Belle et peut-être encore jeune femme qui travaille comme professeur de vol depuis maintenant près de trois ans. Elle est née à Lyon en ce beau jour qu'est le 13 avril 2036 en tant que née moldue ; à présent elle vit à Londres. Lors de son passage à Beauxbâtons, son niveau scolaire était plutôt bon. Lorsque les dinosaures vivaient encore, elle s'est procurée une baguette faite en bois de liège, mesurant trente centimètres et contenant un crin de licorne. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un cygne. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : sa rencontre avec le Père Noël. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Un loup-garou, dans son cas.
« J'avais envie d'exploser de rire. C'était loin d'être une bonne idée mais j'avais quand même envie de le faire. En réalité, c'était plus nerveusement qu'autre chose. J'avais du mal à croire qu'on m'accordait un entretien à Poudlard ! Poudlard, c'était le rêve, tout simplement. J'étais devant le bureau, incapable de frapper, tétanisée à l'idée de me retrouver devant le directeur et de partir en fou rire. J'étais tellement mal à l'aise ! Et un détail me tracassait, surtout, c'était mon accent. Je me voyais déjà, bégayant devant mon futur ex-employeur, avec mon horrible prononciation. Prenant une inspiration de courage (ou pas) je levai le poing prête à affronter le regard perçant de ce directeur d'école. Sauf qu'avant même d'avoir frappé rigoureusement à la large porte de son, certainement, large bureau, j'entendis une voix grave m'ordonner d'entrer. Bien entendu, je m'exécutais, bonne fille que j'étais et je parvins bientôt devant lui. Impressionnant, même si j'avoue que je m'attendais à un solide bonhomme, le directeur de Poudlard était tout de même charismatique. Souriante et hésitante, je pris place en face de lui en prenant soin de ne rien toucher, de me contenir, histoire de ne rien renverser. A peine assise, il lâcha telle une bombe : »
DIRECTEUR - Je ne crois pas vous avoir demander de vous asseoir, madame.
« Du coup, tel un ressort, je me levais, ça ne pouvait être qu'un avantage pour moi de ne pas le contrarier, pas vrai ? Alors, je restais debout, les mains étroitement liées devant moi, la tête baissée vers mes chaussures. J'étais vraiment tout sauf à l'aise. Lorsqu'il m'autorisa enfin à m'asseoir, je ne me fis pas prier par peur de le mettre en colère et de ruiner mes chances d'obtenir ce poste. Même si mon curriculum vitae semblait alléchant, quand on lisait les appréciations, on comprenait pourquoi j'avais un mal fou à trouver un travail. Je les avais enchaînés et pour cause, je finissais toujours par être renvoyée, même si la plupart du temps c'était illégitime selon moi. Bref j'étais donc en face du directeur de Poudlard et la seule chose à laquelle je pensais, c'était de simuler une soudaine crise de n'importe quoi pour échapper au regard perçant de ce dirlo. »
DIRECTEUR - Vous êtes donc ici pour le poste de professeur de vol, c'est bien cela ? FLANNERY - C'est bien ça, monsieur. DIRECTEUR - Pourquoi avoir postulé ici, à Poudlard ?
« Était-il sérieux, là ? La plupart, si ce n'est la totalité, des écoles d'Europe avaient fermé leurs portes sauf Poudlard. Le choix était vite fait ! Bien sur, j'avais toujours rêvé du Royaume-Uni, du lac du Loch Ness et tout le toutim, mais soyons un peu sérieux, je n'allais pas m'embêter à partir à l'étranger alors que j'avais une école de sorcellerie à deux pas de chez moi ! Bien entendu je n'étais pas forcée à partir pour l'école de sorcellerie anglaise mais c'était l'une des plus prestigieuses et désormais, la seule que j'avais sous la main. Enfin, n'allez pas penser que je souhaitais entrer à Poudlard par simple intérêt, c'était tout simplement merveilleux d'avoir obtenu un entretien ! Alors je ne me faisais pas d'espoir quant au verdict qui serait rendu au cours de ce rendez-vous même si j'essayais de me persuader des chances que je pouvais avoir. J'avais beau être désespérante, j'étais douée et ça, on me l'avait souvent répété. »
DIRECTEUR - Et bien ? Vous ne répondez donc pas, madame ? FLANNERY - Pour dire vrai, Poudlard est l'une des plus prestigieuses écoles de sorcellerie au monde et quand j'ai appris que le poste de professeur de vol était vacant, j'ai sauté sur l'occasion. C'est une opportunité en or que je n'aurais voulu raté pour rien au monde ! DIRECTEUR - Je vois. J'ai lu dans votre dossier que vous étiez employée de l'école de Beauxbâtons, en France et que... FLANNERY - L'institution française de Beauxbâtons.
