crédit (absolutefucker@tumblr). → PATTERSON ERATO SINA, dite l'ignoble manipulatrice. Niark.
Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Elle est né(e) à Londres en ce beau jour qu'est le 18 juillet 2052 en tant que sang pur ; à présent elle vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être excellent. Il y a quelques années maintenant, il/elle s'est procurée une baguette faite en bois de saule, mesurant vingt-six centimètres et contenant un poil de licorne. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un fenec. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : Erato gagnant un grand pris de distinction en magie. Sa mère est à ses côtés, fière d'elle. Elle tient la main à un James apaisé qui jette un regard aimant à sa fille. A leur côté se tient Rémus, qui pose une main protectrice sur sa soeur . Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une étrange silhouette, qui symbolise probablement la mort ou l'inconnu, dans son cas. |
→ the best day of my life.HISTOIRE. Sept cent mots minimum. Tout les souvenirs que vous allez voir à présent appartiennent à des personnes plus ou moins proches d’Erato. Ces souvenirs sont subjectifs et ne reflètent pas toujours la réalité. Ils vous sont accessibles grâce à la pensine gentiment prêtée par les entreprises memories&Co. (Chemin de travers, 3ème rue à gauche.)
Bon voyage.Evannaël Meyers -
Ami d’enfance d’EratoIl fait presque nuit, seul les quelques lueurs rouges du soleil mourant éclairent encore le grand parc du quartier chic de Londres. La morphologie du terrain trace une longue pente, suivit d’un vaste plat de quelques kilomètres. Deux enfants jouent inconsciemment sur les balançoires. La petite fille a une longue chevelure rousse qui tombe jusqu’en bas de son dos et vole au fur et à mesure qu’elle se balance. Elle porte une robe de poupée de couleur violette. Elle ne soit pas avoir plus de 7 ans. Le jeune garçon, lui, semble plus âgé, surement un ou deux ans de plus. Il a les cheveux courts, et un nez aquilin. Son teint est extrêmement pale. L’enfant à l’air malade. Il pose des yeux vitreux sur la gamine, qui à l’air pleine de vie à ses côtés.
-« Era, est-ce qu’on se mariera plus tard ? »
Erato le regard en souriant. Puis elle éclate de rire, d’un tout petit rire cristallin d’enfant. Son sourire dessine deux faussets dans ses joues. Ses yeux s’arrondissent en deux croissants de lune. Elle a un énorme bleu sur la joue droite.
-« Tu sais bien que c’est impossible Evan, mon prince charmant doit venir me chercher ».
Un long silence s’installe entre les deux enfants. Le vent gémit une longue plainte et caresse la cime des arbres qui bouge lentement. La nuit est maintenant tombée, et l’obscurité enveloppe les deux enfants. La gamine sort un bout de bois et d’un mot en fait jaillir un trait de lumière. Evannaëlle se tourne vers elle.
-« Que s’est-il passé Erato. Ta joue. »
Erato ne répond pas. Puis, après quelques minutes, elle lâche dans un murmure.
-« Papa a des problèmes au travail. Il ne voulait pas que je fasse quelque chose, mais je l’ai fait. Et je me suis fait disputé .»
A nouveau, on entend plus un bruit. Au loin, une silhouette se découpe. La petite fille glisse sa main dans celle du garçon. Elle tremble un peu, elle a surement froid. Evannaël voit Mr. Patterson qui s’approche d’eux. Il claque sa main sur la joue de sa fille et l’attrape pour le poignet.
-« Je t’ai déjà dit de ne pas trainer avec ces enfants de sang-mêlé, il me dégoute. Et cesse la magie en public ! »
Le garçon regarde la petite fille s’éloigner, il voit dans le regard de son père quelque chose qui a une profonde inhumanité. Il ne dit rien à personne. Le lendemain, ni Erato ni lui ne reparle de ce qui s’est passé ce soir là.
Remus Patterson –
Grand frère d’EratoLe feu a créé une douce chaleur qui tapisse t toute la pièce et la rend bien plus accueillante qu’à l’ordinaire. C’est un salon de type aristocrate, avec des meubles qui date d’époques qu’on ne connait plus. Des chandeliers éclairent la pièce. La seule originalité est celle qu’apportent les étranges objets posés sur les étagères d’une vitre fermée à clé. Un jeune homme est assis au coin du feu. De sa baguette magique, il fait voler des cendres dans la cheminée. Il doit avoir une vingtaine d’année et est d’une extrême beauté. Le jeune homme entend la porte d’entrée, et se dresse comme si il avait reconnue la personne qui venait d’entrer. La silhouette d’une jeune fille, d’environ une douzaine d’année, se dessine à la porte. La jeune fille a des cheveux mi-longs roux. Ces yeux verts pétillent d’intelligence. Elle porte un vieux jean troué et un pull trop grand pour elle. Malgré ces vêtements, on devine que la jeune fille est en train de devenir très belle. Elle jette un regard sur la table et son regard se fige. Elle devient en un instant très pâle. Remus voit la bouteille sur le guéridon et lance à sa sœur un regard triste. Les pas lourds de son père résonnent dans les escaliers. On entend rapidement sa voix rauque.
