⊰ PARCHEMINS : 313 ⊰ INSCRIPTION : 07/11/2010 ⊰ CRÉDITS : Avatar : © psychozee. | Signature : © bazzart ⊰ ÂGE RPG : 17 ans ⊰ PSEUDO : Kiki. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9771
| Sujet: je me ferais belle à t'en crever les yeux Dim 7 Nov - 4:37 | |
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→ i am not a robot. ton pseudo : Kiki. ton âge : 20 ans. ton avatar :Julia Stegner. ton avis sur sonorus : c'est la même chanson ♪ si je te dis what else ? tu me réponds : nothing.
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crédit Misery Angel. → CALLAHAN, MAÏA KALLIÓPÊ DAISY, dite la Nymphomane
Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Salem pour entamer sa sixième année au collège. Elle est née à San Francisco en ce beau jour qu'est le 17 avril 2043 en tant que sang mêlé ; à présent elle vit à San Francisco. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être médiocre, excepté en Potion, Botanique, études de Runes et Histoire de la magie où elle est excellente. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de saule cogneur, mesurant vingt trois centimètres et contenant un poil de Sphinx. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un Sapajou. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : Elle, au porte de l'Atlantide. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. un loup garou, dans son cas. | → the best day of my life.Témoignage d'Eve Wells, sa mère.
Quand nous nous sommes rencontré, nous étions jeune, jeune et plein d'espoir. Un coup de foudre, un coup d'amour, un coup de je t'aime. Nous nous sommes mariez... Trop vite. Nous avons eu une petite fille... Trop vite. Elle n'était pas encore née que notre amour avait finit par se consumer. Un bébé qui vient au monde dans un couple où il n'y a plus de sentiment ne sauve rien, bien au contraire. Nous nous battions pour l'amour de cette petite fille, ce petit trésor. Mais en nous déchirant de la sortes, ce n'est pas à nous que nous faisions le plus de mal c'est à elle. Maïa. Pour notre bien et surtout pour le sien, il n'y avait qu'une seule solution : Un divorce. Séparé. Nous n'étions plus un couple mais nous pouvions toujours être ami. Nous le devions à notre fille. Malheureusement, il est mort trop tôt, beaucoup trop tôt.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
oh, une blonde, cette fois. Je lançais un regard assassin à mon "frère" avant de lui administrer un coup sur l'épaule. Aieuh... Maïa, arrête !?! Je lui tirais la langue et reportais ensuite toute mon attention sur le bébé que maman tenait dans ses bras. C'était ma petite sœur. C'était notre petite sœur. Elle était si petite, tellement petite qu'elle pourrait se casser si on la serrait un peu trop fort. Nous étions réunion dans cette chambre d'hôpital. Je me surpris à contempler mon père, qui lui même contemplait ma mère, plus amoureux que jamais. En fait, c'est pas réellement mon père, mais je n'ai jamais connu le mien, alors, c'est comme s'il était le mien, en plus, je porte son nom de famille. Bonnie et Lewis, c'est un peu comme si c'était réellement mon frère et ma sœur. Autant que je m'en souvienne, on a toujours été fourré ensemble. Cohnaan, c'est pas pareil. D'abord, on le voit jamais, il est à Salem pendant l'année et l'été, bah l'été, il est partout sauf à la maison. Enfin, maintenant, il y allait avoir ce petit truc rose qui se trouvait blottie contre notre mère. Lily-Robin. On est pas comme toute les familles, mais c'est ma famille et je ne l'échangerais pour rien au monde.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
