by naphtaline. → DEVAKLA, VILJA TARREL dite l'heureuse de vivre. Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Durmstrang pour entamer sa septième année au collège. Elle est née à Oslo en ce beau jour qu'est le 04 mai 2043 en tant que né moldu ; à présent elle vit à Arendal. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être plutôt bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette bois d'érable, mesurant 21,7 centimètres, et faite avec des cheveux de vélanes. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un loup gris. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : Vilja en tant que poursuiveuse dans une équipe nationale, avec un trophée à la main.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. « La Faucheuse », à cause du conte des Trois Frères, qui lui a fait peur alors qu'elle était une enfant, dans son cas.

→ i am not a robot. ton pseudo : libreligne. ton âge : quatorze printemps. ton avatar : cintia dicker. ton avis sur sonorus : j'aime le contexte, j'aime le design, j'aime les couleurs, j'aime ! si je te dis what else ? tu me réponds : Que c'est la belle Judy-Tzipporah qui m'a fait découvrir le forum ♥

→ the best day of my life.

Spoiler:

AUJOURD'HUI, VILJA A 17 ANS.

« Flambios ! ». Une ligne enflammée se créa dans les airs, que Vilja fit tournoyer dans les airs. Cela faisait bien une heure qu'elle s'entraînait à lancer divers sortilèges, attaquant à présent le registre du feu. Enfermée dans sa chambre presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre en ce moment, ses fenêtres étaient ouvertes, laissant passer la fraicheur du littoral en ce doux mois d'août. Son frère aîné, Edward avait eu la drôle d'idée de passer quelques jours à la maison -passer quelques jours en compagnie de sa sale sorcière de soeur n'était arrivé qu'une ou deux fois ces six dernières années. Toujours est-il qu'en deux jours, lui et Vilja s'étaient à peine adresser la parole, pour échanger quelques formalités -bonjour, ca va ?, merci. Entendant qu'il montait considérablement le son de la télévision, agacé par la voix de Vilja, la jeune sorcière ne pût s'empêcher d'esquisser un sourire moqueur. Cela ne devait pas lui plaire que sa sale sorcière de petite sœur marmonne pendant des heures des formules magiques en latin -qu'il était incapable de comprendre. Quant à ses parents, Vilja savait qu'ils auraient préféré que leur fille cadette soit une moldue. Depuis qu'elle était entrer à Durmstrang et qu'elle avait commencé son apprentissage de sorcière, Vila avait très vite senti qu'un vide s'était créé. Ils ne disaient pas ce qu'ils pensaient, mais l'adolescente savait qu'elle les décevait, et les effrayait probablement même. En sept longues années plongées au cœur de la communauté magique, Vilja avait appris à oublier ce monde moldu auquel elle n'appartenait désormais plus, et appris un maximum de choses, devenant ainsi une bonne sorcière, très assidu dans son travail. « Finite Incantatem ! ». Elle hurlait à présent, pour être bien sûr qu'Edward l'entendrait.

Le ventre de la sorcière gargouilla bruyamment. Elle n'avait rien mangé au déjeuner, et son petit déjeuner n'avait été composé que d'un œuf au plat avec du bacon. Vilja s'affala sur son lit, et se mangea en quelques secondes une bonne dizaines de dragibus de Bertie Crochue. Comme pour provoquer un peu plus ses parents, comme pour provoquer un peu plus son frère, la jeune norvégienne avait mis la magie au premier plan dans sa chambre. Des livres de magie à perte de vue, des photos d'elle et de ses amis de Durmstrang, et bien sûr, bon balai, ainsi que des écharpes aux couleurs de l'équipe nationale de Quidditch. « Flambio. ». A nouveau, des flammes se créèrent, et Vilja les fit se former en une sphère parfaite. C'est à ce moment qu'Edward frappa, et entra. C'était l'une des premières fois que son frère voyait Vilja utiliser la magie. « Fais gaffe avec le feu. Ça peut-être dangereux. » L'adolescente afficha une moue renfrogné, et interrompit (d'un coup de baguette magique =D) le sortilège. « Je maitrise, il n'y a aucun risque. » Manière sournoise de faire comprendre que contrairement à ce qu'il croyait, sa sœur était une bonne sorcière. « Mouais... Je sors. Je serai pas de retour avant une bonne demi-heure. Fais pas de bêtises, ou les parents le mettront encore sur mon dos. » N'importe quoi. Jamais les parents n'avaient mis quoi que ce soit sur le dos d'Edward, tellement ils l'adoraient, comparé à leur sorcière de fille. « Moi aussi, j'vais sortir un peu en ville toute à l'heure. » Il ne répondit rien, referma simplement la porte, et s'en alla.

