Sujet: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 2:10
(c) psychozee.
→ PREWETT, DARYAN SEARA,dite La Bénie Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année année au collège. Elle est née à Londres en ce beau jour qu'est le 20 mars 2043 en tant que sang-mêlée ; à présent elle vit toujours dans la capitale anglaise. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être très bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois d'aubépine, mesurant vingt-neuf centimètres et contenant un ventricule de coeur de Magyar à Pointe. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une licorne. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Riséd : un Noël en famille, empli de cadeaux et de joie. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Le sien prend la forme d'un labyrinthe, qui représenterait d'après elle plus le vide que se perdre, dans son cas.
Spoiler:
→ i am not a robot. ton pseudo : Felicis ou Félicia, faites-vous plaisir. ton âge : 17 ans. ton avatar : Dianna Agron. ton avis sur sonorus : JOLI JOLI LE FORUM, J'AIME. si je te dis what else ? tu me réponds : WTF.
Dernière édition par Daryan S. Prewett le Mer 10 Nov - 10:48, édité 8 fois
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 2:11
→ the best day of my life.
« Ce n’est plus suffisant pour moi ! » « Mais bon sang Jeanne, de quoi tu parles ? » « De toi ! De cet endroit ! » Edward était bouche bée devant son épouse qui tournoyait en rond autour du living-room, quasiment prise de nausée et de folie. Il ne comprenait pas, elle ne voulait rien. Plus d’amour, plus d’amitié. Elle ne désirait que s’échapper de ce qu’elle appelait « son enfer quotidien ». La sœur d’Edward fixait la scène avec une discrète attention, pestant intérieurement contre sa belle-sœur. Va-t-en, rien ne te retient. Pars, Jeanne, et ne reviens plus. Elle pensait sans le dire à voix haute, et elle qui n’avait jamais apprécié l’épouse de son jeune frère se retrouvait comblée. « M… mais tu ne peux pas. » « J’ai tout les droits, Edward ! » s’écria-t-elle, à présent quasiment démente, comme si une chaîne tentait de la maintenir sur place afin de ne pas la laisser partir. « Certes, mais tu oublis que nous avons une fille. Tu oublis que c’est toi qui l’a mis au monde, et voilà que tu t’apprêtes à la laisser tomber. Notre fille ! Ton enfant ! » A présent, voilà que lui-même se mettait à perdre le contrôle de la situation. Il semblait sortir de ses gonds, le regard exorbité, la voix brisée. Je veux tout oublier, quitte à tuer ma dignité. Jeanne eut un léger mouvement de gêne, voir, se préparant même à poser les bagages qu’elle avait empoignée quelques instants auparavant à terre. Cependant, elle se ravisa rapidement, à présent ferme et décidé. « Non. C’est terminé. Je m’en vais. On ne se reverra pas. Daryan est mieux avec toi, elle ne sera pas heureuse avec le mode de vie que je compte mener. » Catégorique, elle se racla la gorge, telle une intention de rajouter une phrase. Mais elle n’en rajouta pas plus, faisait demi-tour vers la porte d’entrée – et de sortie à l’occasion – et l’ouvrant à la volée. A l’extérieur, une épaisse couche de neige recouvrait le sol londonien, tandis qu’une Mercedes noire aux vitres teintées dernier cri attendait Jeanne. « JEANNE ! » s’exclama Edward, douloureusement mais avec une force surprenante. La concernée se retourna, ses cheveux blonds et mi-longs virevoltants avec elle. Ses yeux d’un gris perçant le fixèrent durant une fraction de seconde avec une peine infinie. Puis ce fut brusque. Tel un éclair dans une nuit d’hiver, tel un faucon s’envolant au loin. Jeanne se détourna, ouvrant la portière de la Mercedes et montant dans la voiture, tandis qu’un homme de haute stature hissait ses bagages dans le coffre. « Jeanne, reviens ! » Edward