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M i s s i o n . 0 0 3 : P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e

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Léonie J. Scamander
Léonie J. Scamander

⊰ PARCHEMINS : 474
⊰ INSCRIPTION : 25/10/2010
⊰ ÂGE : 34
⊰ CRÉDITS : © Addie
⊰ ÂGE RPG : 16 ans
⊰ PSEUDO : Kiki
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9714


STOP FOR A MINUTE
JUKEBOX: Ange ou Démon | Robert
RELATIONSHIPS:
DOUBLE-COMPTE: Maïa K. Callahan
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MessageSujet: M i s s i o n . 0 0 3 : P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e EmptyMar 27 Déc - 1:57




M i s s i o n . 0 0 3
FEAT The Three Musketeers

Minuit tapante. Léonie se débarrasse de son peignoir rose à l'effigie de la célèbre panthère, du moins, célèbre pour les moldus. Il n'est pas certains que ses comparses comprennent l'allusion. Au fond, elle s'en fou pas mal. Pas un chat dehors. Ni de serpent, d'ailleurs. La demoiselle rassemble ses cheveux pour les nouer. Sous son peignoir, le noir est de mise. Un regard à droite, un regard à gauche, suspicieuse, elle abandonne sa place pour se faufiler au dehors de la salle commune des Serpentards. Malheureusement, la blondinette comprend rapidement les failles de son nouvel uniforme. Les talons hauts claquent sous ses pas, avertissant quiconque se trouvant dans les environs de sa présence. Elle avance. Se stoppe. Elle a la désagréable impression d'être suivie. Les bruits de pas la suivent. La personne suit le tracé de la Scamander, s’immobilisant lorsqu'elle en fait de même. Elle plisse les yeux, tentant de percevoir quelques choses dans la pénombre. Rien. A croire que ces bruissements ne sont qu'un écho à ses propres pas. Oui, c'est sans doute cela, des échos. Dans les films, cela ne se déroule jamais de cette façon. Les agents secrets féminins évoluent en talon sans la moindre difficulté, sans se faire repérer. T-t-t-t. Publicité mensongère. Léonie finit par rebrousser chemin, retournant à sa salle commune, elle troque ses escarpins contre une paire de basket. Elle s'apprête à sortir puis, elle s'arrête à nouveau. Une idée lumineuse. Elle s'empresse d'enfiler à nouveau les escarpins et de leur jeter un sortilège de silence. C'est à croire que toutes ses héroïnes sont des sorcières comme elle. Joyeuse et ravie de son stratagème, Léonie reprend sa route. Elle arpente les couloirs sans émettre le moindre son. Elle évolue lentement, se plaisant dans le rôle de l'agent secret. La mission : prendre la cuisine en otage. Première étape : rejoindre les cuisines où l'attendent probablement les autres agents. Deuxième étapes : neutraliser les gardes du corps, j'ai nommé, les elfes de maison. Troisième étape : s’empiffrer. Le ventre de la demoiselle gargouille rien qu'à la pensée des délicieux mets qu'elle va avaler. Elle grimace, posant sa main contre son ventre qu'elle tapote avec compassion. Tout doux, c'est pour bientôt. Et c'est peu de le dire, la tableau est à vue. Léonie ouvre sa veste, un blazer noir dont le col est en soie sauvage, d'un mouvement théâtrale pour sortir une plume blanche, tranchant avec le reste de son costume. Elle avance prétentieusement la plume du tableau et pour venir caresser la poire. Le fruit se tortille et laisse échapper un rire cristallin. Le tableau s'ouvre. Un sourire satisfait, Léonie range son arme. Elle se penche et s'engouffre dans le passage étroit puisqu'il est prévu pour les elfes de maisons.