Ce n'est que lorsque je m'emparai de mon verre de jus d'orange que je me rendis compte de l'absence de Chaussette. Où était-il donc passé? En y réfléchissant, il avait déjà quitté ma chambre lorsque je m'étais levée. Je reposais délicatement le verre sur la table sans même y avoir touché. Chaussette? Pas de réponse. Normal, vous allez me dire, il ne s'agit que d'un chien. Un chien qui suivait le moindre de mes mouvements, qui apparaissait dés qu'il entendait le son de ma voix. Hm. Étrange. Je me laissais glissé du tabouret sur lequel j'étais perchée. Instinctivement, je rejoignis l'extérieur. Mon regard aux couleur océan se glissa rapidement sur les environs, à la recherche de mon imbécile de chien. Un gémissement m'interpella. Lorsque je pivota, je le vis. Chaussette agonisait, clouée au sol il souffrait comme jamais. Auprès de lui, des fleurs, des jolies fleurs, bien trop jolies pour être honnête. J'étais subjuguée par leur effet. J'étais en train de perdre l'une des seule créatures que j'avais jamais aimé, et pourtant, pourtant je ne m'en souciais guère. J'étais en admiration devant ces petites fleurs au pouvoirs si destructeur. Leur venin avait du se rependre doucement dans ses veines, elles l'avaient paralysée et le torturaient encore un peu, le maintenant en vie. Cruelle petit poison au visage d'ange. C'était la première fois que je voyais la mort en face, que je la côtoyais d'aussi près. Moi aussi je voulais être l'une de ses fleurs, je voulais êtres aussi belle que vénéneuse, je voulais donné la mort de façon aussi théâtrale.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
Des battements d'ailes s'étaient fait entendre, me désintéressant de la partie de cache cache, je relevais le nez vers le ciel qui s'assombrissait. L'excitation s'empara de moi. Autour de moi, personne ne semblait avoir entendu ce bruit particulier, bien trop occuper à participer au festivité organisé pour je ne sais quel raison. Il n'y avait pas un hibou, pas deux, mais des dizaine, portant leur courrier aux étudiants de Poudlard qui se trouvaient dans ma propriété. C'était un spectacle majestueux et inédit. En arrivant au dessus de moi, une petite chouette noire tacheté de blanc se posa devant moi, déposant ma précieuse invitation à rejoindre Salem. un peu partout autour de moi, j'entendis les cris de joie accueillir les messagers de Salem. Je sentis mes lèvres s'étirer en un sourire. Il était temps, le jeu allait enfin pouvoir commencer. Je me précipitais à l'intérieur, tentant de rejoindre Bonnie qui, elle aussi, devait avoir reçu sa toute première lettre de l'école de magie.
Souvenir de Jack Beckets, sa meilleure amie.
Maïa, bordel, c'est ton frère. Hm? C'est TON Frère. Je vis l'exaspération s'emparer de sa frimousse d'ange alors qu'elle tournait enfin son regard vers ma petite personne. Couchée dans le jardin, nous profitions de cette journée d'été et elle, elle en profitait surtout pour se rincer l'œil. Cela ne m'aurait probablement pas autant déranger si cela n'avait pas été son frère... Enfin son demi frère, le fils de son beau père.Non. Non? Non, ce n'est pas mon frère. Vraiment !? J'arquais un sourcil face à cette révélation, légèrement perplexe, il fallait bien l'avouer. Elle, elle avait reporté toute son attention sur lui, à l'autre bout du jardin. Non. C'est pas comme si on avait le même sang. On a même pas grandit ensemble. Non mais, elle se foutait de moi? Visiblement non. Elle était littéralement en train de le bouffer des yeux. C'était à mon tour d'être exaspérée. Je lui administrais un coup de coude dans les côtes. Oublies ça, tout de suite. Allez vient, on va se prendre une glace. Je me relevais et me dirigeais déjà vers l'intérieur de la maison. Je me stoppais pour vérifier que l'autre blonde me suivait et découvrait qu'elle n'avait pas bouger d'un poil. Maïa!? QUOI? Elle s'était légèrement redressée et me fusillais du regard. J'ouvrais grandement les yeux et lui indiquait l'intérieur, autoritaire. Elle soupira mais s'exécuta