hurlait ces deux mots avec un chagrin étouffant. Ce n’était pas un adieu. C’était bien plus que cela. Sa benjamine de sœur, Cynthia, se leva de son fauteuil et ferma la porte de la maison, tandis qu’Edward retournait dans le living-room, se laissant tomber sur le confortable canapé beige, ahuri et décontenancé. C’est alors qu’une fillette fit irruption dans la pièce, d’une démarche prudente mais innocente. Ses cheveux dorés ruisselaient jusqu’à sa taille, tandis que sa peau pâle luisait grâce au lustre d’or accroché au plafond. « Pourquoi tu criais avec maman, papa ? » Il leva ses yeux humides et ravagés par la tristesse vers la petite Daryan, esquissant un sourire à peine visible et répondant d’une voix étranglée : « Parce qu’on ne lui plaît plus, mon ange. »
♣
Dans un cachot, je veux te voir mourir. Elle but une gorgée de son jus d’orange, fixant la vaisselle impeccable, ainsi que les tasses alignés dans le plus long tiroir de la cuisine. Des tasses de porcelaines, fabriquées en France et en Italie, des cuillères en argent, des assiettes d’un blanc à en fendre le cœur une future mariée comparant la blancheur de l’assiette et de sa robe qu’elle allait porter à sa cérémonie de mariage. Même la table était recouverte d’une délicate nappe rouge sans défaut. A croire qu’elle déjeunait à Versailles… La vieille femme qui vivait ici en tant que ménagère reprit les couverts posés sur la table et à présent vides afin d’entamer une courte vaisselle. Dans cette villa, tout était organisé et chaque objet pris devait absolument retrouver sa place initiale. L’atmosphère semblait certes sainte, mais pour cette jeune fille de onze ans, l’endroit était plus oppressant qu’apaisant. Daryan Prewett soupira, levant ses yeux vers le plafond pour ensuite contempler le sol carrelé. « Daryan, j’aimerais que tu me regardes et qu’on parle, tu veux ? » La voix de sa mère retentit et résonna dans la cuisine. Elle lui jeta un coup d’œil interrogatif, se demandant de quoi pouvaient-elles parler à ce moment-ci. Du plat qu’elles venaient de déguster ? Déjà fait : il avait été délicieux. D’aller faire du shopping ? Inutile, son père l’avait emmené au centre commercial avant-hier. Il s’était contenté de commenter ses tenues, de se moquer de femmes obèses qui les bousculaient et de payer sans broncher. L’effet aurait été particulièrement différent si elle aurait été partie faire les boutiques avec sa génitrice… « Chérie, tu viens une semaine sur deux pour passer du temps avec moi et tu ne dis jamais grand-chose… tu es ma fille, j’ai besoin nouer une relation convenable avec toi. Quand je suis avec toi, j’ai l’impression de ne pas être une mère. » Daryan s’était mise à la regarder, à présent. Cette femme qui ne partageait que le même sang qu’elle, mais rien en commun. C’était vrai. Depuis que le divorce de ses parents avait été prononcé, elle se devait d’obligatoirement rendre visite à sa mère un week-end sur deux. Ces visites n’avaient rien de très attrayantes… elles étaient souvent mornes et dénuées de plaisanteries. A l’instant même, elle résistait à l’envie de s’échapper en courant, de monter dans le premier bus pouvant la mener chez son père ou chez sa tante, et regarder la télé en paix, un paquet de chips et de cookies dans les mains. « Lance un sujet, alors. » Elle haussa un sourcil, tandis que pour son plus grand malheur, Jeanne se heurtait au regard critique et intuitif de sa fille. Jeanne devait certainement prendre cela comme un défi, car ses lèvres tremblèrent et elle finit par lâcher d’un ton fébrile : « Eh bien… parlons de l’école que tu as choisi l’année prochaine. Ton niveau scolaire est bon, tu iras dans un collège privé, c’est ça ? » Oh, que Dieu lui vienne en aide. Elle aurait voulu éviter ce sujet de conversation, mais de toute évidence, il aurait