« Oui, bon, j'avoue que l'idée que j'avais en tête était de me faire engager et pas le contraire, seulement je détestais le ton qu'il avait employé pour dire Beauxbâtons ! Surtout qu'il n'arrêtait pas de m'appeler madame ! Môsieur le directeur de Poudlard se permettait de dénigrer mon école et de me mettre au rang de femme au foyer, je n'allais pas laisser passer cela, tout de même. Un peu de respect. Je tentais de me décrisper pour montrer que ce n'était qu'une simple remarque mais au regard noir qu'il me jeta, je compris que j'avais épuisé tous mes jokers. Le poste de professeur de vol ? Il allait me passer sous le nez. D'un autre côté, reprendre le directeur en personne lors de votre entretien d'embauche, c'était tout sauf quelque chose de valorisant à mon humble avis. »
FLANNERY - Mais peu importe ! Excusez mon impolitesse. DIRECTEUR - Je disais donc, madame, que j'ai lu que vous aviez été renvoyée de l'institution française de Beauxbâtons. A cause de, je cite le rapport : "relations contraires au règlement avec un autre membre du corps enseignant.
« Touché. Oui j'avais été employée à Beauxbâtons et oui, j'avais été renvoyée de Beauxbâtons mais était-ce ma faute si certaines règles n'étaient pas applicables ? J'avais du mal à croire qu'aucun professeur ne se permettait de sortir avec l'un de ses collègues. »
FLANNERY - C'est exact. Je me suis faite licenciée au bout d'un an. DIRECTEUR - Ainsi que pour le même motif avec un élève cependant.
« Coulé. J'avais aussi du mal à croire qu'aucun professeur ne se permettait de sortir avec l'un de ses élèves... Il faut voir certains d'entre eux ! Oh et puis, c'est de l'histoire ancienne ! Après tout, il n'y avait pas mort d'homme ! Il n'y avait même pas de détournement de mineur alors. Fermant les yeux sous le "choc" de cette remarque (pure comédie mais je m'étais entraînée depuis le temps) je secouais la tête et rouvrais les yeux qui avaient eu le temps de s'humidifier comme par magie entre temps. »
FLANNERY - C'était une grossière erreur et je pense avoir assez payé pour cela. Cependant, il faut savoir que j'ai parfaitement conscience que cette unique appréciation dans mon rapport me suivra toute ma vie et qu'il me sera impossible de m'en séparer. Je comprendrais parfaitement que vous ne m'acceptiez pas dans votre école pour cette raison. DIRECTEUR - Il est écrit aussi que vous étiez une excellente professeur et que les élèves vous réclamaient après votre départ. FLANNERY - Et j'ai regretté mes élèves aussi, monsieur. Enseigner est une chose que j'ai perdu pour des broutilles alors que ça n'a pas de prix. Seulement, je ne me suis rendue compte de cela qu'après avoir fait l'idiote et perdu mon travail.
« Ce qui était on ne peut plus vrai. Bon, pas au point d'en pleurer devant un potentiel employeur, mais j'avais fais la plus grosse erreur de ma vie, en sortant avec un professeur, puis avec un élève. On peut dire que c'était une sacrée boulette et pour cause, j'adorais enseigner ! C'était beaucoup plus qu'une passion et ça, j'arrivais à le retransmettre dans les yeux de mes gosses. Ils s'émerveillaient devant leur balai et ça, ça n'avait véritablement pas de prix. »
DIRECTEUR - Bien, je pense que ça sera tout.
