wewontbesaved@tumblr → FINNIGAN, GEORGIE, dite l'arnaqueuse Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Elle est né(e) à Dublin en ce beau jour qu'est le 10 avril 2043 en tant que sang mêlée ; à présent elle vit à Dublin. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de lierre, mesurant trente centimètres et contenant un crin de licorne. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un condor. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : en bref ce que le personnage voit dans le miroir. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. En quelques mots, l'apparence de l'épouvantard, dans son cas.

→ the best day of my life.


« Georgie, chérie, il faut que l'on parle. » Ouille. Bon. Pas besoin d'être Einstein pour comprendre que la suite de la discussion ne serait pas très amusante. Pas besoin d'avoir beaucoup plus que huit ans non plus. Un air contrarié sur son visage d'enfant, la petite fille s'arracha de mauvaise grâce à sa reproduction miniature de Poudlard, dans laquelle elle faisait évoluer les figurines (dont l'une représentait son pépé, ce qui était très étrange pour elle) ensorcelées que lui avaient offert ses parents. Traversant le salon en sautillant, elle stoppa net lorsque son regard put apercevoir ce qui se tramait dans la cuisine. Outre la vaisselle qui volait dans tous les sens, et le balai qui se passait tout seul - une journée tout à fait normal chez les Finnigan - ce fut plutôt les valises posées près de la porte menant au vestibule qui l'étonnèrent. Pendant une seconde, elle fut prête à se réjouir. « On part en vacances ? » Erreur. Grave erreur. Son père s'approcha, s'agenouilla face à elle, et lui prit les mains. Comme dans les films. « Non, mon cœur. C'est... compliqué. Ta maman et moi avons quelque chose à t'expliquer. Tu vas sûrement être triste, ne pas comprendre, et nous en vouloir, mais tu ne devras pas pleurer, d'accord ? Tu es une fille courageuse. » Elle sentit son cœur se serrer, ses lèvres se pincer. Ils vivaient aujourd'hui dans un monde où la plupart des mariages d'amours n'aboutissent plus à rien. Un monde cynique et prévisible, où même les enfants n'ont plus de tabous. Inutile d'aller plus loin. Elle avait comprit. Mais, se raccrochant au mince espoir que c'était le chagrin de son amie Jackie, à laquelle ses parents avaient tenu le même discours à peine trois semaines plus tôt, qui lui avait retourné le cerveau, elle patienta. Comme son père n'ajoutait rien, elle leva vers sa mère un regard désespéré. Celle-ci s'approcha à son tour. « Il arrive, parfois, que deux personnes qui se sont aimées... se rendent compte qu'elles ne sont pas faites pour vivre ensemble. Car elles se disputent trop, ou tout simplement car elles ne s'aiment plus. Et elles se rendent compte aussi que la meilleure chose à faire, pour tout le monde, c'est de... et bien de s'éloigner l'une de l'autre. » Un temps. Georgie ne répondit pas, se contentant de les regarder l'un, puis l'autre, puis l'un, puis l'autre. Comme si elle s'attendait à ce qu'un l'un des deux éclate de rire en s'écriant "poisson d'avril !". Au lieu de cela, son père se contenta à lui prendre doucement le visage entre les mains. « Ce que ta mère essaie de te dire, Geo, c'est que nous avons décidé que j'allais aller vivre ailleurs. Dans une autre maison. Mais tu pourras venir me voir quand tu voudras, d'accord, mon cœur ? » Pour toute réponse, elle secoua violemment la tête de gauche à droite en réprimant un sanglot. Brutalement, elle se recula, renifla, essuya ses yeux d'un revers de manche, et se précipita dans le couloir. Elle grimpa les escaliers précipitamment, claqua la porte de sa chambre derrière elle et se jeta sur son lit. Elle y resta à peine cinq minutes. En souriant, elle se redressa. Elle avait envie de jouer aux figurines.


uc.


→ oh, oh, it's magic, you know.
MISE EN SITUATION. Aucun nombre de lignes imposé. Pour les élèves de Poudlard. Quelques jours après la rentrée, les nouveaux sont arrivés, s'acclimatent comme ils peuvent à cette nouvelle école. Vous êtes posés dans le parc, lorsque vous voyez un élève de septième année chambrer un première année qui vient de Salem. Que pensez-vous ? Racontez en bref les impressions du personnage quant à ses nouveaux camarades. Curieux ? Agacé ? Indifférent ? Excité ?

→ i am not a robot. ton pseudo : Louise, aka Applestorm la divine. (a) ton âge : seize ans dans dix petit jours. ton avatar : GINTA LAPINA. ton avis sur sonorus : si je te dis what else ? tu me réponds :