été inévitable. Son père lui avait dit de lui dire la vérité en face et de ne pas avoir de pitié. Cependant, c’était assez difficile de le lui dire. Du haut de ses onze années d’existence, ce type de choses n’était pas son fort. « Bah… » « Bah quoi ? Tu m’as dis que ton père t’autoriserait à aller étudier dans un collège proche de Piccadilly pour que tu puisses aller au fast-food manger des cochonneries au McDonald’s. Ce projet se concrétise, n’est-ce pas ? » Voilà qu’elle jouait à la « maman autoritaire ». Ah ! Si seulement elle pouvait savoir ! Si seulement… mais dans cette histoire, elle n’était qu’une ignorante. Elle ne savait rien de l’histoire, rien du tout. Dommage pour elle. Sauf que Daryan n’allait pas pouvoir l’esquiver aussi facilement, finalement. Elle inspira profondément, se résignant. « M’man, je dois t’avouer quelque chose. Et tu devras être capable de ne pas t’énerver, ou pire, de m’étrangler. » Les yeux d’aciers de sa mère se plissèrent. Elle semblait intriguée et perturbée à la fois. Daryan se sentait presque insulter par ce début de réaction bien étrange. Pas plus que la nouvelle qu’elle allait lui avouer, néanmoins. « Tu liras ça toi-même, d’accord ? » « Evidemment, je n’attends que ça. » Elle plongea sa main dans sa poche, pour en ressortir un parchemin jauni et froissé. Elle le déplia, reniflant inutilement et levant un regard faussement intimidé vers sa mère. Daryan lui tendit la lettre ainsi que l’enveloppe qui avait recouvert cette lettre quelques jours auparavant. Sa mère saisit le document. Ses pupilles parcouraient les lignes à une vitesse incroyable, repassant au début pour se reposer de nouveau – et certainement – sur la dernière ligne. Les mains tremblantes, elle lâcha la lettre qui s’écrasa sur la table mollement. Elles se fixèrent durant un long moment : le silence était maître. Puis ce fut l’explosion nucléaire. « JE LE SAVAIS ! JE LE SAVAIS ! PETIT MONSTRE ! IGNOBLE HUMAINE ! TU N’EN ES MÊME PAS UNE ! SI J’EN AURAIS EU LE DROIT, JE T’AURAIS FUSILLE SUR LE CHAMP, SALOPRIE ! » Surprise, Daryan sursauta violemment, tandis que Jeanne s’était brusquement levée, sa chaise basculant en arrière et se fracassant sur le sol avec un bruit sourd. Tandis que les battements de son cœur ralentissaient pour revenir à un rythme normal, ses pensées déferlaient à toute vitesse dans son cerveau en ébullition. Elle s’était attendue à une autre réaction… une réaction plus posée, plus maternelle et compréhensive. Non, Daryan. Ne t’as-t-on toujours pas dit que les plus vieux pouvaient t’avaler, petite ? Ce n’était pas normal de lui en vouloir à ce point, tout de même… quoique. Elle ne voyait même plus l’intérêt de se justifier. Avait-elle à se justifier ? Après tout, chacun naissait comme il était. On ne reniait pas ses origines, ni ses gènes. On ne pouvait pas changer sa vie en un tour de main. Il fallait s’assumer. Observant le visage rougi par la colère de sa mère, elle ne se détourna pas, la défiant du regard, les lèvres pincées. Son père avait raison : sa mère n’était pas le genre de personne tolérante, capable d’accepter de quelconques différences et anormalités diverses. Alors, autant couper les ponts. Ne plus jamais revenir et vivre sa vie… vivre une existence magique avec son père, qui l’incitait à aller à Poudlard, cette école de sorcellerie dont elle n’avait jamais entendu parler… Jeanne se radoucit, mais elle était toujours sous le choc. « Je… je crois que je vais t’emmener chez ton père. Tu ne peux pas rester ici… ce serait néfaste pour tout le monde. Tu partiras et nous ne nous reverrons plus, Daryan. Je ne veux pas d’explications. » La mine dégoûtée, elle sortit hors de la pièce, marmonnant des paroles insensées, tandis que la jeune fille la regardait partir, encore plus dégoûtée que ne l’était sa mère.
