Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Durmstrang pour entamer sa septième année année au collège. Elle est née à Lillehammar en ce beau jour qu'est le vingt-cinq mai en tant que sang mêlé ; à présent elle vit à London. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de saule, mesurant vingt-trois centimètres et contenant une plume d'hyppogriffe. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un ours. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : une montagne de pancakes où elle est seule a en manger. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. sa meilleure amie morte, dans son cas.
→ the best day of my life.
Elle pleure, tout ça parce que l'homme de sa vie n'était pas vraiment fidèle et qu'elle vient de s'en rendre compte. Je ne peux m'empêcher de me mordre les lèvres. Merde, je me dis. Judith va me tuer. J'ai pas fait attention à qui c'était, de toutes façons je fais jamais attention, même quand je suis pas bourrée ni défoncée. C'est lui qu'est venu vers moi, en plus, alors j'ai pas pu l'arrêter. Comme dit tout le temps m mère, de toutes façons, un mec, c'est con. Quelle idée de venir a une fête sans sa petite copine, alors que ya ses potes, a sa copine ! Et quelle idée d'avoir un petit ami, aussi... Sur ce point, je serais jamais d'accord avec Judith ; elle, elle préfère se poser, pour pouvoir se reposer sur quelqu'un, comme elle dit. Ouais... inutile. Elle me suffit, quand je vais pas bien, ce qui arrive rarement, elle est là, ça me va. Parfois elle me dit que je ressemble à ma mère. Possible. Ma mère fume, boit, couche, comme moi, quoi. Sauf qu'elle est vieille, et que je suis jeune. déjà qu'a mon âge, on accepte mal une fille qui couche à droite à gauche, alors, au sien... Elle me fout des torgnoles quand je lui fais remarquer, et me dit que j'ai pas a boire ni à fumer a mon âge, qu'il faudrait que je sois plus comme ma soeur, et qu'est-ce qu'elle a fait au ciel pour voir deux jumelles pas identiques. Ce a quoi je lui répond que "deux jumelles", ça se dit pas, on dit des jumelles un point c'est tout (et bien souvent elle me refout une torgnole, ou du moins essaie parce que je la sens étrangement venir à chaque fois). Mais là n'est pas la question. Certes, ma mère nous élève seules, ma soeur et moi, certes, mon père a été chassé de la maison et certes c'était une victime même si certes nous en avons certainement plus pâti que lui après son départ, mais nous sommes tout de même une famille très désunie, et Freyja n'est pas comme moi du tout. Vous savez, ce truc, là, des jumeaux, quand t'en a un de mieux que l'autre ? Bah chez moi, la mieux, c'est Freyja. Elle est douce, gentille, intelligente, cultivée, et gniii et gnah - demandez à mes profs de vous sortir leur discours sur nos différences, parce qu'ils ont tous appris le même par coeur, sauf que je décroche toujours au bout d'une minute, étrangement -, alors que moi je suis libertine, je m'en-foutiste, dévergondée, stupide, en un mot : dégénérée. Et les rendez-vous des profs avec ma mère n'ont rien arrangé. Je fini par croire qu'il n'y a que moi que mon caractère ne dérange pas. Je suis née en Norvège, au milieu. Quand j'avais sept ans, mon père a fait une tentative de suicide, suite à quoi il a été envoyé en cure de désintox, parce qu'on pensait qu'il avait tenté de se tuer avec des somnifères mais pas du tout, c'est juste que c'était un drogué. A l'époque je comprenais pas pourquoi la vie c'était comme ça, et je me disais que quand on serait grand ça serait mieux. J'avais raison. A part pour ceux qui, comme cette nana, ont un petit ami qu'elles aiment et qui les aime aussi, tellement fort qu'il couche avec une autre, qu'il leur sort "nan mais, c'est pas c'que tu crois", alors que sisi, c'est bien ce qu'elle sait. Voilà. On m'a souvent dit d'aller voir un psy, mais je vois pas pourquoi. J'aime bien ma vie, comme elle est, pour le moment, sauf quand Judith me pète des câbles et essaie de me résonner alors que je suis persuadée qu'elle a conscience que ça sert a rien parce que je l'écoute à peine. La fille pleure. Je fais un pas vers elle, histoire d'aller lui dire que je suis désolée, mais toute ses copines et elle-même me jettent un regard mauvais, signe que je suis pas la bienvenue et que je ferais mieux de dégager rapidement. Dommage. J'avais des beaux mouchoirs kessuitout, un truc sur lequel ma mère bosse en partie.
