Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année d'étude en lettres au collège. Elle est née à l'hôpital Ste-Mangouste en ce beau jour qu'est le 20 mars 2043 en tant que sang mêlé ; à présent elle vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de bouleau, mesurant trente-deux centimètres et contenant une plume de phénix. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un loup blanc. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : elle s'y verrait vivre dans le confort, autant physique que moral. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Elle s'y verrait comme mère d'une famille extrêmement nombreuse, exténuée par le travail et le stress, dans son cas.
→ i am not a robot. ton pseudo : Captain Pancake. ton âge : Seize bougies. ton avatar : Ashley Greene. ton avis sur sonorus : J'AIME, ça a l'air simple et frais... et quand même, j'aime toujours mon Applestorm chérie si elle se souvient de moi. :) si je te dis what else ? tu me réponds : MOUAH.
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 5:45
→ the best day of my life.
« Comment être heureuse si certains nuisent à notre bonheur ? Moi, j’ai ma propre vision du monde : l’imagination. Elle me tient la main à chaque heure, à chaque minute, à chaque seconde. Je ne me lasse pas de l’imaginaire. Maman me lisait Aladin pour que je m’endorme. Papa me lisait Peter Pan. Eh bien, j’adhérais sur Peter Pan. Parce que je ne voulais pas grandir, je voulais rester une puce pour ne pas être confrontée à la réalité. »
« Nous avons une famille nombreuse. Très, même. Moi, je suis la deuxième. Jandira vient avant moi, et après moi, viennent les autres « morveux » Gloria, Antony, Luis, Crystal, Rosalie et Chloé. Sans oublier Lily. La fameuse Lily. Cinq filles et deux garçons, sept enfants au total. Plus papa, maman et Charlie et Antonella, qui sont donc mes grands-parents maternels. Nous vivions dans une petite maison londonienne, dans un quartier peu fréquentable mais peu abrupt tout de même. Papa travaillait en tant que « classeur d’archives » au Ministère de la Magie, tandis que maman était une simple Cracmol de sang mêlée, qui obtenait de petites missions chez des familles riches : elle repassait des vêtements, faisait le linge, le ménage et avait pour travail de porter des caisses lourdes à la place de ces friqués. Inutile de préciser que nous ne roulions pas sur l’or, et que nos Noëls se résumaient à prier. Moi, je me hissais au bord de la haute fenêtre de notre maisonnée afin d’observer les rues décorées de Londres, et je descendais ensuite plus bas pour observer nos voisins plus aisés qui n’avaient aucunement pitié de nous. De la pitié, il n’y en avait pas. Cela n’existait pas complètement… ou plutôt c’était Jandira qui me l’avait affirmé.
Jandira a maintenant vingt ans. Depuis son adolescence, c’était un brin de fille qui avait toujours beaucoup d’amoureux, qui écrivait des lettres et qui passait son temps libre à lire des romans du haut de la cheminée. Quel courage ! Moi qui avais toujours peur que cette cheminée se brise si jamais je montais là-haut. Je remercie particulièrement Jandira pour s’être occupée de moi et de m’avoir donné la foi de survivre avec honnêteté, même si elle est colérique, réservée et qu’elle me battait très fort lorsque je désobéissais. Gloria, ma sœur chérie… ma petite tendresse. Nous avons un an d’écart. C’est mon trésor, ma plus belle. Je l’aime démesurément, tout simplement. Si je désignerais l’ange le plus inoubliable au monde, c’est elle. Antony, lui, se débrouille très bien pour être aimé. Un sale petit profiteur et fouineur, mais il reste mon frère, branleur ou pas. Mais il est là pour veiller sur Luis, au moins. Luis, la première pile électrique de la famille… avant moi. Parfois, je me dis que j’ai raison d’avoir été dure avec lui, mais il est mon préféré, avec Gloria.
Et il y a Lily. Qui vient en fait après Gloria. Lily, la plus pure. Lily, la douce. Je ne m’attarde pas souvent à son sujet, parce qu’elle me fait mal. Alors je ne m’attarderais pas ici non plus… c’était durant une soirée, où elle était partie rendre des livres à la bibliothèque du coin de la rue. Elle s’est faite agressée par trois gars du quartier. Abusée sexuellement. Elle était si jeune et si innocente. Tandis que papa était resté à son chevet, préférant perdre d’un peu de son salaire qu’abandonner sa fille meurtrie psychiquement par un viol, elle en avait profité pour s’échapper. Jandira l’a poursuivi, criant son nom au désespoir tout en tentant de la rattraper. Elle y parvint. Nous avions alors enfermé Lily avec papa et Gloria, afin qu’elle se sente plus apaisée, car elle affectionnait Gloria. Et le lendemain, Lily était morte. Noyée dans son propre sang, une plaie béante sur son buste. L’arme du suicide posée soigneusement à ses côtés. Elle avait profité du sommeil de papa et Gloria, certainement. En tout cas, personne ne s’est réellement remis de ce drame. Mais tout le monde feigne la transparence. Maman, elle, n’a pas réagi de cette manière. Désespérée et dégoûtée d’être mère d’une défunte au moment où nous étions emprisonnés dans les doigts maigres de la misère, elle devint folle. Elle donna Crystal, Rosalie et Chloé à des riches couples stériles, et je n’entendis plus parler de ces trois bébés-ci.