Une heure durant elle marcha. Toute seule, sans parler à personne, à juste marcher, et penser à sa vie future, autrement dit la septième année qu'elle devait faire dans la prestigieuse école Poudlard. Puis Vilja décida de rentrer. Ce n'est qu'une fois dans le quartier de la banlieue où elle habitait qu'elle vit la fumée qui montait, et deux camions de pompiers garés devant sa maison.

AUJOURD'HUI, VILJA A 17 ANS ET EST ACCUSÉE D'ÊTRE UNE PYROMANE.

Un cri d'horreur s'échappa de sa bouche lorsque que Vilja découvrit qu'une partie de leur cuisine flambait, ainsi que -adjacent à la pièce, l'atelier de photographie de ses parents. Si la plupart des gens ont une passion, celle de Katherine et Abel Devalka était la photographie. Imaginant leurs divers appareils, leurs nombreuses pellicules neuves qui flambaient, Vilja devina la douleur et la rage que ses parents devaient ressentir. « Vilja, tu es là. Dieu soit loué ! ». L'adolescente se retourna. Ses parents étaient là, accompagné d'Edward qui consolait leur mère en larme. Bien que son père eut prononcé la phrase « tu es là, Dieu soit loué », Vilja sentait dans sa voix que ce n'était pas sincère, que ce n'était qu'une expression. Mais elle s'approcha tout de même vers ses parents, et pris la main de sa mère, à qui elle sourit tristement. Le feu était apparemment éteint, et les pompiers commençaient à ranger. Mais une pièce entière était dénuée de murs, et ne ressemblait plus qu'à un tas de cendres mouillés. « Qu'est-ce... Qu'est-ce qui s'est passé ? ». Sa mère sécha quelques larmes, et répondit d'une vois haletante. « Il semblerait que ce matin, j'ai oublié d'éteindre une bougie. Disons que... J'étais pressée, j'aurais dû... faire plus attention. Toute la maison aurait put... brû... brûler. »


