crédit reginaways. → WEASLEY, LIVEN CAMERON, dit poil de carotte Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Il est né à Ste Mangouste en ce beau jour qu'est le vingt trois juillet 2043 en tant que sang mêlé ; à présent il vit à Cardiff. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de houx, mesurant vingt sept centimètres et contenant un cheveu de vélane. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un renard roux. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : lui, auréolé de médailles, de coupes et de récompenses en tout genre. En bref, la parfaite définition du succès selon Liven. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Soit un inféri prêt à se jeter sur lui pour l'attaquer, dans son cas.

→ the best day of my life.
Il est roux, membre à part entière d'une grande et solide famille, et s'appelle Weasley. De cet héritage familial, beaucoup pourraient tirer une immense fierté. Mais Liven, lui, ressent juste une terrible pression. Depuis qu'il est né, on ne cesse de s'attendre à le voir réaliser des prouesses. Après tout, il est issu d'une longue lignée de héros. Pourquoi ne serait il pas autre chose que le digne descendant de l'une des plus admirables familles du monde magique? Aîné de sa propre fratrie, élevé dans une famille plus qu'ordinaire, il a toujours tenté de garder ses distances avec les siens. Ça n'est pourtant pas faute d'avoir manqué d'amour. Chez les Weasley, on aime sans compter. Liven ne fut donc pas une exception, n'échappant pas aux sourires béats de ses oncles et ses tantes lors de sa naissance, faisant la fierté de son père lorsqu'il manifesta ses premiers dons pour la magie, et celle de sa mère lorsqu'il reçut sa lettre d'admission pour Poudlard. Liven ne pouvait donc pas se plaindre de manquer de quoi que ce soit, et certainement pas d'attention. Mais cette pression constante, ce besoin de faire ses preuves, il les ressentait un peu plus chaque jour. Lorsque des sorciers anonymes regardaient ses cheveux roux, et comprenaient immédiatement qu'il était issu de la longue lignée de Weasley. Ou lorsque des amis de ses parents partaient inévitablement du principe qu'il n'aurait que des notes brillantes, parce que ses ancêtres étaient eux même de grands et vénérables mages. Liven fut rapidement saisi d'une peur constante de l'échec. Suivi d'un mépris terrible envers la médiocrité. Dès son plus jeune âge, on comprit que son patronyme serait son meilleur ennemi. Qu'il lui mettrait des bâtons dans les roues, et que Liven devrait se battre avec acharnement pour montrer qu'il était le meilleur. Pas parce que les autres le lui demandaient, mais parce qu'il en avait besoin. Prouver que personne ne pouvait rivaliser avec lui était tout simplement devenu vital. Au point qu'il était parfois prêt à tout, par pur orgueil et par pure vanité. Ses parents et grands parents tentaient de lui faire comprendre que jamais ils ne lui demanderaient quelque chose d'aussi insensé que d'atteindre la perfection. Mais ils n'étaient pas les fautifs. En revanche, tous les autres sorciers qui gravitaient autour de son petit monde l'étaient bien davantage.

« Tu crois qu'on me laissera tranquille, à Poudlard ? » avait il demandé à son père, sur le quai de la gare de Londres, alors qu'il s'apprêtait à entrer en première année. « J'ai bien peur que les choses ne soient pas aussi simples, mon grand. » avait alors répondu celui ci, avant d'apposer une main bienveillante sur son épaule. Lui aussi était passé par là, et savait que la pression qui reposait sur les enfants de ces héros d'antan était toujours très forte. Même si la paix était instaurée, si certaines histoires étaient devenues des contes, les différents protagonistes de cette époque étaient rentrés dans l'Histoire, et leurs descendants devaient faire avec. Même si, comme Liven, on en était venu à regretter de porter un nom aussi célèbre. A Poudlard, comme il pouvait s'y attendre, on ne tarda pas à le dévisager. Certains de ses professeurs, sitôt son nom prononcé, partaient dans d'interminables digressions et racontaient des anecdotes dont Liven se serait passé volontiers. Lors de la cérémonie de la répartition, quelques uns de ses cousins et lui même, qui rentraient en première année, durent supporter le lourd silence qui suivit l'annonce de leur nom. La plupart des Weasley avaient été admis à Gryffondor depuis des générations, et Liven avait prié pour que cela ne soit pas son cas. Il ne voulait pas être quelqu'un dans la masse, être un sorcier parmi les autres. Lui voulait faire ses preuves, montrer à tout le monde qu'il était différent. Il était rusé, déterminé et prêt à tout pour prouver qu'il n'était pas qu'un nom de plus sur la longue liste des membres de la famille Weasley.

