Sujet: I want an ice-cream sandwich ! (yuko) Sam 31 Déc - 2:18
CHRIS DREW, TUMBLR
yuko owleye
dit la pastèque
Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Il est né à Osaka (Japon) en ce beau jour qu'est le 25 décembre 2043 en tant que sang mêlé ; à présent il vit à Londres. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être très mauvais. Il y a quelques années maintenant, ils'est procuré une baguette faite en bois de cerisier, mesurant vingt-sept centimètres et pas un de plus et contenant une écaille de kappa. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une méduse. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : avec une montagne de pastèques. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. une mouche géante, dans son cas.
oh, oh, it's magic, you know.
Histoire
Avoir un parent sorcier, ça mène forcément à une vie trépidante. Ce jour là, les deux jeunes tourtereaux anglais férus de culture nippone avaient entamé leur périple à travers le pays du soleil levant. Mais il fut hélas écourté par l’arrivée prématurée de leur fils, né après leur visite d’un temple shintoïste d’Osaka. Tout était passé très vite, et la brave dame avait bien failli y laisser la vie, prise de violentes contractions dans la grande avenue parsemée de cerisiers en fleurs. Le petit garçon était né deux mois avant l’échéance prévue, mais il avait déjà l’allure d’un gros panda sans poil, à l’exception de son crane, qui arborait des cheveux extrêmement lisses et roux comme les feuilles d’érable durant l’automne. Et puis, il avait souri, à l’instant même où on l’avait posé sur sa mère, comme s’il avait hâte de découvrir sa nouvelle vie et qu’il savait ce qui l’attendait, une vie simplement magique. Pourquoi Yuko ? C’est parce que le yuko, c’est une technique de coiffure nippone qui permet de lisser les cheveux définitivement.
Le petit garçon venait d’avoir trois ans, et déjà, sa maladresse maladive prenait le dessus. Plusieurs fois, il avait confondu le samedi et le mardi et s’était trompé de maison en rentrant chez lui. Cependant, il vivait très bien avec, entouré par une sorte de bulle d’indifférence qui lui permettait de ne pas prendre en compte les multiples moqueries à son égard. Les enfants du quartier de la banlieue Londonienne l’appelaient « The awkward pumpkin », comprenez la citrouille maladroite. Et oui, il avait encore les cheveux roux, et ceux-ci brulaient aux yeux quand ils étaient éclairés par le soleil d’été. De nombreuses tâches de rousseurs parsemaient son visage, comme des dizaines d’étoiles en feu. Son admiration pour sa mère qui était sorcière était grandissante de jours en jours. De nombreuses fois, il avait pris sa baguette magique, essayant de découper des pommes de terre avec un sort de tranchage comme elle le faisait si bien mais il arrivait seulement à en faire une bouillie digne d’un polinectar périmé. Un jour, il avait même broyé le chat de la voisine qui passait dans la rue. On ne lui avait que vaguement parlé de Poudlard, l’école de sorcellerie, mais déjà il s’était confectionné un calendrier sur lequel figurait la date où il découvrirait le vieux château, et où il cochait chaque jour en moins qui le séparait de sa nouvelle vie.
Le jour de ses six ans, il reçut de son oncle une guitare électrique rouge vif signée MusiMagic (sans doute achetée sur le chemin de traverse) qui émettait des sons de toutes sortes et faisait jaillir des gerbes d’étincelles lorsque l’on grattait une corde. Le petit garçon voulu aussitôt prendre des cours de musique et ses parents le mirent au conservatoire le plus proche, en ayant pris soin de désactiver de l’instrument toute sorte de bruits suspects et d’éléments magiques qui pourraient effrayer les professeurs. Yuko compris alors que les « moldus » possédaient aussi une forme de magie, celle de la musique. Ainsi, chaque Dimanche, il s’enfermait dans sa chambre durant toute la journée pour s’entrainer, découvrant un monde fascinant auquel il prit vite goût. Ses proches ainsi que ses professeurs de musique furent surpris de voir à quel point le petit garçon progressait vite, d’autant plus que ses résultats scolaires étaient désastreux, à cause de son manque de concentration. Etait-ce un bon présage pour ses futures études de sorcellerie ?
Onze bougies, un hibou, et une lettre. Une lettre au nom d’OwlEye Yuko, une lettre d’admission à la grande école de sorcellerie Poudlard. C’était le plus beau jour de sa vie, et il avait enfin pu rayer la dernière date sur son calendrier de fortune. Puis tout était passé très vite, comme un bon moment. Il avait vu le chemin de traverse, tous ces articles, tous ces animaux étranges et ces potions. Lors de sa visite chez le vendeur de Baguette, il sembla que ses « origines » nippones eurent un rôle décisif dans le choix de son instrument apte aux plus grands enchantements. Une belle baguette contenant une écaille de Kappa, créature fantastique du folklore Japonais. En guise d’animal, il prit un Hiboux aux plumes dorées et aux grands yeux ronds qui lui donnait un air candide, en référence à son nom de famille. Jusqu’à son arrivée au château, le garçonnet avait un nœud d’angoisse et d’excitation qui lui tordait le ventre.