« Cette fille, je sais même pas comment elle s’appelle vraiment. Y en a qui disent que c’est Azichaipakoi, enfin un nom vachement compliqué pour la merdeuse que c’est, et elle dit s’appeler Pearlyne. Ouais, déjà elle a un problème identitaire, quoi, ça craint. Après, physiquement, elle a l’air con, un truc de fou. Elle sourit presque tout le temps, elle se la pète grave, alors que franchement, quand tu passes pour une pute t’as pas vraiment de quoi te vanter. Apparemment sa sœur jumelle est pas pareille, mais t’inquiète, tu les confonds pas, parce que ça se voit, parce que sa sœur est souvent avec trois autres personnes, que la pute elle est soit avec une autre meuf, Judith, soit en train de se faire sauter au coin d’un couloir, donc t’inquiète, tu les reconnaîtras. Nan mais en plus je vois vraiment pas ce qu’ils lui trouvent, quoi, elle est jolie, ok, mais elle est pas exceptionnellement belle non plus, enfin je sais pas, elle à l’air con, et elle l’est, quoi. Nan mais c’est physique, j’peux pas la sentir. Elle a vraiment aucun respect pour elle même, elle couche avec tout le monde, n’importe qui, hommes, femmes, vieux, gamins. Y en a qui disent que si Durmstrang a fermé, c’est à cause d’elle, parce qu’elle aurait couché avec le dirlo et qu’un prof les aurait découvert, mais ils ont réussi à étouffer l’affaire et tout. Moi j’pense qu’il faut la faire enfermer, c’est tout. Ouais j’aime pas, ouais. Elle a deux ans de plus que moi, et dès que j’suis arrivée à l’école, elle allait déjà aux fêtes clandestines organisées par les plus grands. J’suis sure qu’elle était déjà plus vierge, enfin si elle a été vierge un jour. Et puis elle a couché avec le mec de ma sœur alors qu’ils s’étaient séparés juste depuis une semaine, et après elle l’a jeté comme une merde parce qu’il voulait sortir avec elle, enfin bref, que des conneries comme ça. »
Rumeurs d’une élève de Durmstrang destinées a avertir une élève de Poudlard.
« Tu parles de Pearlyne, là ? Ouais, elle était dans ma classe tout le temps. Un bon coup, mec, tu pourras tester, t’inquiète elle couche avec tout le monde. Nan, bah moi ça va, j’m’entends bien avec elle, enfin, on est pas super potes, mais sa seule grande pote c’est Judith. Nan, elle est cool, ça va. Y en a pleins qui l’aiment pas, mais en général c’est soit des mecs qui voulaient sortir avec alors qu’elle sort jamais avec personne, ou alors des meufs parce qu’elles sont trop jalouses, mais elles oseront jamais lui dire. Nan mais quand tu parle avec elle, tu peux que l’adorer, elle est énorme, cette fille, tu t’emmerdes jamais, avec elle. Ouais, je connais pas sa famille, mais dès que y a eu des emmerdes avec elle, c’est sa mère qu’est venue. Elle a une jumelle, aussi, mais elle est dans son cercle d’amis, elle, donc bon, on en entend beaucoup moins parler. Mais en tout cas, quand sa mère est venue, ça a rien changer. Une fois, elle a été convoquée parce que la mère d’un mec a appris qu’elle avait couché avec son fils, sauf que comme c’est une famille trop croyante, bah ils ont voulu en discuter avec elle. Mais en général c’est parce qu’elle fait des conneries et que tu peux dire tout c’que tu veux sur elle, elle en a rien à foutre. Ouais, sérieux, moi j’aime trop, on se tape des délires ensemble et tout, elle est extravertie, exhubérante, ouverte, tout ça… Mais après c’est vrai que l’fait qu’elle couche avec tout et n’importe quoi ça fait que les gens l’aiment pas trop, mais franchement, si t’as les blues, elle te fait sourire en un rien de temps. »
Paroles d’un élève de Durmstrang à un élève de Salem.