La vie continuait, néanmoins. Papa travaillait seul, et maman avait été interné dans un asile psychiatrique lorsqu'elle s'était heurté aux forces de l'ordre dans un supermarché. Nous avions alors toujours faim, très faim. Il n'y avait que Jandira qui était heureuse à Poudlard, car elle était bien nourrie et réchauffée. Et j'étais devenue l'aînée, celle qui devait à présent porter de lourdes responsabilités, Charlie et Antonella étant trop vieux pour faire quoique ce soit de bien important. Ce cauchemar infernal ne s'interrompit que bien plus tard... J’avais dix ans. J’étais occupée à laver le linge sale et à attendre patiemment l’arrivée de papa. Et ce fut à vingt-et-une heure qu’il revint du ministère, avec cet air nostalgique que je détestais tant. Je comprenais, d’un autre côté. Papa n’avait jamais été un sorcier compétant pour exercer la magie, il se débrouillait pas mal mais pas assez. C’était pour cela qu’il exigeait de nous un travail assidu pour nos futures études à Poudlard. Je ne comptais pas le décevoir, parce que jamais je ne supporterais le fait qu’il ne soit pas fier de moi. Parce que papa, c’est quelqu’un de triste. Il était fort bel homme durant sa jeunesse, des photographies le montraient. Grand, ni musclé ni gringalet, brun, avec des yeux noisettes tendres et francs. Il provenait d’une famille extrêmement riche, qui n’avait sans doute pas besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins. Les Tyndale étaient des sorciers renommés dans le monde de la magie, mais il fallait dire que depuis que papa avait épousé une Cracmolle, il avait été chassé du manoir familial avec interdiction d’y remettre ne serait-ce qu’un cheveu. Il m’avait confié qu’il n’avait pas pensé devenir aussi pauvre en se mariant avec maman, mais qu’il ne l’avait pas regretter non plus. Ah ! Maman ! Une si belle femme… parfaitement associer à l’homme qu’elle aimait. Elle était très brune, avec une longue chevelure lisse et douce. Maman, c’était une beauté d’Amazonie, car grand-père était anglais, et grand-mère brésilienne. Oh, et d’une façon incroyable, je n’oublierais le visage de maman. Tellement de tendresse à revendre dans son sourire, tellement d’amour à fournir à ceux qu’elle aimait… c’était ça qui l’avait rendu folle, peut-être. Et puis en cette soirée, papa était revenue. Nostalgique, tenant un parchemin entre ses doigts pâles. Je l’avais fixé, interrogatrice. Il me rendit un regard fatigué et avait souri. Un sourire, pour que tout s’arrête. Vous savez, ce genre de petit sourire qui ne s’oublie pas et qui nous atteignent de pleins fouets ? C’est grâce à ce sourire que j’ai su que tout allait changer. Que je ne verrais plus la vie de la même façon. J’étais assise en compagnie de papa, et Antony, Gloria et Luis étaient arrivés. Le testament de Carlisle et Madeleine Tyndale fut ouvert en cette soirée d’avril.
Le testament ne mentionnait qu’un nom unique : celui de papa. Du Benjamin – c’était ainsi qu’il se prénommait – à répétition. Ils lui avaient ainsi légué l’entièreté de leurs biens : leur manoir et toute la fortune des Tyndale et des Mercury – la famille de ma grand-mère paternelle -, de quoi nous rendre immensément riches durant toute notre vie. Le lendemain, papa avait rassemblé quelques affaires – car de toute évidence, il n’y avait pas grand-chose à emporter – et le jour suivant, nous avions déjà quittés les lieux pour ce manoir que je n’avais jamais vu. Ce fut un évènement qui m’en apprit beaucoup. Tandis que ma sœur et mes deux frères étaient partis choisir leurs chambres, j’étais restée à l’écart, découvrant le manoir, me délectant d’un luxe que je n’avais jamais connu auparavant. Néanmoins, je ne m’étais pas attendue à cette austérité, mêlée à la fois à cette magnificence incomparable. On pouvait y voir une longue galerie de portraits représentants d’innombrables membres de la famille, et j’y voyais des visages semblables au mien, partageant les mêmes traits aristocratiques. J’avais alors pris conscience de ce que j’étais. J’avais également compris pourquoi on ne m’avait jamais complimenté en me disant comme on le disait si bien à Jandira : « Tu es aussi jolie que ta mère. »
Ce fut alors décisif. J'étais une Tyndale. »
Dernière édition par Eden C. Tyndale le Jeu 30 Sep - 6:35, édité 11 fois
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 5:45
→ oh, oh, it's magic, you know.