Dernière édition par Daryan S. Prewett le Mer 10 Nov - 1:58, édité 9 fois
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 2:11
→ oh, oh, it's magic, you know.
C’était euphorique. Comme à chaque début de mois de septembre depuis à présent quelques années, elle ne s’était jamais sentie plus heureuse. Mais cette année allait s’annoncer particulière, après le discours monotone du directeur… effectivement, voilà qu’ils allaient se mettre à accueillir des élèves de Beauxbâtons, Salem et Durmstrang. Quoi de plus malchanceux pour les élèves de Poudlard ? Certes, en regardant autour d’elle, Daryan pouvait voir des figures familières, excitées et joyeuses à l’idée de pouvoir remplir leurs carnets d’adresses prochainement. Mais ça ne concernait qu’eux… dans son cas, elle s’en contrefichait. Après tout, d’ici un an, elle allait mener une autre vie et sans doute oublier ces individus qui venaient squatter leur école. Et elle n’était pas le genre de fille à se sociabiliser avec des personnes inconnues : elle attendait plutôt qu’on vienne vers elle et la plupart du temps, elle avait suffisamment de succès. Oui, il était quasiment impossible de la détester. Elle était toujours peu agaçante, évitait toujours les disputes sauf quand il le fallait, était indépendante et de ce fait, ne demandait jamais une quelconque aide à autrui, et faisait preuve d’un calme assez désarçonnant lors de situations délicates. Enfant, elle ne faisait pas de bêtises et son père la qualifiait de « facile à vivre », tout comme ses amis. Soudain, des acclamations se firent entendre. Se tournant vers la table des professeurs, elle vit qu’ils applaudissaient tous, ainsi que la plupart des élèves assis. Les portes de la Grande Salle s’étaient ouvertes, laissant entrer des élèves vêtus de bleus : des français. Vu leurs expressions supérieures, ce ne devait être qu’eux. « Ryan, elles sont pas mal quand même, tu trouves pas ? » Conner lui tapota l’épaule, sans même se gêner : sa question déplacée fut posée à voix haute, si bien qu’une élève française l’entendit. Pourtant, ce ne fut pas réellement Conner qui l’indigna mais illogiquement, Daryan. La mégère la fixa avec désarçonnement, levant les yeux vers le ciel avant de dire d’une voix théâtrale à son amie de gauche : « Ces anglais sont vraiment insensés ! Ce garçon vient d’appeler sa copine blonde « Ryan » ! A croire qu’en Angleterre, les filles sont hermaphrodites. » Sa camarade éclata d’un rire faussement cristallin, se retournant au passage pour la dévisager d’un air moqueur. « Pff, c’est bien dommage pour une jolie fille. » Elles pouffèrent de rires, défilant au loin telles des mannequins provenant de la dernière fashion-week parisienne. Conner, absorbé par les françaises, n’avait pas entendu ces « flatteries » peu plaisantes. Les fusillant du retard, Daryan eut une moue dédaigneuse, mais des souvenirs refirent surface… à présent, elle se rappelait pourquoi on l’avait surnommé Ryan. Ce fait datait de sa première année d’étude, où sa douceur avait laissé place à un comportement peu féminin : elle avait donné un coup de pied bien placé à un élève qui n’avait cessé de la taquiner depuis qu’elle était montée dans le Poudlard Express, sous les yeux médusés des autres élèves qui s’apprêtaient à se faire répartir. On l’avait ensuite surnommé Ryan, faisant honneur à son tempérament de garçonne quand elle pouvait s’y mettre. Depuis, ce surnom ne la quittait plus. Comme quoi elle avait deux façades : la Daryan réservée et posée, mature et tendre, et la digne descendante non-Cracmolle depuis plusieurs générations des Prewett : fougueuse, courageuse et impulsive. En fouillant dans des archives, elle avait en effet découvert que deux frères au nom de Prewett avaient été éliminés durant une guerre datant d’un siècle, et on lui avait assuré qu’il n’existait