crédit (sweetxcatastrophe@tumblr). → SLYBLACK, SADÉLYE, dite sadye
belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa quatrième année d'étude année au collège. Elle est née à Birmingham en ce beau jour qu'est le treize novembre deux-mille-quatrante-cinq en tant que sang pur ; à présent elle vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de bambou, mesurant vingt et un virgue deux centimètres et contenant un poil de crinière de licorne. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un colombe. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : Sadye se voit souriant entourée de ceux qu'elle aime, ainsi que avec son chat Prongs. Il n'est pas écrit ou représenté dans le reflet du miroir, mais elle sait qu'il représente la paix. Optimiste comme elle est, tout ce qu'elle veut, c'est de vivre dans un monde en paix.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. La haine, l'épouvantard représente ses parents furieux ainsi que tous les êtres existant dans leur genre. , dans son cas. |
→ the best day of my life. Je n'ai jamais été une
vrai slyblack.
jamais Aussi loin que je peux me souvenir, j'ai toujours eu des valeurs qui m'opposaient à ma famille. Timide, je n'ai jamais été le type de personne que l'on remarque, puisque je suis silencieuse, je laisse mon frère parler. Je n'ai jamais compris comment mes parents pouvaient être des êtres si froids. Je l'ai tout de même réalisé quand j'avais environ quatre ans. L'année où j'ai trouvé Prongs, notre chat. Il est maintenant vieux ce matou, mais il se porte très bien. Enfin bref, dans notre jardin, Syrius et moi avions caché cette boule de poils. Il était tout maigre. Pour le nourrir, nous cachions de la nourriture
infecte, préparée par ma mère, dans nos poches de pantalons et dès que nous avions la permission de quitter la table, on courrait vite retrouver mon meilleur ami de à l'époque
excluant mon frère. Seulement, un soir, après avoir caché du poisson, son repas préféré, je l'ai retrouvé souffrant à l'extérieur. Comme si on l'avait empoisonné ou encore pire ensorcelé. Petite, je n'avais pas compris, mais ça ne surprendrait même pas que ce soit mon père qui lui ai causé sa souffrance pauvre Prongs. «
MAMAN, MAMAN !!! » Moi qui ne parlait jamais, elle devait se douter que quelque chose était grave. Puis, à quatre ans, elle pensait toujours que je terminerais dans son "
clan", alors ce jour-là, elle accouru à mon aide. Lorsqu'elle mis le pied dehors et quel constata que je paniquais pour une
vermine, elle se moqua. Je n'oublierai jamais son sourire vilain, qu'elle me fait à présent tous les jours de l'été. Elle se foutait bien de mon chat et c'est bien grâce à Syrius qu'il est encore en vie aujourd'hui. Puisqu'il a entendu mes cris et quand je m'apprêtais à donner naïvement mon pauvre petit minet à ma mère, il m'en a empêché. Il a toujours été très rusé et malgré l'interdiction de ma mère à rentrer notre Prongs dans la maison, il le fit. Dans sa chambre, il l'a gardé tranquillement. J'imagine qu'avec un peu de nourriture et la chaleur de ses draps dans lesquels il avait entourée notre boulette, il le sauva. C'est cette journée-là que j'ai compris que mes parents étaient
méchants. Mon frère m'avait dit durement pour que je l'écoute de ne jamais laissé Prongs sortir de sa chambre et de jamais laissé ni maman ni papa le touché. Il m'avait promis, du haut de ces cinq ans, que si je faisais ce qu'il m'avait dit que Prongs vivrait éternellement avec nous. Et après onze ans, il est toujours là. Je sais que l'éternellement terminera un jour où l'autre, puisque je ne suis plus une enfant, mais je sais aussi depuis ce jour que le seul Slyblack en qui je pouvais avoir confiance, c'était mon frère.