Rien dans la cuisine. Il n'y a aucune trace des elfes de maison. Quelqu'un aurait-il pénétré avant elle dans les lieux? Suspicieuse, elle avance sur la pointe des pieds, oubliant complètement que ses escarpins ne peuvent émettre le moindre son. Baguette sortie, elle évolue dans l'ombre, n'osant pas ouvrir la lumière de peur d'être repérée par l'ennemi... Ennemi qu'elle ne connait pas. Il y a de quoi la désavantager. Des murmures se font entendre. Elle avance à l'aveuglette, tentant de ne pas se heurter au mobilier. Elle décèle un mouvement. Sans hésiter le moins du monde, Léonie plonge sur sa cible, l'écrasant de tout son poid, c'est à dire, franchement pas grand chose. Elle emporte sur son passage bon nombre de casserole qui s'écrase sur le sol dans un brouhaha insupportable. Ajouté à ces bruits métalliques, les protestations de sa cible qui couine douloureusement sous l'emprise de l'agent Léonie. Éveillés par le vacarme, les elfes de maison se hâte à rejoindre les cuisines. Les lumières s'allument. Léonie se rend compte qu'elle est littéralement couchée sur Galadriel et que l'une de ses mains tient fermement l'oreille de Syrius. Position bien peu confortable. Ses paupières papillonnent. Son regard vogue, d'eux, jusqu'aux elfes de maison qui les toisent, leurs yeux globuleux plein de perplexité. Tant bien que mal, la demoiselle se redresse, non sans administrer à ses compagnons l'un ou l'autre coup de genou ou de coude. Elle pointe sa baguette vers les cuistots miniatures et très sérieusement, elle leur annonce : C'est un hold up. Elle tourne alors son attention vers ses deux comparses, toujours au sol. D'un mouvement de sourcil entendu, elle les somme de lui venir en aide. Crédibilité? Zéro. Léonie, debout parmi la cuisine, vêtue en noir ne passe pourtant pas inaperçue avec une jupe à froufrou ébène, assortis au "masque" qui recouvre son visage. Si on peut appeler cela un masque, car son visage est on ne peut plus reconnaissable à travers la tulle. Un style inébranlable et reconnaissable entre mille. Léonie Scamander est dans la place. Les elfes de maison ronchonnent, se détournant du trio pour retourner à leur couche. Comme s'ils en avaient quelques choses à faire que trois petits voyous dévalisent le frigo...
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Syrius S. Slyback
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.

⊰ PARCHEMINS : 572
⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010
⊰ ÂGE : 28
⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr.
⊰ ÂGE RPG : Seize ans.
⊰ PSEUDO : winged syrius.
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480


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MessageSujet: Re: M i s s i o n . 0 0 3 : P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e EmptyMer 28 Déc - 7:15

M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e Tumblr_lwbfbpbcXQ1qmxcc6o1_500


Minuit, l'heure du crime. Affalé sur l'un des fauteuils de ma si tendre Salle Commune, celle des rouges, j'attendais nul autre que Galadriel, qui se faisait désirer, à se préparer dans leur dortoir. Me levant d'un bond, j'allais me poster contre un mur, les bras croisés, près du tableau de la Grosse Dame, histoire d'être le plus proche de la sortie, une fois qu'il serait arrivé. L'endroit était désert. Puis, j'entendis des bruits de pas, descendant les escaliers. Il s'agissait bien évidement du jeune Weasley, mon ami de toujours, qui venait tout juste de débarquer. « Galadriel, comme on se retrouve. » lançai-je, d'un ton doucereux à mon meilleur ami, qui leva un sourcil, étonné, en s'approchant de moi. J'affichai un sourire malicieux, qu'il semblait désirer déchiffrer. Pensait-il à ce que je pensais? Il me semblait bien, oui. Nous devions nous retrouver dans les cuisines, avec la troisième membre du trio, Léonie Scamander, pour un Holp Up de la plus grande renommée. Les elfes de maisons n'avaient qu'à bien se tenir, les trois mousquetaires allaient bientôt débarquer. Je toussotai alors, légèrement, et mon sourire s'agrandit, puis je fis un mouvement brusque, ouvrit la porte qui n'était autre que le tableau de la fameuse Grosse Dame, et s'enfuit en courant, suivit de très près par Galadriel, qui ne mit pas longtemps pour arriver à sa hauteur. Oui, effectivement, nous avions bel et bien eut la même idée. Une petite course, après tout, ne pouvait nous faire que du bien. Cependant, j'avais la très nette impression que le parcours allait être semé d'embûches. Évidement, nous nous trouvions dans la tour des Gryffondor, alors descendre les escaliers sur sept étages, en faisant la course, et en tentant l'un et l'autre de se disqualifier, cela n'allait pas être une mince affaire. « Mec, y'a Lily en maillot de bain là bas! » s'exclama soudain Galadriel, alors que nous avions atteint un couloir du cinquième étage, et que nous nous dirigions vers les escaliers. Obligé de me retourner pour vérifier ses dires, je lui répondis en même temps: « Hein, quoi?! Où ça?! » Oh, j'étais naïf, très naïf. Non mais sérieusement, qu'est-ce que Tyler aurait bien pu faire dans un couloir du cinquième étage en maillot de bain, en plein mois de Décembre? « TRAHISON! » criai-je à Galadriel, plein d'indignation dans ma voix, tandis que je reprenais notre course folle, avec quelques mètres de retard. Décidément, il courrait vite, le bougre, et je fus derrière lui pendant quelques temps encore. Ce fut lorsqu'on eut atteint un couloir du second étage que je parvins presque à le rattraper, mais, avec la chance folle que j'avais, mon pied se prit dans je ne savais trop quoi, ce qui me fit chuter, m’étalant à plat ventre sur le sol. Dans un dernier espoir d'arrêter mon meilleur ami, je tendis mes mains vers ses chevilles, parvenant à les agripper au vol. La conséquence de ce geste ne se fit pas attendre, et Galadriel, à son plus grand désespoir, s'étala comme une crêpe tel que je l'avais fait quelques secondes auparavant, et cette fois par ma faute. Ne lâchant pas ses chevilles pour autant, l'empêchant de se relever, je lui grimpais petit à petit dessus, histoire de l'immobiliser, ce qui n'était pas une mince affaire. « A la guerre comme à la guerre Gal'! » lançai-je, toujours allongé comme un gros pâté sur mon meilleur ami, qui essayait de me mordre avec une férocité exemplaire. Puis, en vitesse, je me relevai, et me remis à courir, en poussant un cri, suivit de près par un Galadriel enragé.

