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SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late

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AuteurMessage
Léonie J. Scamander
Léonie J. Scamander

⊰ PARCHEMINS : 474
⊰ INSCRIPTION : 25/10/2010
⊰ ÂGE : 34
⊰ CRÉDITS : © Addie
⊰ ÂGE RPG : 16 ans
⊰ PSEUDO : Kiki
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9714


STOP FOR A MINUTE
JUKEBOX: Ange ou Démon | Robert
RELATIONSHIPS:
DOUBLE-COMPTE: Maïa K. Callahan
SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late _
MessageSujet: SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late EmptyJeu 2 Juin - 22:13

SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late Stock11k

L'erreur est humaine, le pardon divin. Léonie s'éveille à un jour nouveau. La nuit a été longue. Tourmentée par les excuses qu'elle doit proférer. Elle ne veut pas laissé le hasard, elle veut pouvoir trouver les mots qu'il faut pour panser les blessures qu'elle a causé. Mais les mots ne viennent pas, elles les tournent dans tous les sens, les mots ne lui plaisent pas, ils se mêlent et s'entremêlent, ils gâchent les excuses, ils gâchent la sincérité. Le soleil peine à se lever, mais la jeune Seprentard est déjà hors de son lit. Elle veut le voir, elle veut lui parler, elle ne peut laisser la journée la prendre de vitesse et l'emporter à travers les murs du château. Si elle veut le trouver, c'est maintenant, dans les hauteurs du château, là où aucun Serpentard ne devrait s'attarder. Mais elle s'en fout, elle y va quand même. L'ancienne Léonie se serait peut-être arrêtée, incapable d'affronter le regard des rouges et or qui la toiseraient avec suspicion, se demandant ce que la petite garce, la petite protégée de la fille Malefoy pouvait faire là. Mais aujourd'hui, Léonie s'en fout. Aujourd'hui, ce n'est pas ce qui compte. Aujourd’hui, Léonie répare ses erreurs, oui, parce qu'aujourd'hui, Léonie sait exactement qui elle est, oui, aujourd'hui, Léonie n'a plus peur. Elle s'ouvre au monde, se défaisant de ses chaines, elle détruit les barrières qui l'empêchaient d'être elle même. Léonie a compris qu'elle ne peut pas plaire à tout le monde, mais par dessus tout, elle a compris qu'elle pouvait être aimé pour ce qu'elle était, peu importe ses nuances, peu importe ses couleurs, peu importe ses folies, elle pouvait être aimé. Elle se faufile hors de son lit, nouant ses cheveux en une natte basse, sur le côté de son crane. Ses doigts se mouvent avec facilité. Elle se relève, finissant de tresser sa tignasse blonde. Elle s'avance, silencieuse, au milieu des lits occupés par ses camarades. Son regard s'attarde sur Lilween avec un sourire. Elle doit lui parler, mais pas maintenant, pas tout de suite, non, ce n'est pas encore son tour. Le corps de la brune se soulève, rythmée par sa respiration calme et paisible. La poupée blonde s'éloigne, partant à la quête de vêtement. Elle soupire à la vue de ses tenues toutes plus triste les unes que les autres, ses tenues trop stricte, froide et terne. Elle ne les aime plus. Au font de son armoire, Elle déniche quelques vestiges d'elle même. Un sourire vient fendre ses lippes à la vue de ses trésors inestimables, elle est heureuse de ne pas s'en être débarrassé comme elle l'avait voulu.