Je n'ai jamais osez dire quoi que ce soit à mes parents. J'ai toujours eux peur d'eux. Je les déteste et les détesterai surement toute ma vie. Parce qu'ils sont froids, racistes et inhumains et parce qu'ils ont aucun respect ni pour moi, ni pour mon frère. J'ai toujours détesté voir mon frère se disputer avec mes parents. Surtout mon père qui ne se gênait pas pour le frapper devant moi. Il n'y a qu'une fois que j'ai parlé, une fois que j'ai retenue mes larmes pour crier. J'ai eu si peur que plus jamais je ne le ferai. «
ARRÊTE PAPA, ARRÊTE! » Est tout ce que j'ai osez dire. Les yeux qu'il m'a lancés m'ont totalement terrifiée. Il n'avait pas encore le point dans les airs que je sentais le monde autour de moi basculer, comme si j'allais tomber inconsciente. Il avait sa baguette dans la main gauche et je pense qu'il a été surpris que de tout ma vie, je choisisse de parler à ce moment-là. J'entendis le bois de sa baguette toucher le sol. La colère qu'il portait pour mon frère se dirigea soudainement vers moi. Je savais qu'il m'en voulait. Parce que je n'étais pas digne de porter son nom, je le savais et je l'ai toujours su. Seulement, contrairement à mon frère, il n'avait jamais démontrer qu'il ne m'aimait pas. Il ne démontrait simplement
rien. J'avais eu tord de pensé qu'il avait toujours été indifférent envers moi. Il devait n'avoir jamais été violent avec moi parce que je suis une fille. Pourtant, cette nuit là, il mit ses principes de côtés puisque la proximité entre nous me laissait croire que si Syrius n'avait pas intervenue, il ne se serait pas gêné pour me frapper moi aussi. Il était rouge de rage et c'est au moment où j'ai fermé les yeux que mon frère est intervenue. Il a crier, et même si il était enragé de voir que mon père oserait lever la main sur moi, il a prit le temps de m'asseoir doucement sur mon lit qui ce situait derrière moi dans notre petite chambre. Pour ensuite me laissé quelque seconde. Je pense que mon père est simplement parti en claquant la porte derrière elle. J'avais eu si peur que j'avais passé le reste de la nuit en larmes, dans les bras de Syrius. C'était l'été dernier. Quand, je pense, Syrius avait encore été "
déplacé" en disant ce qu'il pensait à mon père. J'avais osé parler, moi qui en avait marre de la haine. Cet été-là, mes parents ont perdu le peu d'espoir que j'avais envers eux. Je les détestais, moi qui aime tout le monde, mais maintenant, je trouve qu'ils ne valent même pas la peine d'être détestés. Ils ne méritent plus rien qui vient de moi ou Syrius. Plus jamais je ne l'ai appelé papa, ni même par son nom. Il m'ignore et ça tombe bien, puisque moi aussi.