Question discrétion, on repassera, hein... La course reprit donc, et le jeune Weasley se hissa à ma hauteur, et nous commençâmes à nous pousser à l'aide de grands coups de coudes. D'autres magouilles furent également de mises, mais finalement, après une bonne dizaine de minutes, on finit par arriver dans les sous sols de Poudlard, en ayant étrangement croisé absolument aucun adulte de quelque sorte que ce soit, et sans s'être fait remarqués. Et beeh, elle était belle la ronde de nuit entre les murs du château! Épuisé, et finalement ex-æquo, j'entrepris de chatouiller la poire, qui lança un petit rire, avant de laisser s'ouvrir le tableau. Incapables de dire quoi que ce soit, à cause de ce satané souffle qu'on essayait de reprendre, nous nous tûmes, coincés dans l'obscurité des lieux. Pas de trace des elfes de maisons. Était-ce l'oeuvre de Léonie? Surement pas. Ils étaient certainement en train de dormir, à cette heure-ci, c'était tout à fait normal. Puis la porte s'ouvrit à nouveau, et quelqu'un avança, sans aucun bruit. « Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah! » m'écriai-je alors, en sentant une main me tirer l'oreille, alors que des bruits sourds de casseroles qui tombaient par terre retentirent, et que les lumières s'allumaient. Cette main se révéla celle de Léonie, qui avait plongé sur nous deux, faisant tout chuter sur son passage. Le bruit éveilla les elfes, et l'endroit se mit soudain à être remplis de ces petits êtres, pour la plupart infiniment laids. Remarquant les vêtements de Léonie, et le fait qu'elle ait pris cette histoire vraiment au sérieux, cela m'arracha un rire. « C'est un hold up. » lança t-elle, le plus sérieusement du monde, la baguette tendue vers les elfes, qui ne semblaient pas se préoccuper le moins du monde de notre présence. Stoppant de sourire, je tentai de prendre un air très sérieux, de quelqu'un qui braque une banque, sortant moi aussi ma baguette, copiant la position de mon amie Léonie. « Que personne ne bouge! » répliquai-je, dans le vent, car les elfes commencèrent à s'affairer aux fourneaux, sans prendre compte de mon ordre.
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Galadriel E. Weasley
Galadriel E. Weasley

⊰ PARCHEMINS : 290
⊰ INSCRIPTION : 09/10/2010
⊰ CRÉDITS : cristalline
⊰ ÂGE RPG : seize ans
⊰ PSEUDO : *
⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9644


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M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e _
MessageSujet: Re: M i s s i o n . 0 0 3 : P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e EmptyMer 28 Déc - 10:37

M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e Tumblr_lwgsw8kuc41r8xfyqo3_r1_500

