lya ; chercheuntitrequidéchiretout (a)

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crédit (never mind).

→ LE ROY, MELISSE ELYANNA, dite "double-je"

Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Beauxbâtons pour entamer sa sixième année au collège. Elle est né(e) à Nice en ce beau jour qu'est le treize mai deux-mille quarante quatre en tant que sang mêlé ; à présent elle vit à Nice. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être très bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de cerisier, mesurant vingt virgule un centimètres et contenant une plume de phénix. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une colombe. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il/elle a eu face au miroir du Risèd : en bref ce que le personnage voit dans le miroir. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. En quelques mots, l'apparence de l'épouvantard, dans son cas.

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**Invité** Invité

→ the best day of my life.

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© leavesden & fox
Premier extrait

« Nous ne pouvons pas nous unir. Je regrette tellement. » A ce moment là, mes larmes ne cessaient de couler, ruisselant sur mes joues. Mes yeux devenaient de plus en plus rouges, ravagés par la tristesse et la douleur que je ressentais. Lui, en face de moi, ne comprenait rien. Pourquoi je le repoussais après toutes ces années remplies de bonheur à ses cotés ? Lui, tellement gentil, tellement adorable. On avait déjà connu mille et une chose ensembles qu’il était carrément impossible de concevoir une séparation, ou même un éloignement. Je l’aimais. Il m’aimait. Nous nous aimons plus qu’un couple banal. « Mais pourquoi ? Pourquoi dis tu ça ? Expliques moi… » Il caressait ma joue humide par les perles salées qui ruisselait comme la pluie, plongeant son regard ténébreux dans le mien. Comment lui expliquait ? Quelles explications lui donnaient ? « Je ne peux pas. ». Il arqua un sourcil, signe qu’il ne comprenait toujours pas. J’étais dans l’incapacité de penser correctement, de réfléchir posément. Que faire ? Je serrai sa main, ses doigts. Je ne pouvais me résoudre à le perdre pour l’éternité. Lui, il demeurait toujours silencieux, attendant une réponse, une explication de ma part. Je ne pouvais pas. Je n’y arrivais pas. Alors, je me mis sur la point de mes pieds afin d’attraper ses lèvres. Il se laissa faire, sans broncher mais je sentais qu’il le prolongeait pensant peut être que c’était un des derniers. Le baiser fini, j’entendis un murmure près de mon oreille. « Quand on veut, on peut. » Il n’avait par tord. Mais aucun mot ne voulait sortir. Alors, il reprit la parole. « Echappons nous … Allons vivre loin. Je t’en prie. Je ne veux pas te perdre. Je veux vraiment vivre avec toi, Anaëlle. » Et merde… Je baissai alors les armes. Lui, vingt six ans. Moi simplement dix huit ans. Mais un amour infini. Ne disons nous pas que le cœur a ses raisons que la raison ignore ? Depuis ce jour là – le soir précisément – je comprends ce proverbe…- pensive d’Anaëlle Le Roy