Bien vite, face à l'impatience et au caractère bien trempé de Liven, les élèves de Poudlard comprirent qu'il valait mieux ne pas lui chercher d'ennuis. Certes, il était sympathique, mais incroyablement renfermé. Personne ne pouvait prétendre le connaître vraiment. Ses années à Poudlard se succédèrent paisiblement, nos n'étions plus dan une époque où chaque année était marquée par son lot de drames et de catastrophes. Liven avait d'excellents résultats, et une soif de connaissance qui ne s'altérait jamais, mais le jeune sorcier persistait à rêver de ce que serait sa vie lorsqu'il aurait décroché ses diplômes. Il attendait avec impatience le jour où il entrerait dans la cour des grands, pour montrer à tout le monde que son avenir serait brillant. Mais pendant ce temps, il n'oubliait pas de profiter de ses sept années à Poudlard, conscient qu'il garderait probablement de cette école les plus mémorables de ses souvenirs. Comme cette fois où il avait fracturé la porte de la réserve en pleine nuit pour parcourir les ouvrages interdits sans être dérangé. Ou celle où, pour la première fois, il avait échangé un baiser avec une fille de Poufsouffle, lors d'une sortie à Pré au Lard. Des souvenirs comme les autres, mais qui n'appartenaient qu'à lui, et à personne d'autre. Et bien vite, il avait vu sa septième année approcher, désireux d'en profiter au maximum. En plus, les bouleversements de cette année risquaient de la rendre spéciale.


→ oh, oh, it's magic, you know.
« Hey Weasley, t'as vu les filles de Beauxbâtons? Ta grand mère est française, tu dois pouvoir leur parler français, non? » Liven leva les yeux au ciel, ne sachant pas s'il fallait être agacé par la bêtise de celui qui venait de lui sortir cette idiotie, ou se contenter de faire comme s'il n'avait rien entendu. Dans le doute, il opta pour la seconde solution. Oui, il parlait français, probablement parce que sa grand mère, Fleur, avait insisté pour que cela soit le cas. Et certains idiots pensaient qu'avec l'arrivée des jolies françaises, Liven pourrait les aider à draguer dans la langue de Molière. Il s'était empressé de les envoyer balader, histoire de mettre les choses au clair dès le départ. Liven n'était pas connu pour sa patience. Pas plus que pour son amabilité avec les gens. En fait, il n'y avait qu'avec ses amis qu'il se montrait sous un beau jour. Sinon, tout lui semblait indifférent. Du coup, l'arrivée des élèves de trois écoles différentes l'avait un peu intrigué, au début. Et puis, ne voyant pas ses habitudes changer, il avait fini par s'en désintéresser complètement. Parfois, il souriait cependant devant leur air perdu, les voyant avancer un peu au hasard dans les dédales qu'étaient les couloirs de Poudlard. Il ne les aidait pas, cependant. Il avait d'autres chats à fouetter, et estimait que, comme les premières années, ils finiraient bien par trouver eux même leur chemin. Et Liven trouvait que justement, se perdre dans Poudlard était quelque chose d'enivrant. Combien de salles avait il découvert par pur hasard, sans jamais pouvoir remettre la main dessus ensuite? Cette école était magique dans tous les sens du terme, elle semblait vivante, incapable de rester en place.

Ce jour là, à peine quelques temps après le début des cours, Liven avait un après midi de libre. Suivant ses amis, il était allé profiter des derniers beaux jours en allant s'allonger dans le parc. Il sentait la douce chaleur des rayons du soleil sur sa peau parsemée de taches de rousseur, et entendait distinctement les éclats de rire des élèves qui, comme lui, profitaient des derniers moments à passer dehors. Autour de lui, ses amis discutaient tranquillement de sujets sans grand intérêts, et Liven décrocha bien vite de la conversation, observant plutôt ce qui se passait autour de lui. Pas grand chose, à première vue. Des couples qui s'enlaçaient, des élèves qui révisaient déjà leurs cours, et d'autres qui bavardaient avec des amis. Et puis, il y avait cet élève de Salem, entouré par une bande de septième année riant aux éclats. Il était beaucoup plus petit que ceux qui s'amusaient de lui. Vu sa taille et son expression apeurée, il devait avoir onze ans à peine. Un première année. Liven se pinça les lèvres, agacé. Il ne se sentait pas forcément concerné par le sort de ce pauvre gamin, mais il ne supportait pas les lâches. Ceux qui s'en prenaient aux plus faibles par pur plaisir. Délaissant ses amis, qui tournèrent vers lui des regards interrogateurs, il se leva d'un geste brusque, marchant d'un pas ferme et décidé en direction de la scène.