Une. Deux. Trois. Ainsi de suite. Plus de dix. Encore cinq de plus. Et l’horreur était à son comble. Eden n’aimait pas les françaises, presque autant que les français. Les norvégiens ne l’intéressaient pas. Quand aux américains, elle n’y faisait pas attention, sauf s’ils se décidaient à faire attention à elle. Quelle idée, d’accepter d’accueillir des étrangers ! Pour favoriser une quelconque entente entre élèves de nationalités différentes ? C’était mal parti : les réactions fusaient, les critiques s’entrechoquaient, les moqueries explosaient. Beaucoup de blabla pour des inconnus, tout de même. « Eden, tu vas pouvoir te faire de nouveaux et charmants amis. » Un regard de la part de la jeune femme. De l’indifférence et de l’allégresse en même temps. De nouveaux amis… ça oui, du moment qu’elle se décidait à devenir plus sociable. « Des amis ! Des amis… non Blaise, parce que je ne les connaîtrais plus d’ici un an, supposons. Et observe surtout ces françaises, moi, je ne joue pas avec ces brins de filles qui jouent si bien avec le dédain. » Oh, elles étaient certes très belles et on pouvait y compter des Vélanes, mais elle n’avait que leur figure pour communiquer… et elle détestait leur accent à deux balles qu’elles devaient se dépêcher de ranger dans de grands placards qui ne rouvriraient plus jamais. Elle adressa un sourire éblouissant à un français qui la fixait depuis son arrivé dans la Grande Salle. Le jeune homme cligna des yeux niaisement et se détourna, et le sourire que lui avait adressé Eden s’effaça en un clin d’œil. Il lui faisait pitié. Les français séduisaient ainsi ? Drôle de façon de séduire, ainsi donc ! Quoiqu’en général, il était extrêmement difficile de séduire Eden Tyndale.
Il fallait dire qu’elle n’était pas le genre de demoiselles à aimer se vanter, se pavaner pour mieux s’exhiber et glousser à une simple et ridicule œillade. Eden était bien le contraire. Ce n’était pas elle qui se vantait, mais son entourage qui vantait ses mérites. Ce n’était pas elle qui s’exhibait mais celles qui se décidaient à vouloir la suivre sur ses talons. Ce n’était pas elle qui gloussait aux œillades masculines mais celles qui pensaient que ces œillades leurs étaient destinées. Car en toute honnêteté, la Eden d’il y avait encore sept ans avait bien changé. Elle n’était plus émerveillée par les étoiles qu’elle n’avait pas parvenue à atteindre, elle n’était plus fascinée par ces vêtements qu’elle n’avait pas su porter, elle n’était plus en hâte de toucher à la gloire et aux gallions… parce qu’elle savait quel effet cela faisait maintenant. Elle ne voulait plus qu’on s’apitoie sur son sort comme on s’était apitoyé sur Jandira auparavant : « Oh, la pauvre petite. Elle n’a pas d’argent pour manger à sa faim, je comprends mieux pourquoi elle s’acharne autant pour ses études. ». Eden, elle, pouvait entendre à son sujet : « C’est une excellente élève, elle deviendra quelqu’un. » Et elle aurait vainement souhaité qu’on dise la même chose de sa sœur aînée. Mais Jandira avait de quoi être soulagée, désormais : elle s’était mariée avec un homme qu’elle aimait non pas par convention mais par amour, et attendait son premier enfant, tout en voyageant aux quatre coins de la planète. Gloria, quand à elle, était en sixième année et était assise en compagnie des camarades de sa maison : les Poufsouffle. Antony, lui, du haut de ses quatorze ans, siégeait aisément avec sa bande d’amis au bout de la table des verts et argents. Et en cette soirée, un Tyndale allait faire son entrée à Poudlard : Luis. Elle espérait vraiment qu’il rejoigne sa maison ou celle de Gloria : elles étaient les deux seules capables de férocités quand il s’agissait de protéger le petit Luis, tant battu par leur père, Jandira et Antony. Peut-être qu’il était parfois un peu trop sot, mais tout de même… un bout de chou si fragile. L’avait-elle battu exagérément une seule fois ? Juste deux fois, parce qu’il s’était révolté d’une manière considérable durant sa sixième année de vie… mais cette période était fini. Quoique elle lui interdirait fermement de traîner avec ces étudiants de Beauxbâtons… Eden, trop fière d’être une anglaise ? Si c’était le cas, il y avait de quoi être fière, effectivement.