© _ADASTRA & pepperpot & fox
Deuxième extrait

Ca n’avait que trop tarder. Mais jusqu’ici je n’avais jamais trouvé la force de le lui dire, de le lui annoncer. J’avais tellement peur de la perdre. De la voir partir de la maison, avec notre première petite fille Doriane Anwen Le Roy et notre second enfant encore dans le ventre de ma femme. Je l’aimais tellement que je ne pouvais imaginer une nouvelle vie loin d’elle. « Anaëlle ? Je dois t’avouer quelque chose. » Elle me regarda alors attentivement, avec ce petit regard pétillant de fraicheur et de bonne humeur. Ma femme, depuis deux ans maintenant et la mère de mes enfants depuis un an à présent. Mais pour combien de temps ? Je savais pertinemment qu’après cet aveu, elle me demandera de partir. Nuance, je prendrais mes affaires car elle est enceinte et je ne souhaite pas qu’elle se trouve à la rue. Elle avait déjà tout perdu par ma faute… Elle avait du rayer toute sa famille lorsqu’elle avait décidé de s’enfuir avec moi, pour m’épouser. « Je t’écoute mon amour. » Je sentais aucun stress, aucune angoisse de sa part. Pourquoi elle semblait si calme ? « Viens t’asseoir sur le canapé. Doriane n’est pas ici ? » Moi j’avais peur. Et Anaëlle pouvait le ressentir comme si c’était sa propre peur. « Mais qu’est ce qui se passe ? ». Son regard avait changé. Il paraissait beaucoup plus intrigué. Elle prit place alors sur le canapé, et tomba dans un silence profond. Moi je la scrutais des yeux pendant un long moment. Puis, je laissai tomber ces quelques mots. « Je ne suis pas un sorcier. Pas comme toi. Je t’ai menti… » Je vis alors son visage se décomposer rapidement. Mentir à sa femme depuis déjà quelques années ne se pardonne pas. Je le savais très bien. J’en avais conscience. Alors la suite, je la connaissais déjà. Sans lui laisser le temps de parler, je lui donnai un dernier baiser – un baiser d’adieu - puis je me levai pour disparaître sans un mot de sa vie. Je ne connaitrai jamais mes filles, Doriane et plus tard Elyanna - pensive de Trystan Anonyme

© pepperpot & leavesden
Troisième extrait

« Maman ! Lya n’arrête pas de m’embêter ! ». « Elyanna Le Roy peux tu arrêter d’embêter ta sœur ? » Je regardai ma mère, avec un air qui voulait plutôt dire « c’est plutôt toi qui m’embêtes. ». Puis, je remis toute mon attention sur mon ainé, Doriane. J’aimais tellement ma sœur que je ne pouvais cesser de l’emmerder. Je lui tirai alors les cheveux puis, lui fis des chatouilles et pour finir je revins à lui tirer ses jolis cheveux blonds - qui étaient bien plus longs que les miens. Etant très rapide dans mes gestes, Doriane ne réussissait aucunement à éviter mes chatouilles ou encore l’arrachage de cheveux. Finalement, elle partit en courant dans les couloirs de la maison, ayant à ses trousses autre que moi. J’aperçus avant de partir à la recherche de ma sœur, ma mère levant les yeux au ciel exaspérée par mon coté peste de première envers ma grande sœur. Je retrouvai rapidement Doriane, qui était cachée derrière une porte. « Aller ! Doriiiiane ! Sors ! » Aucune réponse. Aucun mouvement. Après tout, c’était logique. Alors, ne manquant jamais d’inspiration pour jouer le rôle de peste dans la famille, je pris la direction de sa chambre et plus précisément de son placard – ce qu’elle détestait le plus était que je lui prenne ses vêtements. Me connaissant, Doriane sortit de sa cachette et me suivit. « Je ne t’aii pas dis de prendre mes vêtements soeurette ! » « Si sii j’ai le droit car tu es ma sœur. Et entre sœurs, on se prête tout n’est ce pas ? » lui dis-je faisant volte face pour me retrouver face à elle, une chemise à la main, un sourire espiègle sur mes lèvres. « J’ai dit NON ! » répéta t-elle en prenant l’habit dans ses mains, bien que je l’avais déjà en ma possession. « LACHES LE ! » Mais je ne le lâchai pas. J’en avais pas envie. Ainsi, on le tira chacune de notre coté, de toute notre force de gamines de dix ans et neuf ans. Malheureusement, la chemise se déchira… Et mon sourire disparut au profit des larmes de ma sœur. « Je suis désolée. » Comme d’habitude, je regrettai immédiatement ce que j’avais entrepris de faire. En faite, je ne connaissais pas mes limites. Je n’avais pas de limites. - pensive de Melisse Elyanna Le Roy

© damn!bear & soft frenzy & leavesden
Quatrième extrait

en construction - pensive de ...