COME AT ME, BRO ! (DONE)

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AVEC MATTHEW LEWIS, PAR FUCKYEAHMATTHEWLEWIS.

Evan "Bro" Aberwood.

dit le faux méchant (et vrai coeur tendre).

Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année année au collège. Il est né à Stratford-upon-Avon en ce beau jour qu'est le quatorze juillet mille neuf cent quatre-vingt quatorze en tant que né sang pur ; à présent il vit toujours dans le même bled. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen (malgré des pouvoirs magiques très développés). Il y a quelques années maintenant, il s'est procuré une baguette faite en bois de chêne, mesurant trente-sept centimètres et contenant une plume de phénix. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une loutre. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : égaler la gloire de son auguste grand-père, Neville Londubat. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards, qui représente un serpent monstrueux., dans son cas.

the best day of my life.

Evan s'étira lentement, avec la grâce d'un éléphant neurasthénique. Voilà une bonne petite heure qu'il glandait sur ce banc à ne rien faire, plutôt que d'aller en cours d'Arithmancie et il en était parfaitement satisfait. Indifférent aux regards que lui lançaient certains élèves de son année qui se rendaient eux, en cours, il préférait observer les nouveaux étudiants arrivés récemment à Poudlard, et particulièrement les étudiantes. Les plus sexy étaient les Françaises, les plus charmantes les Américaines et les plus mystérieuses (du moins l'imaginait-il) celles qui venaient des Pays de l'Est. Bien sûr, aucune d'elle n'avait le généreux tour de poitrine d'Ophélia mais elles étaient toutes ... intéressantes et il comptait bien goûter aux charmes de la France le plus vite possible. C'est donc sur cette pensée qu'il ferma les yeux pour faire une petite sieste ... Quand il fut réveillé par les couinements perçants d'une minuscule gamine arborant les couleurs françaises de Beauxbâtons. Pas assez de seins pour intéresser Evan, mais il remarqua qu'un Serpentard et deux de ses acolytes aussi élégants que des porcs déguisés en ballerine entouraient la petite, trouvant visiblement désopilant de l'asticoter avec leurs baguettes. Evan ne bougea pas d'un pouce. Jouer au chevalier servant à la vue et aus de tous n'était pas son genre - trop dangereux pour sa réputation d'infâme bonhomme, mais il maîtrisait plutôt bien les sortilèges informulés ... "Levicorpus." songea-t-il en direction du leader du petit groupe. Zioup ! Il fut soulevé dans les airs, et ses acolytes ouvrirent des yeux ronds, oubliant pour un temps la gamine, qui en profita pour courir sans demander son reste. Le Serpentard redescendit sur le sol sans douceur et il y eut un craquement sonore et sinistre, signalant à un Evan très satisfait de lui-même que le type s'était cassé le nez. Sans plus prêter d'attention à ces trois minables, il se leva, épousseta sa robe de sorcier et son esprit passa à autre chose quand il croisa le regard d'une belle Hongroise au sourire ravageur ...]

Citation :: TON PSEUDO: Whalesong.
TON ÂGE: Dix-huit ans.
TON AVIS SUR SONORUS? UNE PURE BOMBASSE.
SI JE TE DIS 'WHAT ELSE?' TU ME RÉPONDS: Choucroute ! Piquet ! Barrique !

**Invité** Invité

UN BRO C'EST SACRÉ.

Evan se tenait là, juste en face de Syrius Slyback. Evan n'avait que sept ans, mais il dépassait déjà de deux bonnes têtes son cadet, qui n'avait qu'un an de moins que lui. Ce dernier le fixait d'ailleurs d'un air inquiet, comme toujours quand Evan l'emmenait dans le fond du jardin - ou plutôt parc - du domaine des Aberwood. Car c'était là, dans sa cabane pour enfants, qu'Evan mettait son imagination prolifique au service du dieu de la blague et du vice. Ainsi, ses parents reconnaissants (ou pas) lui devaient la transformation du cheval familial en canari, l'ensorcellement de l'argenterie (sympa quand on recevait des invités tels que les Slyback) et bien d'autres tours pendables qui faisaient d'Evan un véritable cauchemar. Ses prédispositions à la magie ne lui servaient qu'à faire de la vie des autres un enfer - exceptées quelques rares exceptions, et Syrius SLyback en faisait partie. Fils unique, Evan avait une affection toute particulière (qu'il se gardait bien de montrer, parce que faut pas déconner non plus) pour ce gamin qui avait presque son âge et dont les parents venaient souvent rendre visite aux siens. Ensemble, ils faisaient stupidité sur stupidité et leur vague, très vague ressemblance (même cheveux bruns ébouriffés) en avait fait conclure à l'imaginatif Evan qu'ils ne pouvaient qu'être frères. Et c'est dans cette idée qu'il avait entraîné Syrius dans la cabane qui abritait leurs jeux d'enfants. "T'es sûr que c'est une bonne idée ?" demanda le petit Slyback, l'air inquiet, le regard posé sur le couteau suisse qu'Evan tenait (il l'avait volé à son père, qui aimait bien collectionner en secret les objet moldus). "Mais oui. Allez, donne ta main." Syrius la tendit, pas vraiment rassuré (et il avait raison, vu la tête du couteau suisse, c'était Jésus qui devait en avoir fait cadeau au père d'Evan). "Ca va pas faire mal, hein ?" Evan leva les yeux au ciel. "Mais noooon, je l'ai vu dans un livre moldu, c'est pour les forts ! Bon. Prêt ?" Syrius opina faiblement de la tête et Evan sourit (il avait perdu le mois dernier ses deux dents de devant, suite à un combat acharné avec un Cognard pour enfants). Il prit la main de son ami et doucement, approcha la pointe du couteau, qui finit par cisailler la paume de Syrius. Ce dernier faisait preuve d'un courage exemplaire et ne cria même pas, même quand un filet de sang commença à couler le long de sa petite main. Une fois que ce fut fini, Evan lui tendit le couteau et le fixa d'un air intense (du moins, autant que peut l'être un gamin de sept ans). "Allez vas-y." fit-il d'un air assuré. Syrius approcha le couteau et entailla la main de son aîné de la même façon. Le gamin grimaça mais tint bon et une fois que ce fut fait, il observa d'un air ravi l'estafilade sanglante qui lui barrait la même. Rien n'aurait pu égaler la fierté qu'il éprouvait à cet un instant. Il avait un Bro, et c'était pour la vie.

