourtant difficile à comprendre dans une scène aussi rapide que celle-ci « Cours ! ».

Ils arrivèrent finalement, hors d’haleine, dans le hall du château. Là, Iseult laissa glisser de son épaule le sac qui s’écrasa par terre dans un bruit sec. Elle toussota un petit rire, tapota l’épaule du gamin et lui dit, un sourire grimaçant au coin des lèvres, un clin d’œil prêt à être balancé :

    ASHES – « Ah ! Ce putain de livre d’Enchantement de première année. Un vrai pavé, hein ? Mais quel coup du droit, il a celui-là ! »

Sur ces mots légèrement drôles, pas vraiment significatif – comme beaucoup de choses qu’Iseult disait – la jeune femme s’écarta du gamin avec un vague signe de main, sans se départir de son sourire.

Direction : n’importe où, du moment qu’il n’y ait personne pour la voir sortir son inhalateur et reprendre son souffle mourant.

→ i am not a robot.
ton pseudo : Valou
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ton avis sur sonorus : J'adore le fond de page en bois. Et sinon, il a l'air très bien. Je stresse à l'idée de me ré inscrire sur un forum rpg ^^
si je te dis what else ? tu me réponds : bonbons à la fraise. Menthe poivrée. Et aussi, merci So' pour m'avoir ramenée ici (l)


Dernière édition par A. Iseult Leavitt le Mer 27 Oct - 6:49, édité 4 fois
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Ophélia P. Zabini
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⊰ PARCHEMINS : 404
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 9:18

    Merci à toi d'être venue plutôt. After a fire of hell, it remains only ASHES  999442
    Trop impatiente de lire ta fiche, et qu'on rp. Si tu savais à quel point ça me fait plaisir que tu refasses du rpg ! After a fire of hell, it remains only ASHES  367112 After a fire of hell, it remains only ASHES  656707 After a fire of hell, it remains only ASHES  350153 I love you After a fire of hell, it remains only ASHES  981358 After a fire of hell, it remains only ASHES  60823
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Galadriel E. Weasley
Galadriel E. Weasley

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⊰ CRÉDITS : cristalline
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 9:47

Oh mon Dieu, j'adore j'adore [...] j'adore *___________* After a fire of hell, it remains only ASHES  367112 After a fire of hell, it remains only ASHES  414612

Bienvenue & bonne continuation pour ta fiche ! After a fire of hell, it remains only ASHES  656707

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Elliott T. Whitaker
Elliott T. Whitaker

⊰ PARCHEMINS : 267
⊰ INSCRIPTION : 22/10/2010
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⊰ ÂGE RPG : Dix-sept.
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 10:37

Tes noms, prénoms, ton titre et puis Bryce quoi ! After a fire of hell, it remains only ASHES  367112
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! I love you
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyDim 24 Oct - 11:17



    Huhu, merci So <3 Moi aussi, j'en peux plus d'attendre qu'on joue ensemble. En plus t'as pas idée comme réécrire après un an d'abstinence, ça fait du BIEN =D Je suis heureuse <3

    @Galadriel : quel chouette prénom =D Je vois pas trop ce que tu adores, comme c'est vide, mais tant mieux, je suis flattée =D Merci pour tes encouragements et j'espère qu'on pourra se faire un lien \o/

    @Lilween : Huhu, je dois dire, Bryce/Ashes/Titre du sujet/histoire, le tout est fait pour aller ensemble. Si un truc manque, ça perd de son tragique, de son ironie, je pense. Contente que quelqu'un ait vu le lien entre tout ça =P Merci pour ton petit message, we keep in touch, right ? I love you

    J'ai fait la moitié de ma fiche, mais je pense que la fin, ce sera demain. Ce soir si je suis trèèès motivée.
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyLun 25 Oct - 5:18

Double post, j'en suis navrée mais : j'ai fini logiquement =D Aucune préférence pour la maison, si ce n'est que je ne pense pas qu'elle aurait sa place à Gryffondor.

Mais vous pouvez penser autrement ^^
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Georgie Finnigan
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyMer 27 Oct - 2:01

Georgie Finnigan a écrit:
/!\ → Une petite précision souvent oubliée à prendre en compte lors de la rédaction de sa fiche : lorsqu'un élève est né après le 1er septembre, il reçoit sa lettre l'année suivante. Il faut impérativement avoir onze ans à la rentrée pour pouvoir entrer à Poudlard.
Wink sinon, bienvenue. I love you
la fiche est parfaite ! pour la maison, je pensais Poufsouffle, mais sans beaucoup de convictions. Une autre idée ?


(ps : excuse mon petit retard After a fire of hell, it remains only ASHES  62156)
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyMer 27 Oct - 6:37

Coucou =D

Alors là, je suis super confuse xD J'avais déjà changé pour 42, puis j'ai recopié/recollé ma version avec mon rp où j'avais pas changé et du coup, bah j'ai rechangé en 43 sans m'en rendre compte xD C'est super bête u.u Bref, voilà, j'ai re-rechangé ça Wink

Merci pour le parfaite, ça fait plaisir After a fire of hell, it remains only ASHES  350153

Pour la maison, Poufsouffle me va, mais Serdaigle m'irait aussi, dans le sens où elle est curieuse et que j'ai cru comprendre qu'il n'y en avait pas assez. Tout m'irait sauf Gryffondor et peut-être pas Serpentard, car il y en a beaucoup et que la seule caractéristique qu'elle en a, c'est qu'elle recherche la reconnaissance pour ses efforts.

(et t'inquiète donc pas pour ton retard. Tu as une vie : tant mieux xD)

Un lien ? I love you
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Georgie Finnigan
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyJeu 28 Oct - 5:20

hmm, en relisant, je me dis que Serdaigle convient assez bien, surtout au niveau de sa curiosité, comme tu le dis.
donc validée. I love you
et un lien avec plaisir. After a fire of hell, it remains only ASHES  527287
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  EmptyJeu 28 Oct - 5:22

Wouhou, je suis colorée maintenant After a fire of hell, it remains only ASHES  995499

=DD

Je viendrai squatter prochainement ton sujet à lien alors I love you
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MessageSujet: Re: After a fire of hell, it remains only ASHES After a fire of hell, it remains only ASHES  Empty

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