« Chaste et timide signe de tête, on se lève et on file le plus vite possible, Flanny. Le dos tourné à cet homme qui m'avait ridiculisée, comme toutes les autres personnes qui avaient eu accès à mon dossier, je pensais pouvoir m'enfuir en courant sans éveiller ses soupçons seulement à peine avais-je fais un pas qu'il m'interpelait de nouveau : »
DIRECTEUR - Vous commencez le trimestre prochain.
→ i am not a robot. ton pseudo : Luce. ton âge : Toujours le même. (a) ton avatar : Excellente question. ton avis sur sonorus : si je te dis what else ? tu me réponds : Que j'ai pas résisté longtemps à l'envie de me faire un DC...
Dernière édition par Flannery J. Beaumont le Jeu 18 Nov - 10:23, édité 13 fois
« Je dois vous prévenir tout de suite, ma vie est loin d'être extraordinaire. Non, pas du tout au contraire. Je suis née et j'ai passé toute mon enfance en France. Mes parents étaient des moldus, comme on dit, qui ne connaissaient strictement rien à la magie alors, j'avoue que j'ai eu peur d'avoir à faire à une crise cardiaque lorsqu'ils ont vu la lettre de Beauxbâtons. Mais non, ils on tenu le coup. Il faut dire que je leur en avais fait voir de toutes les couleurs ! D'un autre côté, même si je ne faisais pas beaucoup d'efforts pour m'intégrer et tout le tralala, j'avais un gros désavantage : je m'appelais Flannery. Ça peut paraître ridicule, n'empêche que ça m'a totalement pourri mes années primaires. Imaginez un peu la scène... »
PROFESSEUR - Je vais faire l'appel, et vous me répondrez présent. Auffay Jérémy ? ELEVE - Présent. PROFESSEUR - Beaumont Flan-neu-rie ?
« Figurez-vous que j'ai eu droit au coup de Flan jusqu'à mon entrée au collège où je n'ai fait qu'une année. Encore heureuse ! Je voyais arriver les vannes en tout genre de loin et moi qui pensais qu'entrer dans une école de magie changerait quelque chose à ça, je m'enfonçais le doigt dans l'œil. Jusqu'au coude même ! Ça a continué à Beauxbâtons mais rapidement les moqueries ont cessé, je m'en suis occupée. Bon, j'avais peut-être une réputation de bagarreuse après ça, mais et alors ? Au moins, j'étais tranquille. Moi, il ne fallait pas me chercher parce que rien ne m'arrête, vous pouvez me croire. »
DIRECTRICE - Votre professeur m'a expliqué la situation. J'aimerais entendre votre version des faits, mademoiselle Beaumont. FLANNERY - Et bien, je me suis faite insultée, madame la Directrice. DIRECTRICE - Est-ce une raison suffisante, selon vous, pour sauter sur l'un de vos camarades et le frapper ? FLANNERY - Je me suis faite insultée de sang de bourbe, madame. J'ai trouvé que mon attaque était justifiée. DIRECTRICE - Miss Beaumont ! Il faut que cela cesse. Vous ne pouvez pas vous permettre de vous battre et d'être insolente, même si vos résultats sont très bons. Ce n'est pas un comportement convenable pour une jeune fille ! J'espère que vous m'avez bien comprise. FLANNERY - Oui, madame la Directrice. DIRECTRICE - Je ne rajouterai pas des heures de retenue en plus, vous devez déjà en avoir pour les deux années à venir.