en trainant les pieds. Il est quand même divin... Paf, je lui tapais sur les fesses avant de l'entrainer loin de cette nouvelle obsession. Elle était comme cela, obsessionnel. Lorsqu'elle avait un mec en tête, c'était difficile de lui faire entendre raison. On se plaisait à dire qu'on était des handicapés des relations sentimentales, elle beaucoup plus que moi. Moi, j'étais seule parce que je ne trouvais personne, elle, c'était une toute autre histoire. Maïa n'aimait pas s'attacher, cela lui faisait peur et lui donnait l'impression de se rendre vulnérable. Elle me disait souvent qu'aimer quelqu'un était lui donner l'opportunité de nous faire du mal, pire, de nous détruire. Maïa ne tombait jamais amoureuse, mais elle s'entichait rapidement, trop sans doute. Malheureusement, lorsqu'elle parvenait à avoir ce qu'elle voulait, elle se lassait, plus vite encore et se retrouvait à nouveau seule, prête à s'enticher d'un autre. Maïa était du genre à se laisser guider par ses impulsions, sans réfléchir. Le fait que Cohnaan soit devenu son nouvel objet de désir était troublant et dangeureux, surtout parce qu'elle avait TOUJOURS ce qu'elle voulait et là, c'est lui qu'elle voulait.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
Installée sur mon appuie de fenêtre, les pieds suspendu dans le vide, j'admirais la vue que m'offrais cette fin de journée tout en savourant la première cigarette de la journée. Mes parents ignoraient cette nouvelle addiction et cela devait rester ainsi. C'est à ce moment que Pikachu, la minimoy's de la famille, fit son entrée sans prendre la peine de frapper. Son irruption soudaine me fit lâcher la cigarette qui tomba sur notre terrasse, quelques mètre plus bas. Putain. Je me relevais, pour revenir complètement à l'intérieur de ma chambre et fermer la fenêtre. j'espérais seulement que la Naine qui me servait de petite sœur n'avait rien vu. Dehors !?! Les mains posées sur ses épaules, je la dirigeais vers la sortie, non sans essayer quelques protestation auxquelles je ne prenais même pas la peine de répondre. A peine avais-je réussi à la faire quitter ma chambre que je lui refermais la porte au nez. Va voir chez Bonnie si j'y suis.
Souvenir d'Ezra Lennox, un moldu.
J'étais sortis boire un verre avec le reste de la bande. Au début, on n'avait pas toute suite reconnu en elle la petite blonde qui nous effrayait avec ses fausses malédictions et qui se proclamait comme étant une sorcière. On était tout gosse à l'époque et son imagination était loin de dépasser notre naïveté. Nous étions à nouveaux confronté à cette fille, mais ce qui agissait sur nous était un envoutement bien différent de ceux avec lesquels elle nous avait autrefois effrayé. Son corps se mouvait gracieusement, épousant la mélodie qui envahissait à présent les lieux, un verre de bière dans la main, une cigarette de l'autre. Nous ne pouvions décroché notre regard d'elle, comme subjuguer par le spectacle qu'elle était en train de nous offrir. Ce qu'elle dégageait était bine plus séduisant et mystérieux que ce spectacle, qui était déjà très intéressant Cette fille était troublante et envoutante. Ensuite, tout se passa très vite. Un de mes meilleurs pote s'avança d'elle et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il se retrouva propulser à l'autre bout de la pièce. J'aurais jurer l'avoir vu bouger ses lèvres, mais l'alcool aidant, cela devait être le fruit de notre imagination. Avant que l'on ne puisse réagir, son frère, Lewis, la hissa par dessus ses épaules comme un vulgaire sac de pomme de terre et la fit quitter les lieux. On ne l'a pas revue depuis ce jour. Enfin, cela n'avait rien d'étonnant, l'été touchait à sa fin et elle disparaissait toujours avec le reste de la fratrie.
Souvenir d'Adam Callahan, son beau père et père adoptif.