Léonie enfile un t-shirt qu'en temps normal, elle n'aurait enfiler que pour dormir et encore, elle s'en débarrassait à la sortie du lit, pour ne pas que les autres puissent le voir. C'est un t-shirt que Lucien aurait pu porter. Blanc, simplement blanc, avec des inscription colorée et un dessin de ce qui devrait être une créature dont personne ne croit l'existence. A moins que ce ne soit un t-shirt moldu, représentant un personne de dessin animé. Au fond, elle s'en fout, elle le trouve chouette et c'est tout ce qui importe. Elle enfile un jeans slim qui, elle l'espère, sera encore à sa taille. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas mis de jeans. Elle ferme le bouton et la tirette. La satisfaction transparaît sur ses traits. Elle troque ses talons haut contre une paire de basket moldue, des Nike Dunk multicolore, apparemment, plutôt connues dans l'autre monde. Encore un truc moldu, un cadeau de ses parents qu'elle avait balancé au fond de sa malle sans jamais les porter. Elle enfile un blouson qu'elle trouve au milieu des fringues qu'elle ne portait pas, un blouson au couleur tout aussi flashi que le reste, un bleu turquoise tirant vers le vert, dans une matière étrange, elle ne se l'explique pas, mais elle est certaine que son frère saurait exactement de quoi il est fait. Elle se promet d'aller lui demander. Plus tard. Elle a quelques choses à faire, quelques choses de bien plus important. Lucien a déjà eu droit à des excuses. Lucien a laissé éclaté son rire, il a hausser les épaules et il est partit. Lucien n'a pas besoin de savoir, il se satisfait des excuses de sa sœur, parce qu'il sait que cela signifie beaucoup pour elle qui ne s'excuse jamais. Elle ajoute quelques bracelets, un collier plein de breloques et une barrette de couleur pour maintenir sa mèche et l'empêcher de venir masquer son regard. Sans passer par la case miroir, la demoiselle se faufile hors de son dortoir. Les mains enfoncés dans les poches de son blouson ouvert, elle fonce vers son destin. Anxieuse et inquiète, elle semble toute fois étrangement calme, paisible et sereine. Léonie n'est plus la même, elle semble bercée par une plénitude et une euphorie qu'on ne lui connait pas. Un sourire aux lèvres, elle gravit les marches, se jetant dans la cage au lion.

Elle s'immobilise en face du tableau de la Grosse Dame. D'après ce qui se dit dans les couloirs, c'est derrière ce tableau que se cache la salle commune des Gryffondor. Léonie fait quelques pas en arrière, elle se heurte au mur et s'y adosse. Elle va se contenter d'attendre, les premiers élèves ne devraient pas tarder à sortir. Le temps passe, le temps file, la Grosse Dame l'interroge et Léonie répond, la Grosse Dame râle et Léonie sourit Elle ne devrait pas être là? Elle est exactement à l'endroit où elle doit être, peu importe ce que cette bonne femme peu bien pensé, elle ne sait pas, elle ne sait rien. Léonie se dit qu'elle a de la chance de ne pas être à Gryffondor, elle ne supporterait pas les marmonnements plaintifs de la vieille. Elle est insupportable, elle balance ses railleries à tout bout de champ, peu importe les élèves. Ah les élèves, leurs regards la passent à la loupe. Elle croit même reconnaître Georgie, au milieu des élèves, mais elle ne dit rien, elle reste silencieuse. Il fut un temps, plutôt lointain, où elle était amie, mais depuis, les choses avaient bien changée, depuis, leur relation s'était détériorée. Soudain, la frimousse d'un blondinet apparaît, je ne peux m'empêcher de sourire à la vue. Si Galadriel est là, Syrius ne doit pas être bien loin. Le môme Weasley était probablement un des seuls qu'elle n'avait pas blesser et, normalement, il ne devait pas trop lui en vouloir, à moins de savoir ce qu'elle avait fais à son meilleur ami. Elle s'avançait vers lui, découvrant presque immédiatement la bouille du brun au côté du blond. Ils étaient toujours ensemble, voilà au moins une chose qu'elle savait à propos d'eux, à propos de lui. Elle se faufilait au milieu des élèves et venait s'emparer du bras de Syrius, avec douceur pour ne pas qu'il la repousse. Je te l'empreinte, d'accord? Murmura-t-elle à l'adresse du blond, alors que, sans attendre, elle attirait déjà Syrius avec elle. Elle sentait son cœur cogner violemment dans la poitrine, elle craignait qu'il ne la repousse. S'il la connaissait suffisamment, il ne le ferrait pas, s'il la connaissait suffisamment, il saurait que Léonie n'était pas du genre à venir si près de la maison des rouges et ors si cela n'avait pas été important, vraiment important, car tous savent que cette petite teigne est loin de se montrer aimable avec les élèves de cette maison, elle en était même très loin.
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Syrius S. Slyback
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.