« Il faut qu'on parle. ». Vilja souffla. Elle s'ennuyait, à attendre autour d'un verre d'alcool que ça se passe, sa mère toujours en larmes. Non pas qu'elle ne ressentait rien, mais disons que sa famille et elle n'avait plus grand chose en commun, et elle sentait ne pas avoir sa place à ce moment précis. D'un ton agacé, son père répondit. « Edward... Nous sommes fatigués, et plus de 5000 NOK viennent de partir en fumée. Alors s'il te plait, nous en parlerons demain, d'accord mon grand ? ». « Oui, s'il te plait Edward, en plus, j'ai tellement.. honte... Vilja ou toi aurait pût mourir aussi. ». « Non ma chérie, tu n'as pas à t'en vouloir, cela arive à tout le monde t'oublier. ». Vilja observa ses parents se consoler mutuellement. Elle n'avait qu'une envie, que son frère déballe sa petite histoire, et qu'elle puisse à nouveau aller se cloitrer dans sa chambre. Dit comme cela, l'on a l'impression que Vilja n'en a strictement rien à f*utre de la famille, et c'est vrai. Si au début, elle avait culpabilisé du fait que ses parents ne l'aimaient pas en tant que sorcière, l'adolescente ne voulait plus se prendre la tête. Si ses parents ne voulaient pas d'elle, si son frère la méprisait, très bien, elle s'en fichait à présent, et n'attendait qu'une seule chose ; que sa scolarité se termine pour pouvoir quitter la Norvège et s'installer à Londres. Ce que finalement, elle faisait plus ou moins, étant donné qu'elle allait faire sa septième année à l'école Poudlard, Durmstrang -comme Salem et Beauxbatons ayant fermés leurs portes.
« Mais c'est vraiment important. Ce n'était pas une bougie qui a provoqué le feu. C'était Vilja. ». Cette dernière se retourna, et gifla avec force son frère aîné. De quel droit se permettait-il de dire ça ? Oui, elle le haïssait, oui, elle ne désirait qu'une seule chose, quitter sa famille et ne plus jamais les revoir, mais jamais elle n'aurait fait la chose aussi lâche que de mettre le feu. « Comment tu oses dire ça ? J'ai rien fait, espèce de d'idiot, de sal... ». « Vilja ! S'il te plait, n'insulte pas ton frère. Écoute Ed', je ne sais pas trop ce que tu racontes, mais je suis sûr que ta sœur n'y est pour rien. » « Mais regarde maman ! Elle n'est pas humaine, c'est une sorcière. Cette après-midi, elle faisait de la... magie avec du feu. Je quitte la maison, et une heure plus tard, un feu s'est déclaré, j'ai pas mis longtemps à comprendre c'qui s'était passé. ». Vilja sentit la main de sa mère -qui juste qu'ici, était posée sur celle de sa fille, qui s'enleva rapidement, comme effrayé. « Comment oses-tu dire ça ! J'ai rien fait ! Maman, Papa... Vous ne le croyez pas tout de même ? ». Les larmes lui montèrent aux yeux. Ses parents ne disaient rien, mais se regardaient de manière incrédule. Vilja était persuadé qu'ils croyaient qu'elle avait vraiment mis le feu, que son frère disait la vérité. En quelques secondes, son univers familial déjà fragilisé venait de se briser totalement, en quelques minutes. « Edward... Tu dois te tromper, Vilja ne peut pas avoir fait ça. Vilja, tu n'as pas mis le feu j'éspère, mais si oui, ne mens pas s'il te pl... » « Maman ! Comment tu peux croire ça ? Jamais je ne l'aurai fait... ». « T'es qu'une sale sorcière ! Même si tu l'as pas fait exprès, avoue-le ! » « J'ai rien fait... Maman, dis quelque chose, je t'en prie... ». « ... ». A présent, Vilja était en larmes. Mais ni sa mère, ni son père ne contredisaient Edward. « En faite, c'est ce que vous pensez tous les trois. Vous, mes propres parents, vous ne m'aimez plus... Et bien, allez tous vous faire voir ! C'est bon, dans moins d'une heure, je ne suis plus votre fille, j'me tire d'ici. ». Pour faire comprendre à ses parents qu'elle ne disait pas ça sous l'emprise de la colège, Vilja se leva et balança le premier objet qui était à portée de main, c'est à dire une petite statuette de cristal qui explosa en milles morceaux contre un mur. « Vilja, ma chérie, arrête ! ». « J'suis pas ta chérie papa ! » Sa mère se mit à nouveau à pleurer, tandis que son père quitta la pièce. La jeune sorcière lui emboîta les escaliers, et commença à monter les escaliers, avant de claquer la porte de sa chambre. « Vilja, attends, calme-toi... C'est plus compliqué sur tu ne le pen... » « Ta gueule ! ».

Plus rien du tout. Oui, Vilja ne voulait plus rien de la part de ses parents, ni un regard, ni une pensée, ni un Gallion. L'adolescente prit sa petite valise, dans laquelle elle jeta un sortilège, et mit tout ce qu'elle pouvait dedans : habits, livres, balai, argent. Bien que la rentrée scolaire n'avait lieu que dans trois semaines, Vilja ne voulait plus rester une seule seconde de plus avec sa famille. Durant les trois derniers étés, elle avait travaillé dans une petite boutique au bord de la mer, ce qui lui avait permis d'avoir de l'argent de côté. Et pour être honnête, elle avait pris à ses parents cet été beaucoup d'argent, en « représailles ». En attendant d'entamer la septième année à Poudlard, Vilja comptait aller faire un petit tour en Grande-Bretagne, histoire de de visiter Londres, le Chaudron Baveur, le Chemin de Traverse... Le Grande Bretagne magique qu'elle n'avait jamais visitée, histoire de bien s'intégrer à Poudlard. En redescendant au rez-de-chaussée, Vilja trouva sa mère en larme et son père le regard baissé, et Edward, à côté, toujours de marbres. « Alors t'es content Ed' ? Débarrassé de ta sale sorcière de sœur ? La honte de la famille s'en va, adieu. ». Vilja se trouvait dur. Très dur. Malgré tout, elle aimait ses parents, même un tout petit peu, mais elle avait la haine contre eux. En quittant la maison pour affronter la noirceur de la nuit et de la liberté, elle entendit juste sa mère murmurer « Tout aurait été plus simple si elle avait été normale. ». Mais elle était normale, elle était humaine ! Oui, une sorcière peut-être, mais normale tout de même. Cependant, Vilja se retint d'insulter à nouveau sa mère. A présent, elle renaissait. Elle allait rencontrer de nouvelles personnes, vivre une nouvelle vie loin des reproches de ceux qui portent le même nom qu'elle, revivre. Enfin. Un sourire s'afficha sur ses lèvres lorsque qu'elle pensa à la vie heureuse et sans prise de tête qu'elle allait s'offrir. Loin de ses parents. Et loin d'Edward.