-« Ou sont ces sales petits sang de bourbe . »
Cette fois ci, c’est une voix de femme qui s’élève, et qui semble se dresser contre la voix grave de l’homme.
-« Laisse les James ! Tu ne veux pas qu’ils te haïssent ! Tu ne veux pas qu’ils te craignent toute leur vie ! »
Le jeune homme prend sa petite sœur par la main et court jusqu’au placard ou il la fait entrer. Quelques instants plus tard, il se retrouve face à un homme imposant, à la longue barbe noire. Il a un regard fou et sent le mauvais whisky Il envoi son poing dans le visage de Rémus.
-« Ne touche plus jamais à mes affaires, petit con. »
Puis, il lui envoie un coup dans l’estomac, se retourne et quitte la pièce. La fille sort de l’armoire et vient enlacer son frère. Il la regarde et sèche les larmes qui on coulé sur ses joues.
-« Un jour Erato, je te sauverais. Mais tu dois me promettre une chose : ne montre jamais aux autres qui tu es, ne leur dis jamais la vérité, car si tu es faible, ils t’auront, tu comprends ? Même si tu dois être méchante, même si tu dois mentir et manipuler les gens, il ne faut jamais qu’ils sachent qui tu es. Il en va de ta survie. Je t’aime Erato.»
Il enlace sa jeune sœur.
Harvey Milles –
Gardien de prison à AzkabanHarvey Milles venait de prendre son tour de garde. Il arpentait les couloirs lugubres de la prison, à la recherche du moindre signe de la plus infime anormalité. Harvey Milles aimait que les choses soit droites et carrés, il aimait l’ordre et le faire respecter. Il était sortit de Poudlard avec tout les honneurs, et était considérait comme un très bon sorcier. Aimé de la plupart de ses collègues, il était invité à tous les barbecues du dimanche. Ce soir, Harvey pensait vraiment que cette soirée serait comme les autres.
Au bout du couloir, Milles croise son collègue, Hoover. Il lui fait un bref signe de main. Hoover s’approche de lui.
-« Un nouvel arrivant ce soir Harvey. Il s’appelle Patterson, Rémus Patterson. Le gamin a assassiné son père. Avec un sort impardonnable en plus Parait que le vieux bâtait sa femme et ses enfants depuis des années. Un sale type si tu veux mon avis. Le mec en question faisait partit de l’aristocratie sorcière. Il s’était fait viré du ministère. Il buvait comme un poivrot. Un vrai scandale ! le fils a pas supporté, il l’a assassiné . »
Milles ne dit rien. Il n’y a rien à dire. Des gamins qui tuent leur père, c’est jamais une histoire qu’on aime entendre. Même si le père est un véritable salaud.
Milles réceptionne le gamin. Il a une tête de cadavre et un regard de dément. Il lui fait froid dans le dos. On lui retire toutes ses affaires personnelles. Le gamin lui donne une lettre, et lui dit qu’elle doit être remise à sa sœur. Harvey la prend et la glisse dans sa poche.
A la fin du service, Milles enlève son uniforme et se souvient de la lettre du gosse. Il la déplie presque machinalement. Quelques mots sont tracés à l’encre noire.
«
Erato, ne te sens pas coupable. Je ne l’ai pas fais que pour toi, mais aussi un peu pour moi. N’oublie pas la promesse que tu m’as faite un jour. Je t’aime. Rémus. »
Katherine Patterson –
Mère d’EratoLa pièce a l’air ancienne, les murs sont faits de vieilles pierres. En fait, elle semble appartenir à un château. Une femme regarde Erato, une femme au regard sévère. Ses lèvres pincées sont souvent le signe de sa colère. Un flot de paroles ininterrompues tonnent et résonnent dans la pièce.
-« Mlle Patterson, votre comportement est totalement inadmissible ! Vous avez poussé une quatrième année à voler dans le bureau de notre professeur de potion en lui promettant un filtre d’amour ! Je ne parle même pas des nombreuses reprises à l’ordre pour votre comportement et de Mr Hillwood qui s’est accusé à votre place par on ne sait quel miracle. Vous êtes une sorcière extraordinairement douée Patterson, mais si vous ne changez pas tout de suite d’attitude, nous serons au regret de vous exclure des murs de l'école. »
Une femme, environ la quarantaine, n’avait dit mot depuis le début de la scène. Elle se tourna vers le professeur.
-« Nous vous promettons que cela ne se reproduira plus. N’est-ce pas Erato ? »
La jeune fille acquiesça en silence, et lança un regard malicieux et victorieux à sa mère.
-« Bonne journée mesdames, Patterson, vous êtes attendue en métamorphose. »
Les deux femmes sortent de la pièce et marchent dans le couloir. Katherine brise le silence qui s’est installé entre elles.