⊰ PARCHEMINS : 572
⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010
⊰ ÂGE : 28
⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr.
⊰ ÂGE RPG : Seize ans.
⊰ PSEUDO : winged syrius.
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480


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DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late _
MessageSujet: Re: SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late SYRIUS&LEONIE ✖ I hope it's not too late EmptyMer 6 Juil - 1:38

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C'était une soirée des plus ordinaires. Affalés sur un des canapés moelleux de la Salle Commune des Rouges & ors, aux côtés de quatre autres personnes dont faisait partie Galadriel, mon meilleur ami, j'étais serré comme une larve entre mes camarades de maison. Mais, visiblement, aucun d'entre nous n'aurait cédé sa place pour rien au monde. La raison principale de cette obstination était que la Salle commune, à cette heure-ci, était pleine à craquer. Extrêmement fatigué, après une longue journée de cours et de bêtises -comme toujours-, je me contentais de regarder autour de moi, sans dire quoi que ce soit (ce qui était fort étrange de ma part). Les élèves les plus courageux faisaient leurs devoirs, en silence, sans sembler être dérangés par les autres qui parlaient fort et riaient, enivrant la Salle de leur bonne humeur. J'aurais certainement du me mettre à faire mes devoirs, moi aussi, mais le coeur n'y était pas. Je me contentais d'observer, et de lancer deux ou trois phrases lorsque j'en avais l'occasion, dans la conversation qui se déroulait autour de moi, entre mes camarades de sixième année. Puis quelque chose de parfaitement incroyable se produit, une chose que je n'aurais jamais imaginé possible. Léonie, une Serpentard, se trouvait dans notre salle commune, et semblait chercher quelqu'un du regard. Je tentais de me faire tout petit, derrière Galadriel, mais ce fut en vain. « Je te l'empreinte, d'accord? » lança t-elle à l'adresse de mon meilleur amie. Elle approcha alors, et elle m’agrippa le bras, avec une certaine douceur, avant de m’entraîner, sans que j'ai le temps de broncher. Mon départ provoqua des soupirs de soulagement de la part de mes camarades de canapé, qui purent enfin avoir plus de place.

Qui va à la chasse perd sa place. MAIS EUH! JE LA VEUX MA PLACE MOI! Oui, comme un parfait abruti, ce fut bien les premières pensées que j'eus en me faisant lever de force par la belle et fameuse Léonie Scamander. Puis, secouant la tête, je me mis à penser plus clairement cette fois. " Merde, qu'est-ce qu'elle me veut?". L'espace d'un instant, j'avais cru oublier la dispute que nous avions eu, et ce froid glacial qui avait suivit. Nous n'étions plus amis à présent, et j'avais la très nette impression que je n'étais rien pour elle. Pourtant, elle était belle et bien en train de m'attirer hors de la salle commune, en se faufilant entre les nombreux élèves. Une fois sortis de la salle, elle m’entraîna vers un couloir proche, comme si l'idée de me parler devant la Grosse Dame la répugnait. On finit par s'arrêter, et elle se posa face à moi.