« Ce soir, à minuit pile. Les cuisines. » Galadriel lança un coup d'œil à son reflet. Si Léonie avait prit l'invitation au méfait au sérieux, lui aussi. Les deux index dans son encrier, il traça des marques noires sur sa peau pâle, juste en dessous de ses yeux. Oh, bien sûr, il ne risquait pas d'avoir besoin d'un quelconque camouflage ou de s'abriter du soleil à minuit dans les couloirs du château, mais tout était dans l'attitude. Il plongea ses majeurs dans de l'encre rouge et souligna ses deux précédentes marques noires. Puis, il passa ses mains dans ses cheveux, changeant de coiffure radicalement, ses cheveux désormais plus en bataille que jamais. Il n'avait certes pas de masque, mais il avait fait de son mieux. Il se retourna vers la pagaille de son dortoir et plongea dans sa valise. Syrius était déjà descendu, n'ayant pas spécialement eu le désir de traîner dans les dortoirs et la même volonté artistique de son meilleur ami. Galadriel sortit des vêtements noirs et se changea. Il jeta un dernier coup d'œil à la glace, hésitant à changer la couleur de ses cheveux, surtout lorsqu'il se doutait qu'il finirait plus chauve qu'avec une teinture. Puis, un air malicieux apparut sur le visage du Gryffondor agrémenté d'un large sourire crapuleux. Il saisit le bonnet noir d'Evan et descendit promptement dans la Salle commune.

« Galadriel, comme on se retrouve. » Posté à côté du tableau de la Grosse Dame, le jeune Slyback l'attendait sagement. Ils échangèrent pendant quelques secondes des regards mesquins, futés et espiègles, ce qui équivalait à un langage tout à fait établi pour les deux meilleurs amis. Puis, Galadriel enfila son bonnet, enfonça son deuxième sur la tête de Syrius. Le portrait de la Grosse Dame pivota et une lutte sans merci débuta...

« Mec, y'a Lily en maillot de bain là bas! » Cela faisait bien trois couloirs que Galadriel talonnait Syrius sans parvenir à le dépasser. Fichtre ! Aux grands maux les grands remèdes. « Hein, quoi?! Où ça?! » Galadriel enjamba le pied d'un Syrius tournoyant, explosant de rire à l'idée d'avoir eu son meilleur ami avec une telle réplique. Comme quoi, le jeune homme était vraiment attaché à la petite Lily. «  TRAHISON! » Rien à faire, le Weasley riait tellement qu'il avait du mal à en respirer, cependant, ça ne le faisait pas ralentir pour autant. Il bifurqua après un couloir, cherchant frénétiquement le chemin le plus facile et se stoppa net, si bien qu'il manqua lui-même de basculer en avant, essayant de garder son équilibre en battant des bras tel un vaillant hyppogriffe. Il se retourna vivement, piétina pour reculer, patinant presque sur le sol, à la vue de la silhouette du membre du personnel qui veillait les délinquants dans leur genre. Finalement, Syrius attrapa la capuche de son sweatshirt, remarquant sa détresse, mais celui-ci ne semblait pas avoir remarqué l'un de leur ennemi. « Sy... Sy... Sy... Ouuuuwaaaaah.... » L'adolescent finit par tomber lourdement sur les fesses, attrapant Syrius par la seule chose qu'il pouvait saisir soit : sa ceinture qui pendait. Cette action fit tournoyer l'adolescent sur lui-même dans un cliquetis sonore et le Gryffondor resta quelques secondes perplexe en ayant l'accessoire dans ses mains, ne comprenant pas d'emblée ce que c'était. Néanmoins, le pantalon finissant aux chevilles du Gryffondor, Galadriel avait réussi à extirper son frère de cœur des griffes du camp adverse. Il se releva alors que Syrius se penchait pour se rhabiller et traîna Syrius dans la direction opposée, s'esclaffant : « Pas par là, y'a Framboise épicée ! » Oui, les adolescents avaient tendance à donner des pseudonymes aux différents surveillants. Galadriel fourra la ceinture dans les mains de Syrius qui courrait aux coudes à coudes avec lui, articulant entre deux fous rire : « Désolé pour ça ! »