« Pearlyne ? Elle me fait peur. J’ai la chance de la connaître mieux que les autres, et là tu te dis que c’est vraiment une fille bizarre. Elle profite de la vie comme pas permis, et à côté de ça t’as l’impression que son avenir est déjà tout tracé. Pour elle, elle va mourir bientôt, elle veut pas finir comme sa mère et refuser de grandir ou de mourir. Sa famille est spéciale. Ses parents étaient dans une relation libre, malgré les deux gamins qu’ils avaient fait ensemble, et puis un beau jour le père s’est barré. Comme ça. Sa mère s’est rendue compte qu’elle était plus aussi jeune qu’avant, ça lui a fait peur, alors elle a essayé de se rapprocher de ses filles et a pas totalement réussi. Je pense que Pearlyne a beaucoup de haine en elle, mais qu’elle refusera de l’admettre. Comment je le sais ? Si tu lui demande où est son père, elle dira qu’elles l’ont foutu dehors parce qu’il était trop con, alors qu’en vérité il s’est barré quand elles avaient des problèmes d’argent. Moi j’ai peur pour elle. J’ai jamais vu quelqu’un croire si peu en l’amour. Pour elle, l’amour, c’est le sexe, et le désir qu’il peut y avoir entre deux personnes. Les gens restent ensemble si ils sont satisfaits sexuellement l’un de l’autre. Elle le pire, c’est qu’il m’arrive d’y croire. J’essaie de la faire changer, je l’engueule quand elle couche avec des gens déjà casé, même si elle le savait pas forcément. Elle a un certain don pour se foutre dans la merde sans s’en rendre compte et de s’en sortir comme une rose. Je dois être l’une des rares personnes avec qui elle a pas couché, de notre année. Elle a pas vraiment d’amis, a par moi, et elle est pas très proche de sa sœur jumelle, même si elles s’entendent bien. Elle aime sa famille, elle m’aime, mais elle sait pas aimer. Les gens l’admirent. Même ces poufs qui veulent pas l’avouer rêvent d’être comme elle. Si les gens savaient ce que c’est, d’être comme elle, ils auraient pitié. Elle est pommée, perdue. Et elle a pas envie de s’en sortir, parce qu’elle a peur de remonter pour redescendre encore plus bas. Elle viendra jamais voir un psy, par exemple. Elle en a rien à faire, pour elle il y a plus important dans le monde. Mais si un jour vous la voyez, vous vous direz que j’me suis foutu de vous. Mais j’vous l’ai dit, je la connais mieux que quiconque, et quand on la voit on se doute pas que sous son crâne, y’a tout ça. Elle paraît légère, alors que c’est qu’elle est libertine, elle est extravertie, exubérante, mais elle en a jamais marre de faire semblant. »
Judith, meilleure amie de Pearlyne, a son psychologue.
→ oh, oh, it's magic, you know.
MISE EN SITUATION. Aucun nombre de lignes imposé.Pour les élèves de Beaubâtons, Durmstrang et Salem. Premier diner dans la Grande Salle. Vous pénétrez dans cet univers inconnu, majestueux, où tout le monde se connait déjà, où la routine est établie. Que ressent le personnage ? Que fait-il ? Essaie-il de se lier aux autres pendant le diner ? Quelles sont ses premières impressions sur Poudlard, sur les élèves qui y étudient ? Sont-ils accueillants, le château est-il à la hauteur de ses attentes ? Ou le contraire ?