→ oh, oh, it's magic, you know.

Spoiler:

Vilja était tombée amoureuse de l'école Poudlard. Si durant six années, elle avait vénéré Durmstrang, avec ses murs froids et sombres, ses tourelles impressionnantes, le château dans lequel elle allait loger lui plaisait. Elle s'imaginait déjà avec ses amis venant eux aussi de Durm' visiter tous les recoins du châteaux, ainsi que l'immense parc qui l'entourait. « Wouah, comment elle est belle la Grande Salle ! ». Un garçon qui ne devait pas avoir plus de douze ou treize ans et qui venait d'entrer dans le réfectoire. Vilja avait lu des livres sur Poudlard, et à chaque fois, la fameuse Grande Salle était décrite comme une pièce impressionnante. La sorcière emboita le pas au groupe d'élèves venant de Durmstrang. Parmi eux, Vilja connaissait beaucoup de monde -la plupart des septièmes années, mais contrairement à d'habitude -où elle était plutôt bavarde, l'adolescente était fatiguée, et n'avait guère envie de discuter. Elle voulait juste regarder, écouter, et s'intégrer. Tandis que les Durmstrangiens marchaient dans l'allée principale afin d'aller s'assoir à leur table, les élèves de Poudlard discutaient en tout en se saluant entre eux. D'après Vilja, les élèves de Beauxbatons, Durmstrang et Salem risquaient d'avoir un peu de mal à s'intégrer vis à vis des élèves de Poudlard. Après tout, ils venaient tout de même s'installer dans leur école. C'était aussi l'occasion de se faire de nouveaux amis. C'est que Vilja désirait. Se faire de nouveaux amis, prendre un nouveau tournant dans sa vie, en oubliant le passé, et en se consacrant au futur. Le Directeur de Poudlard prenant la parole, les élèves s'empressèrent de s'installer, tout en louchant sur le nombre important de plats disposés sur la longue table. Vilja esquissa un sourire en pensant à sa libertée de sorcière majeure sans obligation familiale, et commença à écouter le traditionnel discours de début d'année, qui avait aussi lieu d'ordinaire à Durmstrang. C'était quand même étrange de ne pas retourner dans son école habituel. Vraiment étrange. Durmstrang allait lui manquer, mais Poudlard la faisait rêver.

Bienvenue ! (:
Cintia, magnifique choix *-*

Bienvenue ! Ohlalala, cette histoire ! C'est assez horriblement déprimant, mais on a tout de suite envie de l'aimer, cette petite ! Quel personnage !

BIENVENUE
CINTIA

Marlon J.Geller a écrit:

Bienvenue ! Ohlalala, cette histoire ! C'est assez horriblement déprimant, mais on a tout de suite envie de l'aimer, cette petite ! Quel personnage !

C'est triste, mais après, ce sera heureux

Yeah Durmy power
avec cintia en plus, j'espère qu'on aura un lien
(c'est ma façon de dire que t'as pas le choix, t'es obligée d'avoir un lien moi (aa) )
Bref, bienvenue :)

DURMSTRANG
bienvenuue

Bienvenue & bonne continuation pour ta fiche

J'ai terminé ma fiche