pas d’autres Prewett et que ce nom n’était certainement pas courant. De lointains ancêtres, certes, mais qui la confortaient dans l’idée qu’elle n’était pas l’unique spécimen de la famille… D’ailleurs, contrairement à sa mère qu’elle n’avait plus revu depuis cette fameuse scène où elle lui avait annoncé qu’elle était une sorcière mais qui lui envoyait tout de même une importante somme d’argent chaque mois, son père l’encourageait sans cesse à devenir une excellente élève afin qu’elle devienne « quelqu’un » et qu’elle ne termine pas chirurgienne dans un hôpital d’humains banals et sans intérêts tel que lui avait fait carrière dans la médecine – mais avec brio – en regrettant d’être un énième Cracmol de la famille. En arrivant à Poudlard, la jeune femme avait découvert une paix intérieure sans précédent : elle avait tracé un excellent parcours scolaire, s’était faite des amis dont elle n’arrivait pas à se séparer et s’était prise d’amour pour le sport le plus réputé dans le monde de la magie : le Quidditch. Sur le terrain, on avait rarement vu une joueuse aussi silencieuse et appliquée à la fois. C’était pour ça qu’on l’appelait parfois « La Bénie » : elle ne ratait et n’échouait quasiment jamais, autant pendant les matchs de Quidditch que pour ses notes, ou pour détendre l’atmosphère quand personne n’était là pour le faire, par exemple. « Tu sympathiserais avec les françaises ? Les bulgares sont plus agressives, alors… » Ryan jeta un regard scandalisé à Conner, réprimant un frisson. « Hors de question ! Tu les fourrerais juste dans tes couettes pour un soir et tu les jetterais le lendemain, quel intérêt ? Puis, elles n’en valent pas la peine. » Conner haussa les épaules, dépité. Oui, elle ne pouvait pas exaucer le moindre désir de ses amis… et surtout pas lui livrer des filles peu farouches. « Mais si tu veux je peux compenser. » lança-t-elle, ses yeux noisettes animés d’une lueur de malice qui était fréquente chez elle. « Ryan ? » « Quoi ? » « T’es diablement conne. »
Dernière édition par Daryan S. Prewett le Mer 10 Nov - 10:44, édité 6 fois
Galadriel E. Weasley
⊰ PARCHEMINS : 290 ⊰ INSCRIPTION : 09/10/2010 ⊰ CRÉDITS : cristalline ⊰ ÂGE RPG : seize ans ⊰ PSEUDO : * ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9644
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 2:14
Bienvenue & bonne continuation pour ta fiche J'aime ce qu'elle voit dans le miroir du Risèd et l'épouvantard *-*
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: KATE NASH & PAUL EPWORTH, foundations ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 3:28
BIENVENUE. Prewett, en rapport avec Molly, Fabian et Gideon ? Car à part la descendance Weasley, dont aucun ne porte le nom Prewett, je ne pense pas avoir lu qu'il y avait eu des enfants de ce côté de la famille.
edit : Dianna est utilisée par un prédéfinis.
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 3:43
MERCI POUR L'ACCUEIL.
Tristan : T'as succombé, hein. :p Héhé, moi-même j'ai aucune idée de comment sera Daryan, mais bon, j'ai déjà des idées par-ci par-là. Georgie : Ouais, c'est à peu près en rapport avec Molly, Fabien et Gideon. En fait j'ai vérifié sur un site et ils ont un cousin Prewett aussi, qui est devenu comptable et qu'ils ne mentionnent plus... donc j'ai pensé à faire de mon personnage une des descendantes de ce mec tombé dans l'oubli... et comme j'adore ce nom bah ça en est venu à là... mais si c'est pas possible je change, sans soucis. :)
Zut j'viens de voir que y avait un post en plus dans le bottin d'avatars... Ben, heu, là je suis un peu coincée parce qu'elle m'avait quand même assez inspirée. Ben je vais changer de célébrité alors, à moins que je prenne le prédéfini si ça m'inspire... Pour l'instant je laisse Dianna mais je vais changer dès que je trouve une autre demoiselle qui m'inspire.