Je ne pouvais pas m'empêcher de laisser mon regard s'échapper. Je ne pouvais pas la regarder. Je n'osais pas. Les murs du couloirs me sauvaient. Pourquoi? Parce que j'avais peur de souffrir, voilà tout. Je n'avais jamais eu envie de la perdre, d'une quelconque manière que ce soit, mais aujourd'hui, cela semblait être trop tard. Elle n'avait jamais été rien d'autre qu'une amie, et pourtant la peine de je ressentais faisait aussi mal qu'une peine semblable à un coeur brisé par un amour trop fort, qui aurait été déçu. Léonie était une personne très chère à mes yeux, pourtant, là-bas, sur ce terrain de Quidditch, je l'avais perdue, en quelques sorte. Je n'avais jamais désiré que cette histoire en arrive à ce point là, surtout en considérant la très bonne amie qu'elle avait toujours été pour moi, et pourtant, c'était ainsi, je n'avais rien pu y faire. La regarder devenir quelqu'un d'autre était bien trop dur à supporter, cela m’exaspérait sincèrement. Alors j'avais été assez fort pour lui avouer la vérité, pour lui dévoiler le fond de ma pensée quand aux manières qu'elle adoptait en prétendant être une pâle copie des autres pimbêches de sa maison. Et c'était cette dispute qui avait brisé notre amitié, la réduisant à l'état de poussière, sans que ni elle, ni moi, ne l’ayons voulu. J'aurais vraiment aimé que tout s'arrange, qu'en une étreinte, nos rancœurs s’évanouissent, ô oui, j'aurais vraiment aimé que tout soit aussi simple... Mais ça ne l'était pas, c'était même loin de l'être. Léonie devait s'accepter elle-même, avant que je puisse reconsidérer mon amitié pour elle. La fille qui était mon amie, c'était cette fille un peu fo-folle, spontanée et complètement déjantée, à l'image de sa famille, et surtout de son frère. Ce n'était certainement pas cette blonde glaciale et sarcastique, qu'elle essayait de prétendre être à longueur de journée. Si j'avais été idiot, comme tous les autres, je serais tombé dans son jeu, je l'aurais cru, je l'aurais même haïs... Mais je n'étais pas duppe, et j'étais l'une des rares personnes à avoir jamais rencontré la "vraie Léonie". Et elle me manquait, plus que n'importe qui d'autre...

Mais elle semblait avoir fait son choix. Cette fois, le "bien" n'avait pas triomphé face au "mal". La Léonie que j'aimais s'était évanouie, emportant avec elle l'amitié que j'avais pour cette personne, qui, aujourd'hui, ne représentait qu'une simple connaissance pour moi... Du moins, j'essayais de me convaincre que c'était le cas, mais c'était loin de l'être. Je ne parvenais pas à m'empêcher de regretter d'avoir été si dur avec elle. Pourtant, je ne pouvais plus continuer... "Va voir ailleurs Léo, j'ai pas besoin de toi." Les derniers mots que je lui avais dit. Depuis, silence radio... J'étais énervé ce soir là. Énervé et fatigué de cette situation qui avait duré bien trop longtemps. Et les mots étaient partis bien trop vite, sans que je prenne le temps de les peser, ou même d'y réfléchir. Bam, la vérité avait éclaté, Léonie connaissait enfin le fond de ma pensée. Pourtant, cela ne m'avait pas aidé à me sentir mieux. Au contraire même...

Mais j'étais un Gryffondor, merde! Ce n'était pas une fille qui allait m'empêcher de vivre ma vie comme je l'entendais. Levant les yeux vers elle, assez soudainement, je repris confiance en moi. C'était elle qui avait fait des erreurs, elle qui m'avait fait du mal. Dans cette histoire, je n'y étais pour rien, et je n'avais rien à me reprocher. Je ne pouvais pas m'empêcher d'appréhender ce qu'elle allait me dire, mais tant pis, qu'elle fonce, pour que ça se finisse au plus vite. Venait-elle pour s'excuser, ou pour me reprocher quelque chose? Je n'en avais pas la moindre idée, mais j'allais bientôt le découvrir. Prenant une grande inspiration, je la regardais dans les yeux, sans vraiment avoir d’expression, avec un visage fermé. Qu'elle parle, j'étais toute ouïe.
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