« J'étais une habituée du bureau de la Directrice et finalement, ça n'a été qu'un avantage pour moi. J'avais beau être toujours convoquée pour de mauvaises raisons, la Directrice m'aimait bien et ça, c'était un véritable plus pour moi. Car madame la Directrice m'a beaucoup aidé à propos de l'orientation. Mais c'est une histoire sans importance majeure. Disons que malgré mes convocations pour bagarres ou autre, j'étais largement avantagée par cela. C'est de cette manière qu'on m'a ouvert les portes du quidditch. Certes, c'était un sport plutôt réservé aux garçons, à Beauxbâtons, mais moi, je m'en fichais complétement puisque ma réputation était déjà fondée. Alors, je suis devenue attrapeuse, dès ma seconde année. C'était pour moi beaucoup plus qu'une passion, je ne vivais que pour ça. Et quand on m'a demandé de devenir tutrice de certains premières années, j'ai tant adoré ça que j'ai finis par en faire mon métier. Il y avait beaucoup de choses qui ne collaient pas entre moi et cette école. J'étais un élément perturbateur certain mais j'étais un peu en trop, en quelque sorte. Du moins, c'est comme ça que je ressentais les choses. Je n'étais acceptée ni par les filles, parce que trop masculine pour ça, ni par les garçons parce que je restais une fille malgré tout. J'avais du mal à me faire des amis, même si je m'entendais plutôt bien avec certains élèves, parce que j'étais vraiment nulle pour me lier aux autres. Le moins qu'on puisse dire, c'est que j'avais l'art de faire fuir les gens. Ce n'était pourtant pas volontaire, j'essayais d'être cool et drôle mais c'était loin de fonctionner. Pour cause, dès que je sortais l'une de mes blagues, personne ne riait. »
FLANNERY - Oh, à mon tour, j'en ai une très drôle ! C'est Dieu, un jour qui demande à Hippo de griffer. Et depuis, Hippo griffe. éclats de rire interminable du côté Beaumont tandis qu'il régnait un silence de mort de l'autre côté. Vous n'avez pas compris ? Hippo griffe, comme un hippogriffe, la bestiole qui vole, l'hippogriffe.
« Si, personnellement, je ris encore en entendant cette blague, elle n'a vraiment pas eu de succès ce jour là. Passons, j'étais le genre de fille un peu trop franche, celle qui agissait comme un garçon, qui sortait des blagues à dormir debout et c'est loin d'être fini, j'étais, en plus, totalement incapable de garder un secret pour moi. Je ne trahissais peut-être pas mes camarades, seulement lorsque l'un d'entre eux avait le malheur de me confier un secret, j'avais l'impression que j'avais le devoir de le redire à une autre personne. »
FILLE 2 - Je ne l'ai dis qu'à toi ! Et maintenant, tout le monde le sait. C'était une fête SURPRISE, tu comprends ça Flamby ? FLANNERY - Ça va, je suis désolée. De toute façon, entre toi et moi, elle n'en a strictement rien à faire de ta fête surprise.
« J'étais comme j'étais. Et parfois, il arrivait que ça plaise à certains, à plusieurs même puisqu'au bout de la quatrième année, j'ai commencé à sortir avec des garçons. J'étais devenue la Marie couche-toi-là de Beauxbâtons, mais qu'est ce que je pouvais bien en avoir à faire ? Qu'ils aillent se faire voir ! Enfin, tout ça pour dire que j'étais loin de me sentir chez moi à Beauxbâtons. J'étais une ado rebelle et en marge des autres. Je savais que mes camarades avaient besoin de bouc-émissaire seulement je ne convenais pas non à ce rôle là. J'ai eu un mal fou à trouver ma place, à tel point que je me suis tuée à la chercher. »