« Judith. » murmurai-je. « Judith Judith Judith Judith Judith. » « Ta gueule », me répondit-elle avec un geste d‘humeur. Sauf que quand Judith me dit ta gueule comme ça, c’est qu’il faut que je parle maintenant, ou me taise a jamais. « me lâche pas. » Un sourire-grimace passe sur ses lèvres. Devant nous, il y a un monde de fou, autour de nous, partout. Je m’accroche à son bras. Jeflippegraveamortdelavieadonfplusquetout. C’est pas commun, chez moi. Mais bon, heureusement que ma mère a du apprendre l’anglais et que je me démerdes pas trop mal, parce que je préfère quand même franchement le norvégien. On s’assoit à une table, où des gens commencent tout de suite à nous parler, ils ont l’air cool, ça va. Je souris, et je répond avec entrain, toute excitée de cette nouvelle école. En face de moi, il y a une fille de notre école qui me regarde bizarrement, elle m’envoie des coups d’oeil mauvais. Je sens qu’elle va pourrir ma réputation rapidement, je la sens vraiment pas, là. Eh bien ça ne loupe pas. En plein milieu du repas, alors qu’on parle de nos impressions sur Poudlard, elle lâche avec dédain « oh, eh bien il y en a qui sont contentes d’être ici, elles vont pouvoir se faire baiser par d’autres gens que des norvégiens, ça doit être excitant. » Elle me regarde fixement, et petit à petit les têtes se tournent vers moi. J’aurais bien fait semblant de ne pas voir entendu, sauf que tout le monde me regarde, à présent. « T’as un problème ? » lui demande Judith avant que je n’aie pu faire quoi que ce soit. « Ouais mais ça te regarde pas », répond l’autre. « si elle peut pas se défendre toute seule, j’comprend mieux pourquoi tout le monde se jette sur elle. » J’hausse les épaules. « Je vois pas pourquoi je devrais me défendre d’une crise de jalousie. » Je répond. « Je pense simplement que tu as des problèmes, que tu m’aimes pas et que du coup ça me retombe dessus. Ce que je fais de ma vie, ça ne regarde que moi, et si ça te plait pas, c’est dommage pour toi. Mais c’est pas grave, vas-y, vide ton sac sur moi, si tu veux, si ça t’aide a te sentir mieux après, ça me dérange pas. » j’ajoute sincèrement. Elle le prend encore plus mal, alors que je lui permettait de m’insulter. Mince, j’ai compris. Cette fille est frustrée sexuellement, je pense. Ça doit faire une bout de temps qu’elle n’a pas eu de relations, et du coup, elle en veut à tout ceux qui en ont, et comme j’ai une réputation de fille facile, elle m’incendie. « C’est pas moi qu’ai un problème, c’est toi. », elle dit. Et alors, elle se lève et s’en va, à une autre table, raconter comment elle m’a cloué le bec. Je regarde Judith, un peu hébétée. « Euh… » fait-elle comme signe de compréhension. Les autres nous regardent un peu, certains commencent à se marrer, d’autres ne savent pas sur quel pied danser. Je sais qu’ils seront fixé sur qui je suis réellement, mais honnêtement, ils l’auraient tous su un jour ou l’autre, alors, je dis : « Vous inquiétez pas, j’ai l’habitude », et je m’attaque à la gelly, parce que j’ai toujours été trop intriguée par ce truc, même si les pancakes d’à côté me font de l’œil.
→ i am not a robot. ton pseudo : mischievous wink ton âge : 15 ans ton avatar : La sublime et l'unique Magdalena Frackowiak ton avis sur sonorus : si je te dis what else ? tu me réponds : CAFÉ
Dernière édition par AJ. Pearlyne Dashwood le Dim 17 Oct - 2:39, édité 13 fois
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Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Mar 12 Oct - 4:02
YEAH une norvégienne Personnellement, je dirais Magdalena, ou peut-être Emma bienvenue et bonne chance pour ta fiche. et moi je vais faire la mieeeeeenne
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Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Mar 12 Oct - 4:47
Bon bah je vais prendre Magda, alors, merci :D Bon courage à toi aussi ^^
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Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Mar 12 Oct - 4:59
oh punaise, je voulais faire le scénar' d'une norvégienne et prendre Magda en avatar T.T bon et bien tant pis, réserve moi un lien ! (et au passage, tes avatars de Magda sont juste magnifiques, merci d'en faire sur bazzart )
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Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Mar 12 Oct - 5:07
Ah merci beaucoup (je les trouve moches, moi XD) Ben si tu veux que j'aie une jumelle, ça me gène pas, après ça dépend de ton scéna ^^
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Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Mar 12 Oct - 5:11
(ah non ils sont super beaux. bon après je suis peut être pas objectives parce que les avatars de magda courent pas les rues, mais les tiens ils gèrent !)
pour le scénar' j'ai pas d'idées très précises, j'attendais d'être validée pour m'y pencher, mais si tu veux c'est le personnage de Freyja qui apparaît tout au long de ma fiche. Je ne sais pas si ça correspondrait au perso d'avoir une jumelle, mais on peut en discuter :) (Magdalena serait tellement parfaite en Freyja )
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: KATE NASH & PAUL EPWORTH, foundations ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: le défoncé chronique.
Sujet: Re: AJ ♦ baby hit me one more time Dim 17 Oct - 3:16
Louise, une copine à Pénélope. mais, zut, c'est pas toi ? j'étais sûre de pas confondre cette fois bref, la fiche est nickel, j'aime le personnage. validée.