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: Ange ou Démon | Robert ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Maïa K. Callahan
Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 7 Nov - 21:42
Welcome *a TOUJOURS été fan de Gideon Prewett, ne sait pas pourquoi vu qu'on en parle PAS XD*
Si tu as besoin d'aide pour l'avatar n'hésite pas
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Lun 8 Nov - 9:29
Bienvenuue
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Lun 8 Nov - 11:44
Merci vous trois. Ah nan c'est bon j'ai Dianna pour de bon normalement, toute croque... XD
Au fait je voulais juste prévenir que je prendrais peut-être un peu plus de temps que prévu pour la fiche, mais je crois pas. Enfin, on verra.
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Mar 9 Nov - 6:57
Bienvenue et bon courage pour ta fiche \o/
J'adore le début en tous cas
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Mer 10 Nov - 10:46
Fiche terminée. Bon c'est pas du grand art mais bon, j'avais la flemme de m'attarder 1000 ans sur une simple fiche... j'espère que c'est suffisamment complet. :)
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: KATE NASH & PAUL EPWORTH, foundations ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Sam 13 Nov - 8:38
OMG JE SUIS NAVRÉE POUR LE RETARD bon, me voila, tu as le droit de me flageoler pour t'avoir fait patienter, pardon, pardon, pardon. Donc, je ne me souviens plus vraiment, tu avais finalement décidé de prendre le pv ou non ?
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Sam 13 Nov - 11:34
C'est pas grave, t'inquiète. :p Non je prends plus le PV, je me suis arrangée avec la plus récente Essindra parce qu'elle voulait pas de Dianna Agron, donc voilà. ^^
Cohnaan C. Callahan
▲ LE COCOTIER DES ILES jette des cocos bombes atomiques.
⊰ PARCHEMINS : 86 ⊰ INSCRIPTION : 07/11/2010 ⊰ CRÉDITS : Anat. ⊰ ÂGE RPG : Dix-sept ans. ⊰ PSEUDO : Kayàa. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9706
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: GUILLAUME GRAND - couvre ta peau. ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Syriousou.
Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Dim 14 Nov - 1:38
BIENVENUE Dianna
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Lun 15 Nov - 6:40
Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Mer 17 Nov - 2:35
biiienvenue !! & je kiff' ton histoire (a)
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Mer 17 Nov - 8:53
Merci pour l'accueil & le reste. Pour la maison Georgie, ben je sais pas trop mais je la vois bien chez les Gryffondor, même si j'hésitais entre Serdaigle et Poufsouffle. Bref, mais rouge & or correspondrait mieux... c'est vrai que j'aurais pu mieux décrire la personnalité. :S
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Ven 19 Nov - 11:33
Hmm, personnellement, je ne la vois pas vraiment à Gryffondor... Plutôt à Poufsouffle. Et fais juste gaffe, que les élèves de Durmstrang ne viennent pas de Bulgarie, mais de Norgève, vu que Durmstrang se situe dans le grand nord et que la Bulgarie est au sud-est Et je suis encore une fois navrée pour le retard, tu auras le droit de me fouetter ou de me demander tout ce que tu voudras quand tu seras validée.
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Sujet: Re: ‘RYAN ─ JUST SAY YES. (fini) Sam 20 Nov - 7:52
Poufsouffle alors. Ah, pour Durmstrang c'est toujours assez flou pour moi, parce que j'crois que Victor Krum était bulgare et étudiait dans cette école... mais bon. ^^ Sinon pour le retard c'est pas grave.