« Quant à ma famille, c'était plutôt chaleureux. J'étais fille unique et j'adorais mes parents, contrairement à la plupart des adolescents de mon âge. Je m'entendais si bien avec ma mère que je lui confiais tout. Quand je dis tout, c'est réellement tout. Elle connaissait le nom du garçon avec qui je sortais, celui avec qui je venais de sortir et celui avec lequel j'aurais aimé sortir. Elle connaissait tous les noms de tous ceux à qui j'avais, un jour, mis une raclée. Bref, je lui expliquais réellement tout. Alors quand j'ai dû partir pour Londres, et pour Poudlard, ça lui a brisé le cœur. J'essayais de lui envoyer Titi, mon hibou, le plus souvent possible mais elle avait horreur de cet oiseau. Ils sont tout de même rester en France, seulement, je ne les voyais qu'exceptionnellement. Imaginez un peu ce que ça a pu me faire quand j'ai été appelée chez eux, exceptionnellement, parce qu'on venait de m'annoncer que ma mère avait succombé à un cancer. Le mot m'était resté à l'esprit pendant des mois, des années même. Je n'arrivais tout simplement pas à le croire. Elle avait un cancer et ne m'avait rien dit, à moi qui pourtant lui avait toujours tout confié. Ça m'a fait un choc mais j'ai finis par comprendre que j'étais sa petite fille et que ça devait être très dur d'annoncer ça à son enfant. Je suppose qu'elle ne voulait pas que j'ai peur pour elle parce qu'elle n'avait pas peur de mourir. Mon père n'a plus jamais été le même après ça. Il a perdu sa joie de vivre et malgré son âge encore assez jeune, il n'a jamais cherché à retrouver quelqu'un. Dans mon for intérieur, je savais que désormais, sa vie à lui aussi tenait à un fil. Alors, je l'ai emmené avec moi et il a commencé à remplacer le rôle de confidente qu'avait ma mère. »
PÈRE - Et alors ? Qu'est ce que tu lui as dis, à la fille ? Tu t'es battue avec ? FLANNERY - Tu parles que je me suis battue avec ! Elle était méconnaissable après ça. Elle m'a cherchée, elle m'a trouvée ! PÈRE - Ce n'est pas bien, Flanny ! Tu ne devrais pas te battre, tu vas finir par avoir des ennuis avec ça. [color=rosybrown]FLANNERY - Papa, je ne suis plus une gamine. Et j'assume les responsabilités de mes actes. PÈRE - Hm... m'ouais. Et sinon, tu lui a mis une droite ? Un crochet, peut-être ?
« Mon père était devenu un expert sur ma vie en général. Et c'était un très bon conseiller question sentimentale. Finalement, je n'avais pas besoin d'être quelqu'un en particulier pour plaire. La preuve : je plaisais à mon père sans avoir besoin de faire semblant. Alors j'ai définitivement arrêté de me chercher une identité, de me chercher tout court et j'ai continué à être ce que j'avais été jusqu'à présent. »
Dernière édition par Flannery J. Beaumont le Sam 6 Nov - 6:52, édité 5 fois
Galadriel E. Weasley
⊰ PARCHEMINS : 290 ⊰ INSCRIPTION : 09/10/2010 ⊰ CRÉDITS : cristalline ⊰ ÂGE RPG : seize ans ⊰ PSEUDO : * ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9644
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Sujet: Re: CALAMITY JANE Mer 3 Nov - 6:31
ReBienvenue & bonne continuation pour ta fiche ! Personnellement, j'aime beaucoup Keira & Mélanie :)
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: niet.
Sujet: Re: CALAMITY JANE Mer 3 Nov - 6:36
Pourquoiiii encore une française ? é___è
Re-bienvenue ! Pour l'avatar, je ne sais pas. Ca serait super d'avoir des idées / lignes directives (en gros hein) du personnage pour qu'on t'aide
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Sujet: Re: CALAMITY JANE Mer 3 Nov - 6:40
Merci à tous les deux. ♥ Oui, désolée je n'y ai pas pensé ><' Pour le caractère je la vois très maladroite mais tout en ayant de la volonté. On la prendrait pour une gentille petite prof alors qu'elle sait parfaitement tenir une classe et si elle avait été à Poudlard, je l'aurais bien vue à Poufsouffle. (: Ensuite, j'avoue que je ne vois pas trop, j'espère que ça suffit. :/
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Sujet: Re: CALAMITY JANE Mer 3 Nov - 6:42
MÉLANIE LAURENT IIIII(...)IIIIIIIIIH Elle convient bien pour le personnage, en plus. et ton identité doit-elle rester secrète ou tout le monde a déjà deviné ? rebienvenue.
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Sujet: Re: CALAMITY JANE Mer 3 Nov - 6:46
Merci Geoo ♥ Mdr, non tout le monde a deviné (enfin je crois (: )
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Sujet: Re: CALAMITY JANE Sam 13 Nov - 8:42
À toi aussi je te dois des excuses, ça fait UNE SEMAINE que t'attends, je suis IMPARDONNABLE. bref, je te valide, plutôt deux fois qu'une, et m'excuse encore une fois, j'étais plutôt occupée cette semaine.