Cela fait à présent six ans que Yuko parcoure les longs couloirs de Poudlard. Le choixpeau avait choisi Gryffondor, ce qui n'est pas pour déplaire au jeune homme qui est heureux, c’est le moins que l’on puisse dire. Ses résultats sont catastrophiques, mais il ne semble pas le prendre en compte, ou alors c’est parce qu’il est tout simplement très naïf et bon enfant, toujours entouré de sa bulle d'indifférence. Les moqueries sont toujours là, il faut dire que le jeune homme, fidèle à lui-même, arbore un style vestimentaire plutôt déjanté et une personnalité qui se fond parfaitement avec. Il lui arrive de se balader avec de grosses lunettes rondes ou avec un bonnet en poil d’ours brun dans les couloirs, tout en poussant la chansonnette et en dansant au rythme de sa voix. Il est aussi terrifié par les mouches, d'où la forme que prend son épouvantard. Cependant, il n’est pas idiot et il a suffisamment appris pendant son enfance qu’il devait rester lui-même dans toutes les circonstances. Il y a autre chose. Une chose qu’aucun ne sort ne peut changer. Yuko n’est pas attiré par les filles. Il n’a jamais su comment l’info s’était propagée au château mais celle-ci rajoute encore aux moqueries un aspect amer. La plupart des garçons pensent que Yuko a choisi cette orientation afin de provoquer, et les filles, elles, trouvent ça cool, et le considèrent un peu comme un objet de mode. Personne ou presque ne le comprend, ne comprend qu’il n’a rien choisi, et qu’au fond il peut en souffrir. Mais il y a un certain Luke Antown Potter. Oui, le fameux descendant du descendant du héros. Lui, semble avoir compris, et n’hésite pas à défendre Yuko si besoin est, au risque de se faire traiter de « tapette ». Les deux garçons sont indifférents. L’un dur, l’autre presque niais. Luke à bien prévenu Yuko de son attirance démesurée pour la gente féminine, et Yuko a lui bien compris, même s’il cache une certaine attirance pour le jeune homme. Il faut dire que quand Luke se balade en caleçon dans les couloirs, comment le jeune anglais peut-il ne pas être indifférent ?
the best day of my life.
Yuko est assis dans l’herbe sous un grand pin, son fameux bonnet (avec oreilles) en poils d’ours brun sur la tête, une longue écharpe aux motifs écossais lui couvrant la moitié du visage. L’air se faisait de plus en plus frais, et de nombreux élèves avaient enroulé une écharpe aux couleurs de leur maison autour de leur cou. Il était plongé dans la lecture d’un shônen manga que sa mère lui avait offert avant qu’il reparte pour le château. Il leva la tête un instant et vit deux garçons face à un mur du bâtiment, remuants des lèvres et semblant rigoler comme des ivrognes. Yuko se pencha légèrement pour s’assurer que les deux jeunes hommes ne parlaient pas au château et qu’ils n’étaient pas réellement saouls, et il vit, adossée au mur devant les deux sorciers, une fille brune, beaucoup plus jeune que lui, qui semblait terrifiée. Une légère brise lui amena quelques bribes de leur conversation et il put entendre : « On en veut pas…Salem…Dégage…Chez nous…Gamine… » Hmm…il semblait que deux imbéciles de Poudlard étaient en train de chambrer une première année venue de l'école de Salem. Ils n’avaient donc pas retenu le discours du directeur de Poudlard qui avait dit qu’il fallait que les nouveaux élèves se sentent chez eux. Yuko jeta un coup d’œil autour de lui mais il ne vit personne qui pourrait aller en aide à la jeune fille qui semblait à présent au bord des larmes. Il fallait donc qu’il y aille. Faire face à deux ados en pleine quête de popularité qui vous insulteraient surement de tous les noms, ça peut paraitre difficile, mais à partir du moment où on les considère comme stupides et immatures, c’est plus simple. Yuko se leva et rangea son livre dans son sac puis se mis à marcher en chantonnant. Arrivé devant les deux garçons, il vit que la jeune élève de Salem le regardait d’un air suppliant. « Hey ! » fit Yuko avec un grand sourire, faisant le signe de la victoire avec sa main droite. Les deux élèves se retournèrent et éclatèrent d’un rire sonore. « Salut la tapette, tu veux quoi ? » lança un des élèves, qui avait visiblement du se prendre un coup dans le nez étant plus jeune, celui-ci était aplatit et luisait comme si on l’avait badigeonné d’huile. Yuko garda son sourire et s’avança vers la jeune élève de Salem qu’il prit par le bras et commença à emporter vers la droite. Il se retourna vers les deux élèves de Poudlard qui avaient un petit air de stupeur sur leur visage et leur lança d’un air joyeux :« Belle journée, n’est-ce pas ? ». Puis il se retourna et adressa un sourire à la petite brune qui avait sa main droite contre son cœur qui devait surement battre la chamade. « Comment tu t’appelles ? » demanda Yuko. « Sa…bri…na » répondit la jeune fille qui commençait à reprendre des couleurs. « Sabrina… Je t’invite à courir jusqu’à la bibliothèque, parce que les deux homo-sapiens sont en train de nous rattraper. » Il termina sa phrase par un sourire puis prononça doucement « 3…2…1… »
J’espère que quelqu’un à remarqué le petit clin d’oeil… Salem… Sabrina.
Citation :
TON PSEUDO: Kimo TON ÂGE: 16 ans TON AVIS SUR SONORUS? SI JE TE DIS 'WHAT ELSE?' TU ME RÉPONDS: J'aime les melons...
Dernière édition par Yuko Owleye le Dim 1 Jan - 23:32, édité 6 fois
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Merciiiiii ! 
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j'avoue que ton épouvantard me faut les boules, faudra qu'on monte un club des traumatisés des animaux 