Je passais discrètement devant la chambre de Maïa, juste pour être certain qu'elle n'avait pas braver l'interdiction de sortir de la maison jusqu'à son retour à Salem. Désinvolte et en colère, elle était aller s'exiler dans sa chambre en maudissant sa mère. J'avais vu leur relation se dégrader sans en comprendre la raison. Elles ne se parlaient plus, elles hurlaient, il était aujourd'hui impossible d'établir la communication entre elles. Eve avait été furieuse lorsque nous avions reçu la lettre du ministère pour Restriction de l'usage de la magie chez les sorciers de premier cycle. Moi, je l'étais un peu moins. je connaissais Maïa, je savais qu'elle agissait souvent sans réfléchir. Elle était comme cela, impulsive, agressive et excessive. J'arrivais devant sa chambre dont la porte était entrouverte. Elle y était toujours installée sur son lit, elle tenait entre ses mains une boule à neige version sorcier qui n'apparaissait que lorsqu'elle ouvrait le médaillon qu'elle portait autour de son cou. Je vis l'Atlantide prendre vie dans une bulle d'air, la lueur bleuté caressa le visage de ma fille adoptive qui était étrangement calme et songeuse. Ce médaillon était le seul souvenir de son père, son véritable père. J'avais souvent tendance à oublier qu'elle était la fille d'un autre. Elle ne l'avait que très peu connu, il était mort alors qu'elle n'avait que 2 ans. Quant à Eve, elle n'en parlait que très peu et je ne lui en tenais pas rigueur. Je savais simplement qu'il était archéologue. Lors d'un voyage en Egypte, son équipe et lui avait été attaqué par un Loup Garou alors qu'ils venaient de découvrir une nouvelle chambre mortuaire. Il n'avait pas survécu. Sans m'en rendre compte, je du faire grincer le parquet, car Maïa tourna son visage vers la porte et lorsqu'elle me découvrit, elle referma son médaillon. Je lui souris doucement. On va manger, tu viens!?! Elle me sourit preuve qu'une fois de plus, elle considérait que sa mère était la seule et unique responsable de sa punition. Elle se releva et vint me rejoindre, déposant un baisé sur ma joue. Sans rien dire, elle s'engagea dans le couloir pour rejoindre la cuisine. Maïa!? Elle se stoppa et se tournait vers moi avec une légère moue. Quoi? Soit gentille avec ta mère. Je la vis soulever ses orbes vers le plafond. Elle s'appretait à reprendre son chemin. Maïa, s'il te plait !?! Oui Papa, je te promets de faire des efforts. Papa, elle m'appelait Papa, depuis tellement longtemps que je ne m'attendais à rien d'autre de sa part. J'avais souvent crains que mes enfants soient blessé par cela. Paradoxalement, je m'inquiétais aussi de ce que Maïa pouvait penser et qu'elle se sente exclue de la famille.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
Dehors la naine, c'est pas pour les petits. Bonnie a dit que je peux. Ouuuuh. Si Bonnie l'a dit, alors... Nous étions dans la chambre de Bonnie et, comme à son habitude, Lily-Robin venait s'incruster. J'adorais ma petite sœur, mais parfois, elle avait le don de m'agacer. Je ne disais plus rien, non, faudrait pas que la petite peste puisse trouver de quoi me faire chanter auprès des parents. Oui, parce que c'était tout à fait le genre de la demoiselle. J'étais installée sur le lit de Bonnie et évidemment, la petite blonde pas bien haute vint se blottir sur mes genoux. Je la laissais faire sans rien dire, lançant un regard assassin à Bonnie qui se contenta d'hausser les épaules avec un sourire légèrement amuser. On aimait de temps à autre passer des soirées entre fille, enfermé dans la chambre de l'une ou de l'autre. Bonnie et moi avions le même âge, à quelques mois près, nous avions donc grandit ensemble, un peu comme des sœurs, des sœurs jumelles. J'avais toujours été très proche d'elle, tout comme je l'étais de Lewis qui était seulement d'un an mon cadet. C'est bizarre de se dire que nous ne retournerons pas à Salem Je me demande comment c'est en Angleterre. J'espère qu'ils sont pas trop coincé du cul... Désolé Pikachu. Je lui offrait un sourire désolé après avoir lâché "cul". Ouai, elle est petite cette naine, j'oubliais souvent que je devais lui montrer le bonne exemple.
Souvenir de Maïa Callahan, elle même.
Nos parents étaient rentré de vacance plus tôt dans la journée et pour l'occasion, ils avaient décidé de réunir la famille Callahan au grand complet. Par un curieux hasard qui, finalement, faisait plutôt bien les choses, je me retrouvais en face de Cohnaan. Je m'amusais de son regard fuyant et ponctuais les discussions de petits sous entendus que seul lui pouvait comprendre. Je vais chercher une bouteille de vin et des verres, Maïa, tu viens m'aider !? Même pas le temps de répondre qu'il avait déjà filé dans la cuisine. Quand j'arrivais à mon tour, il me saisit le bras, m'obligeant à lui faire face. Arrête ça, Maïa. Arrête, s'il te plait. Je ne perdais pas mon sourire et me dégageait doucement de son étreinte pour sortir les verres de l'armoire. Maïa, je suis sérieux. Un peu trop d'ailleurs. C'était une erreur, d'accord!? Ça aurait jamais du arriver. Vraiment? Je haussais un sourcil, tout en lui tendant la bouteuille de vin qu'on était tout de même censé avoir été chercher. Il la prit un peu brusquement. Oui, sérieusement. On doit y retourner... On pourrait presque croire que tu as peur de ce qu'il pourrait se passer si on reste seul trop longtemps !?! Je m'amusais à nouveau de la situation, m'approchant de lui, un peu trop pour être honnête. Il soutint mon regard quelques instants avant de s'emparer de quelques verres pour rejoindre les autres dans la pièce à côté. Je laissais finalement échapper un soupire, le rejoignant avec le reste des verres qu'il n'avait pas su prendre.