ET LES FILLES, C'EST NUL.

Dix ans avaient passé depuis qu'il avait infligé cette cicatrice à Syrius Slyback et que ce dernier lui avait fait la même en retour. Assis à la table des Gryffondor, à côté de son ami de toujours, il observait avec un grand intérêt les demoiselles et leurs uniformes d'hiver. Il trouvait les jupes toujours un peu trop longues. Alicia Wellis, une sublime Serdaigle de septième année, était assise juste en face de lui, à la table de sa maison. Les jambes croisées, elle lisait un livre mais ça ne démonta pas Evan qui tira doucement sa baguette de sa poche et la pointa sous la table. "Reducto." murmura-t-il en visant la jupe de la jeune fille. Aussitôt, le bout de tissu se réduisit et Alicia poussa un cri strident, en se levant. Puis elle croisa le regard appréciateur d'Evan et elle eut un cri de rage évocateur. "T'es qu'un sale con, Aberwood !" A côté de lui, Syrius eut un soupir quelque peu blasé. Evan affichait un air ravi. Alicia avait des jambes magnifiques, mais elle quitta aussitôt la salle, folle de rage. "T'abuses, quand même ..." glissa Syrius. Evan leva les yeux au ciel. Tout Poudlard le savait : il n'était pas un garçon sage et il ne comptait pas le devenir. Depuis sept ans qu'il effectuait sa scolarité (pas extrêmement brillante) à l'école de magie anglaise, les professeurs et les élèves le savaient bien : Evan Aberwoord n'était pas un garçon qu'il fallait trop titiller. Pas question d'être un Neville Londubat deuxième du nom, et d'être la bonne poire du coin, malgré toute le respect qu'il avait pour son auguste ancêtre. La voie de la déconnade était plus drôle, et il était indéniablement doué pour ça. Soudain, une autre jeune femme intéressante apparut dans son champ de vision, à la table des Poufsouffle. Ophélia Zabini avait grandement changé. Ce n'était plus la gamine pleurnicharde qui avait deux piqûres de moustique en guise de seins. La Poufsouffle était devenue une belle plante voluptueuse à la poitrine plus qu'honorable, et même s'il paraissait qu'elle était un peu (beaucoup) nunuche, et Evan avait dans l'idée de l'accrocher à son tableau de chasse. "Je connais ce regard." fit Syrius en lui enfonçant sa baguette dans la joue. Evan lui retourna un regard narquois. "Jaloux que je ne te l'accorde pas ?" Syrius leva les yeux au ciel, et Evan retourna à sa proie du moment. Ophélia Zabini, il la voulait ... Et il l'aurait !

"COME AT ME BRO" Ça me fait penser au gif de Matthew qu'on trouve partout, avec ce texte *______*

Puis-je te violer ?
Non mais le petit fils de Neville, c'est simplement orgasmique. Je veux être plus que la "bro" d'Evan, t'as pas idée. Moi qui m'étais promise de ne pas faire la fangirl, c'est raté. COME AT ME, BRO ! (DONE) 556303

Et stratford-upon-avon ? Shakespeare, bordel Shakespeare. COME AT ME, BRO ! (DONE) 981358

Voilà, après ce petit moment de confusion, je te souhaite la bienvenue parmi nous. (a)

**Invité** Invité

Oui, c'est l'idée ! Mais ça convient surtout parfaitement à l'idée que je me fais d'Evan.
Ouais, sois mon bro, en plus t'as un nom qui claque c'est trop cool.

Bonnie, c'est avec joie que je t'annonce que tu peux tout à fait me violer ! Soyons plus que bros, alors.
Et ouiiii, Shakespeare.

Merci à vous deux.