-« Erato, tu n’es pas obligée d’être ainsi. Tu n’es pas obligée d’être une immonde garce. Tu le sais autant que moi. Tu es une jeune fille formidable Era, n’ai pas peur de le montrer aux autres. Tu ne risques rien à être quelqu’un de bien mon cœur. »
-« J’ai promis à quelqu’un que j’agirais pour mon bien. J’agis pour mon bien maman, je me protège des autres. »
-« Ce n’est pas parce qu’ils te détestent que tu seras plus en sécurité. N’ai pas peur d’aimer Era. Je sais que ça n’a pas été facile. Je sais que tu ne sais pas t’attacher, parce que tu as peur de trop souffrir par la suite. Mais enfin, Erato, ne suit pas les paroles de ton frère. Je sais que tu l’aimais énormément, mais il a tué ton père. Ton frère n’est pas quelqu’un de bien ma chérie . »
La vois d’Erato explose dans le couloir, les quelques élèves présentes se tournent vers elle.
-« Il nous a sauvé la vie maman ! »
A présent, elle parle dans un murmure.
-« S’il ne l’avait pas fait, tôt ou tard, je m’en serais chargé . Je dois y aller. Au revoir maman ».
Elle tourna et s’éloigna dans le couloir. Sa mère eut à peine le temps de prononcer un inaudible « je t’aime ».
→ oh, oh, it's magic, you know.Le soleil filtrait à travers les branches du grand saule qui abritait trois sorcières qui participait à une discussion animée. Il faut dire que les derniers événements, l’arrivée des élèves des autres écoles et le mystère qui planait autour de cette étrangement débarquement ne laissait personne de marbre. Et surtout pas Erato Patterson, qui en terme de ragot, était la reine incontestée. C’est justement un de ces jeunes nouveaux élèves qui se fessait aujourd’hui ridiculisé par cet imbécile de Serpentard, John Johnson, quoi en plus d’avoir un nom pathétiquement ridicule, n’avait pas plus de cerveau qu’une huitre. Une jeune fille à la chevelure blonde pris la parole.
- « Encore un qui se fait avoir, il arrive dans une autre école et tombe sur Johnson. C’est une véritable tragédie grecque, c’est nouvelle petite chose tombe comme des mouches . »
A vrai dire, c’est vrai que les nouveaux arrivants avait du mal à s’intégrer. Déjà, il y avait la barrière de la langue. Si la plupart des élèves avaient appris à parler en anglais, leurs insupportables accent allemand et américains les rendait parfois totalement incompréhensible Elle devait cependant reconnaitre que l’accent français de certains jeunes hommes ne les rendait que plus attirant à ces yeux. A vrai dire, ils l’intriguaient au plus haut point. De nature curieuse, Erato aimait s’intéresser à toute els cultures existantes. Ces nouveaux arrivants étaient des cobayes nés pour ses expérimentations anthropologique. Et puis, franchement, ils étaient intrigants. Qui étaient-ils? Que faisaient-ils ici? Et pourquoi (diable, pourquoi!) avaient-ils été contraints d’abandonner leurs écoles. Rien de tout cela n’était normal, et quoi qu’on en dise, il fallait que quelqu’un résolve cette énigme. Et vite, par ce que la curiosité malsaine de l’être humain finirait par rendre la situation invivable. Erato se leva et se diriga vers le garçon.
- « Johnson, mon chou, je sais que c’est dans ta nature de vouloir truander et passer pour l’abominable méchant loup, mais je t’en supplie, sauve au moins l’hospitalité anglaise! C’est à cause de toi que nous sommes appelés « rosbifs » par nos chers amis français. Soit gentil, laisse cette pauvre petite chose en paix . »
Le jeune garçon se retourna vers elle.
- « Erato, lueur de ma journée, je ne saurais te refuser quoique ce soit. »
Un sourire ironique traversa son visage de gauche à droite, Erato se dit qu’il avait définitivement un né bien trop gros.
- « Quand m’accorderas-tu l’immense honneur d’une folle nuit d’amour avec toi! »
Erato s’approcha du jeune homme, tant bien qu’à présent, elle pouvait sentir son souffle chaud et pestilentiel.
- « John, Darling, tu peux toujours courir . »
Elle assena un coup de genoux dans son bas ventre et pris par le poignée la jeune étrangère. Quand elle furent assez loin de Johnson, Erato lui jeta un regard.
- « Je m’appelle Erato Patterson. Ne fais pas attention à lui, il est représentatif d’une infime partie de notre population que l’on nomme les sombres crétins. Si il revient t’ennuyer, fais appel à moi, j’ai un don inné pour le remettre à sa place. Maintenant dis moi, d’où viens tu, et qui es tu? »
→ i am not a robot. ton pseudo : Euh.... gomar! ton âge : 19 balais et quelques pelles (voir une tripotée de râteaux). ton avatar : Evan Rachel Wood ton avis sur sonorus : God, je surkiffe le contexte! Niveau design, je suis pas super fan du blanc brule-rétine et certaines couleurs de texte sont illisibles. M'enfin, j'espére que l'ambiance est cool et qu'on peut s'intégrer facilement! si je te dis what else ? tu me réponds : Nespresso!
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