Le septième année qui riait aux éclats jeta un oeil en direction de Liven, sans cesser son manège. Tout le monde savait que Liven n'intervenait que rarement dans les affaires des autres. Cependant, lorsque le rouquin s'arrêta devant lui, s'interposant du même coup entre le gamin tremblant et son misérable bourreau, ce dernier cessa de rire. Son visage marqua même du mépris pour celui qui venait d'interrompre son petit jeu. « Dégage de là, Weasley. On fait rien de mal » assura t-il, d'une voix grave. « J'suis persuadé du contraire. Je te savais con, je savais pas qu'en plus tu étais lâche. Depuis quand tu t'en prends aux gamins? » renchérit Liven, sans sourciller. Il vit son interlocuteur vaciller. Instinctivement, celui ci porta sa main mais la poche où se trouvait sa baguette magique. Puis il se ravisa. Tout le monde savait que Liven avait du cran et qu'il était un excellent sorcier. Se battre en duel contre quelqu'un de plus malin que lui ne ferait pas les affaires du bourreau. Tant qu'il pouvait s'en sortir la tête à peu près haute, il valait mieux pour lui qu'il saute sur l'occasion. Du coup, grommelant quelques insultes que Liven ne parvint pas à saisir en entier, il jeta un dernier coup d'oeil sur le gamin, qui avait prit soin de rester bien calé derrière le rouquin, et tourna les talons, vaincu. Liven conserva son visage impassible. Il n'était pas satisfait, pas mécontent non plus. Il avait juste fait ce qu'il avait à faire, repousser un abruti de sorcier qui jouait avec un gosse qui n'avait apprit pour tout sort qu'un malheureux sortilège de bloque jambes. Le combat aurait été inégal, et Liven n'acceptait pas cela.

Une fois certain qu'en tournant le dos à ce crétin de septième année il ne risquait pas une attaque surprise, il se tourna vers le sorcier de Salem, qui tremblait toujours autant. Face au silence de Liven, qui se contentait de l'observer de la tête aux pieds, le gamin fit demi tour, sur le point de prendre ses jambes à son cou. Agacé par ce manque de reconnaissance, Liven lança bien fort un « Dis pas merci, surtout! » avant de retourner s'asseoir auprès de ses amis. Décidément, jouer les héros n'était pas sa tasse de thé. Encore plus lorsqu'on n'en recevait rien, pas même un simple merci.

→ i am not a robot. ton pseudo : / ton âge : 21 ans ton avatar : eddie redmayne ton avis sur sonorus : j'aime ! si je te dis what else ? tu me réponds : Euh, Hello George Clooney ?

BIENVENUE. Avec Eddie en pluuuus.
Bonne chance pour ta fiche, et si tu as besoin d'un post en plus, dis-le et je supprimerai le mien.

Merci !
Et ouiiii Eddie, ça fait très longtemps que j'attendais pour le jouer, et le voir se faire appeler Weasley sur un forum HP ça aurait été juste un crime de pas le prendre

UN ROUX ! *ZBAAF*
BIENVENUE SWEETHEART !

Bienvenue.
J'adore ton pseudo

Merci =D

Môssieur Astier


Bref, je pense avoir terminé ma fiche !

J'aime beaucoup ce que tu as fait du personnage.
Pour la maison, tu as une préférence ? Car Liven a le cran des Gryffondor, même s'il ne veut pas être dans cette maison, la froideur et le désir de reconnaissance des Serpentard, la volonté d'apprendre des Serdaigle...

Oh merci
Pour la maison, j'espérais qu'on décide à ma place... Sachant que dans ma tête j'ai orienté Liven vers Serdaigle ou Serpentard, je pense que pour le coup, je vais choisir Serpentard... Ça fait une éternité que j'ai pas joué une vipère, le fait que cette vipère s'appelle Weasley c'est encore mieux !

Je comptais l'envoyer à Serpentard, si j'avais du trancher, de toute façon, donc ÇA TOMBE BIEN.
Bienvenue chez les verts, monsieur Weasley.