Témoignage d'Ulysse Knockaert, élève de Salem.
Maïa Callahan? Si je vois de qui il s'agit!? Bien évidement. Une fille avec un caractère pareil on en croise pas tout les jours. Je ne vous dirais pas qu'elle a mauvais caractère mais... Si, en fait elle a très mauvais caractère, particulièrement lorsqu'on ne la connait pas. Elle est sauvage, comme un fauve que l'on aurait enfermé dans une cage, prête à bondir à la moindre occasion, au moindre faux pas de la personne qui lui fais fasse. Elle est impulsive et bagarreuse, sans compter qu'elle se vexe rapidement notre demoiselle. Elle est aussi imprévisible, nul ne sait jamais comment elle réagir, elle suit ses pulsions, tout simplement ses pulsions. Mystérieuse et solitaire, elle ne se laisse pas facilement approcher. Ambitieuse, elle sait parfaitement pourquoi elle est là et ce qu'elle veut faire de sa vie. Personne ne se mettra en travers de son chemin. Faites attention, Elle pourrait très bien mordre si vous vous risquez à pénétrer dans SON espace vital. Oh je ne parle pas de ses jolies dents blanches mais de ses propos. Tranchant. Une franchise à toute épreuve et tant pi si cela ne plait pas toujours, après tout, il n'y a que la vérité qui blesse. Le sarcasme et l'ironie sont ses meilleures armes. D'une répartie à toute épreuve, elle ne se laisse pas faire. Mais comme toute bête sauvage, il est possible de l'apprivoiser. Difficile mais possible tout de même. Enfin, heureusement, elle n'est pas vilaine à regarder, il ne manquerait plus que ça...→ oh, oh, it's magic, you know.Les portes de Poudlard s'ouvraient sous nos pieds, nos promettant une aventure riche en rebondissement. C'était un environnement bien différent de celui auquel nous étions habitué à Salem, mais finalement, c'était peut-être mieux. Je regrettais d'avoir quitté Salem et surtout, tous les souvenirs que j'y avais laissé. Poudlard, je me demandais ce que cela me réservait. J'entrais dans la grande salle, la démarche désinvolte et calme. Je sentais immédiatement les regards se porter sur moi, sur moi et les autres élèves de Salem, enfin, c'est ce que nous étions avant. Instinctivement, mon regard se porta dans le fond de la pièce, là où se tenait la table des professeurs. Mon regard se glissait sur eux pour se poser sur lui, Cohnaan. Je ne pu m'empêcher de sourire lorsque nos regards se croisèrent. Je haussais un sourcil avec défiance et sous entendu lorsqu'un élève de Poudlard me bouscula par inadvertance. Ni une ni deux, j'y voyais l'occasion de faire enrager mon "frère" et professeur de métamorphose. Alors qu'habituellement je lui aurais arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère, je lui accordais un sourire des plus charmeurs qui lui fit perdre tout ses moyens, il balbutia quelques mots incompréhensibles et maladroits avant de m'inviter à sa table. Je ne pouvais refuser, non, pas devant Cohnaan. Le pauvre garçon ignorait que je l'enverrais balader dés que l'occasion se présenterait. Je me jouais de lui, égoïstement. Poudlard. Malheureusement, il n'était pas tous comme lui, non, je sentais les regards qui m'entouraient, particulièrement ceux qui étaient vêtus en vert et argent. Nous n'étions pas les bienvenue. Du moins, nous ne l'étions pas pour tous. J'avais l'impression de ne pas être à ma place, mais cette sensation désagréable se dissipa à l'instant où le reste de ma Fratrie arriva, pour mon plus grand plaisir.
Dernière édition par Maïa K. Callahan le Dim 14 Nov - 1:05, édité 62 fois |
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