Quand j'avais quatre ans, je voulais faire de cette planète un meilleur monde pour mon chat, mon frère et moi. Aujourd'hui, j'ai quinze ans et je veux faire de ce monde une meilleure place pour tous les gens rejeter par mes parents. On dirait que comme tous les adolescents qui se rebelle, que j'aime tout ce que mes parents n'aiment pas. Alors, j'aime tout le monde, puisque mes parents aiment personne qui mérite d'être aimer. Alors, contrairement à eux, j'ai choisit de bien agir, d'être généreuse. Parfois, je le suis un peu trop, mais c'est pas grave, donner me fait plus chaud au coeur que recevoir. Ça fait trois heures que je tourne en rond dans le château. J'ai beau être en quatrième année, je me suis encore perdue. Quelqu'un, un première année, avait loué tellement de livre à la bibliothèque que je ne pouvais pas ne pas lui proposer mon aide. Il avait tellement de livre qu'on ne lui voyait plus les yeux. Poliment, je les donc suivit jusqu'à sa chambre avec une tonne de livres. Trop lourd pour moi, mais au moins, il ne risquait pas de tout échapper dans ces foutus escaliers. Ce sont ces escaliers qui bougent sans prévenir qui me font perdre mon temps. Chaque fois que je m'y promène seule, je termine par me perdre sur un étage que je ne connais pas ou encore à parler avec un fantôme qui m'indique un chemin qu'il vient d'inventer. C'est très amusant hein? Puis, comme par magie, quand ces escaliers se mirent à bouger pour m'amener je ne sais où, je ferma les yeux. J'ai le vertige et chaque fois qu'elles bougeaient je panique. Quand j'ouvris les yeux Galabriel se trouvaient devant moi. Enfin, sur des escaliers qui avait bougé eux aussi. J'allais lui demander où nous étions quand le sol se mis a trembler. Du moins, les escaliers. Paniquée, j'ai perdu conscience. Je ne sais pas ce qui m'est arrivée. Comme d'habitude. Chaque fois que je le croise, quelque chose arrive, chaque fois je me réveille à l'infirmerie. Cette fois, la malchance m'aura servi. Au moins, là, je savais où j'étais. Quand je me suis réveillée, trois jours plus tard, mon frère était à mes côtés. Il ne devait pas s'inquiété, cette année, ça devait faire la quatrième fois qu'on me retrouvait inconsciente ou blessé. En plus d'être gaffeuse, j'étais malchanceuse.
→ oh, oh, it's magic, you know.Du haut de mon mètre cinquante-cinq, je toussais. Non pas parce que j'avais un chat dans la gorge, mais pour faire comprendre à ses élèves aussi froid que mon père que j'étais là. Beaucoup plus grand que moi, ils ne me faisaient pas peur. Enfin si, je craignais de vivre le même sort que ce pauvre petit garçon de Salem. C'était plus fort que moi, je ne pouvais pas les laissé lui faire du mal. Occuper à le martyriser, ils n'ont pas aperçu qu'une blondinette tentait de leur faire face. «
HUM, HUM ! » C'est seulement quand toussa à nouveau de façon pas du tout réaliste qu'ils se retournèrent. Mon coeur palpitait dans sous ma poitrine et je pensais que j'allais y laissé ma peau quand leurs regards posés sur moi. J'étais tellement terrifiée que j'en avais oublié que j'aurais pu utilisé la magie pour m'en sortir. Ce qui aurait été mal, mais pour ma vie, j'aurais contournés les règlements. Au lieu de cela, je choisit de jouer à la brave. Je me pencha pour prendre la main de ce petit garçon et parla d'un ton sec. «
Si un jour, j'entends dire à nouveau que vous touché à mon petit frère James, vous aller avoir à faire à moi. » Ma voix ne faisait pas peur du ton, mère que mon ton froid était très aiguë et que je ne devais pas leur faire peur. Ce que je n'avais pas pensé, c'était qu'il savait très bien que j'étais la soeur de Syrius et que ce petit garçon n'était pas de Londres. Il n'était pas notre frère et ces brutes le savaient. Le petit garçon, à qui j'avais donner un nom me sourit. Il pensait être sauvé. Seulement, vous ai-je dis que ma taille ne faisait peur à personne. Encore moins quand je me mettais à crier. J'ai voulu aider et encore là, je me suis mis dans le pétrin. Une chance que mon frère n'est jamais bien loin. Puisque sinon, j'aurais encore terminée ma journée à l'infirmerie je crois. Du moins, j'ai quand même réussit à leur faire peur. Quand il me croise, ils pensent à Syrius et plus jamais, ni moi, ni James -je n'ai jamais su son vrai nom- auront à avoir peur de ses idiots. À chaque fois, je leur souris d'un sourire amusé. Qu'est-ce que je ferais sans mon frère?
→ i am not a robot. ton pseudo : justine ton âge : 17 ans ton avatar : emma watson ton avis sur sonorus : si je te dis what else ? tu me réponds : BOUYAAAAAAAA ?
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