Eden était une adolescente fière de ses origines, cela allait sans dire, et voir même, elle était fière d’elle-même. Certes, elle avait ses défauts – telles que ses remarques parfois trop acerbes envers la vie, ou encore sa cruauté envers ses plus grands ennemis – mais elle était fière de ce qu’elle était maintenant. Elle avait réussi à exaucer son désir le plus cher : être une sorcière remarquable, capable de tout pour parvenir à ses fins. Un léger sourire se dessina alors sur ses lèvres rosées et sucrées. « Pourquoi souris-tu ? Encore un plan machiavélique en tête ? » Eden éclata d’un rire joyeux. Ce Blaise ! Toujours des suppositions stupides qui lui passaient en travers des neurones quand il s’agissait de la taquiner ! « Non, je pensais. » Réponse trop courte pour son ami. « Et à quoi pour que ce joli sourire apparaisse, la mignonne ? » Curiosité poussée. « A moi. La plus grande partie de ma vie qui me rend plus heureuse que jamais en cette minute. »
Les créatures de son espèce n'étaient heureuses que durant un court moment. Que ce soit pour ridiculiser des personnes détestées, que ce soit pour se moquer d'étrangers qu'on ne jugeait juste par leurs apparences... on n'était heureux que cinq minutes, pas cinq ans. Parce que les souvenirs refaisaient toujours surface un jour ou l'autre. Alors, autant vivre au jour le jour quand cette idée pouvait nous chanter, autant pousser des flots d'injures quand on le pouvait. Autant répondre aux professeurs quand on jugeait ça intelligent. Autant tester nos limites. C'était son quotidien : faire des ruses, inventer de nouvelles choses stupides - ou pas du tout - crier sur les toits et à tout bout de champs quand elle était d'humeur colérique, cracher à la figure du vieux pigeon qui servait de concierge à cette école... se penser au-dessus des autres même si ce n'était pas le cas et qu'elle le savait pertinemment. Se foutre de son propre tempérament brûlant de culot et envoyer valser les prétendants trop rassurés par leur propre orgueil... être l'énergique et la futée Eden Tyndale. Tant pis si ces étrangers allaient subir l'ouragan qu'elle était.
Dernière édition par Eden C. Tyndale le Jeu 30 Sep - 9:46, édité 6 fois
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 6:15
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 6:16
GENRE J'ME SOUVIENS PAS DE TOI MA PANCAKE. Bonne chance pour ta fiche et réserves-moi un fucking lien.
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 6:22
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mar 28 Sep - 7:11
Merci pour l'accueil. :D
Mais bien sûr que je te réserverais un fuckingliendelamortquitue Georgie. Moi bon, je me booste je m'en tape de ma présentation, je suis pressée de jouer et là comment dire ? J'suis déterminée à obtenir Ashley, je peux pas vivre sans elle. Tant pis pour les autres.
On sait, la vie est cruelle... --->
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Mer 29 Sep - 4:09
BIENVENUE JOLIE BRUNE ! && bonne continuation pour ta fiche
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Jeu 30 Sep - 9:49
Fiche terminée. A la va vite mais bon, ça fait peut-être l'affaire ? :P
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Ven 1 Oct - 6:35
Nan mais ça va pas toi dantatèt ? Elle déchire ta fiche ma poulette ! Pour la maison, j'hésite. Tu la vois à Gryffondor, la Eden ?
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Sujet: Re: ♦ TYNDALE, C'EST MOI, LE VALET, C'EST TOI. Ven 1 Oct - 6:38
Héhé, merci. :D
Hum, Eden je la vois autant à Gryffondor qu'à Serpentard... parce qu'elle a une personnalité très rouge et or mais une petite partie rusée et ambitieuse, et un peu sombre aussi, même si elle se l'avouera jamais... mais moi je préfère Gryffondor, parce que bon, les côtés "Serpentard" qu'elle a, elle les dissimule bien et ils ne sont pas très "remarquables". :D