Qui a dit qu'il fallait toujours s'excuser ? Ou alors, parler en courant ? Qui a dit que les garçons ne pouvaient pas faire deux choses en même temps ? En tout cas, Galadriel aurait bien dû écouter ce sage personnage car ça l'aurait évité de foncer tout droit dans une armure. Regarder Syrius en courant au lieu de regarder devant lui n'était pas le plan le plus astucieux qu'il ait jamais eu. Surpris, Galadriel s'extirpa de la ferraille lourde du personnage moyenâgeux et remarqua que Syrius n'avait pas pris la peine de ralentir. Non, l'adolescent en avait profité pour prendre de l'avance ! Frustré, il se redressa et sauta dans le passage secret derrière l'armure. Il glissa le long du toboggan, laissant tomber gants et casque métalliques derrière lui et sauta sur le sol du premier étage, où il apercevait quelqu'un s'approcher à vive allure de lui : Syrius. Il se retourna et prit les jambes à son cou, hurlant : « Je n'ai pas dit mon dernier moooooooooot ». Et boum, le garçon s'étala une nouvelle fois sur le sol, ne comprenant absolument pas ce qu'il faisait là. Il recracha quelques poils de tapis qu'il avait avalé au passage, alors que le jeune Slyback lui marchait littéralement dessus. Non non non ! Galadriel tenta de l'attraper et une lutte silencieuse comme particulièrement comique débuta. Finalement, un coup de semelle dans le nez eu raison de Galadriel et Syrius reprit l'avantage. « A la guerre comme à la guerre Gal'! »

Galadriel se releva précipitamment, accélérant. Il tourna au même angle que Syrius et se stoppa net, voyant celui-ci l'arrêter et plaquer un doigt contre sa bouche. Devant eux, quelqu'un sifflotait joyeusement. Galadriel tourna des yeux lumineux vers Syrius, et ils prononcèrent en chœur : « Rossignol égaré ! » Le jeune Weasley baissa les yeux, surprenant le regard d'un vieux chat. En toute réponse, celui-ci miaula bruyamment, capable d'alarmer tout ceux résidant sur ce couloir – ou presque. Instinctivement, Syrius saisit le chaton et le tendit à Galadriel, comme s'il était devenu en une nuit l'homme qui murmurait à l'oreille des chats. Le jeune Gryffondor jeta un coup d'œil à droite et à gauche, cherchant une solution, et finit par prendre le chat et l'enfermer dans l'armoire à glace à quelques pas, avant de reprendre la fuite comme son meilleur ami. Finalement, les deux jeunes hommes parvinrent ex æquo devant le tableau pivotant sur les cuisines du château. Syrius chatouilla la poire qui se dandina gaiement et ils pénétrèrent dans la grande salle. Ils avancèrent de quelques pas, un silence surprenant régnant dans la pièce, silence trahit toutefois que par leurs respirations haletantes. Galadriel retint son souffle, comme s'il espérait découvrir quelque chose d'abominable juste à côté de lui... « Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah! » Une nouvelle fois, Galadriel servit de tapis. Il sentit cependant un sac d'os différent s'étaler contre sa petite personne. « C'est un hold up. » Le gryffondor observa la baguette de Léonie brandit sur un petit groupe d'elfes de maison. Galadriel agita un bras sous Léonie : « Coucou Stinchy, heureux de te revoir ! » Ils tournèrent les talons, accompagné d'un chaleureux : « Que personne ne bouge! » de la part de Syrius. Pour toute réponse, Galadriel explosa de rire, tentant de prononcer entre ses éclats de rire : « Léo... Léo... » Il finit par rouler sur lui-même, dégageant ses côtes du pied de la Serpentard. Il se releva, tirant sur les pans de son sweat-shirt comme pour réarranger son costume d'espion en mission importante. Puis, il clama, levant sa baguette magique afin d'allumer les quelques lanternes situées sur les plans de travail des elfes cuisiniers : « A l'attaquuuuuuue. » Il se dirigea promptement vers les ingrédients pour les desserts et saisit une bonbonne de crème chantilly puis de sirop au chocolat. Ses deux mains armées, il sauta sur sa chaise puis sur Syrius avec l'agilité très subjectif d'un chat, faisant un nouveau soin du visage à son meilleur ami. Alors qu'il sentait le Gryffondor voulait se défendre sous son emprise pâtissière, Galadriel appela à l'aide : « Léoooo Bananaaaaa, viens m'aider, par toutes les crevettes du monde ! »
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M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e _
MessageSujet: Re: M i s s i o n . 0 0 3 : P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e M i s s i o n . 0 0 3  :  P r i s e . d ' o t a g e . e n . c u i s i n e Empty

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