cyrine → ROSIER, PHINEAS RHOAN, dit(e) le truand Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année année au collège. Il est né(e) à Sainte Mangouste en ce beau jour qu'est le vingt mars 2043 en tant que né sang pur ; à présent il vit à Worcester en Angleterre. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de noyer, mesurant vingt-six centimètres et contenant un ventricule de dragon. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme de/d'un(e) lynx. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il/elle a eu face au miroir du Risèd : Je me vois médicomage, avec mon père a mes côtés fier de ce que je suis devenu. C'est beau de rêver n'est-ce-pas?. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Je vois ma petite soeur morte, du sang, elle est livide., dans son cas.

La rentrée. On n'avait pas forcément l'impression que j'avais passé des vacances d'été ensoleillées vu le teint blanchâtre que j'avais. Le soleil et moi? On n'était pas spécialement amis, au contraire, je préférais les longues journées de pluie au soleil. Manque de chance pour moi, la rentrée était ensoleillée et comme à chaque fois je préférais m'isoler des autres. Fuyant ma meilleure amie qui allait sans doute me poser un tas de questions sur mes vacances, je pris la direction du parc. Cape de sorcier sur ma petite personne, je marchais le long de l'allée pour aller m'abriter sous un arbre, évitant le moindre contact charnel avec la boule de feu dans le ciel. Je sortis un livre pour me retrouver avec moi-même et cet auteur que j'aimais tant. Quand on constatait ce livre, on pouvait voir u'il avait vécu, mais qu'importe j'aimais lire, ce qui faisait beaucoup rire ma petite sœur qui rentrait en troisième année. Alors que je lisais les premières lignes j'entendais un éclat de rire que je connaissais tant. Je soupirais, merde quoi! Je relevais mes yeux vers la personne et je constatais qu'un de mes camarades chambraient un des nouveaux venus. Salem? Beauxbâtons? Je ne pouvais pas voir d'où il venait d'ici. Mais sérieusement, même dans ce coin reclus du parc je n'avais pas la paix. Je me levais avant de me diriger vers les deux jeunes gens qui me cassaient les oreilles. Rapidement ma main se posa sur l'épaule d'un jeune homme qui avait à peu près la même taille que moi. « Dis... T'as vraiment que ça à faire? » « Oh! Rhoan! Tu as passé de bonnes vacances? Comment vas ton père? » « La ferme! Tu ne peux pas t'empêcher de faire chier les gens dès le début? Va voir ailleurs si j'y suis! » Il soupira avant de me jeter un regard noir et de partir en direction du château. Il faisait toujours le lèche-botte pour bien se faire voir de la famille Rosier. Crétin. J'allais me retourner quand j'entendis un murmure derrière mon dos. Je me retournais vers le petit garçon qui tremblait encore de tout ses membres. Pathétique. « T'as dit quoi? » « Merci. » « Ouai c'est bien ce que j'avais entendu. Ne me dis jamais merci si je tu ne veux pas que je te transforme en crapaud baveux et que je te jette dans le lac parmi les monstres! » Il me regardait encore plus craintif qu'au départ et ma voix pris un ton cassant. « T'as compris espèce de gnome?! » Je retourna près de mon arbre, bande de crétins! Tous des crétins! Tous à faire chier!

→ i am not a robot. ton pseudo : microwave ton âge : 19 ans ton avatar : Jackson Rathbone ton avis sur sonorus : Ca fait plusieurs temps que je navigue dessus à la recherche d'un personnage . Enfin trouvé =D Puis en plus c'est le forum d'Applestorm niaaark x) tu te rappelles de moi? American Idiot powaha si je te dis what else ? tu me réponds : I want an expresso please!

Quand mon père a su que j'étais un garçon, il a été pris d'une grande joie. Je ne pourrais même pas vous la qualifier, tout ce que j'ai su par la suite c'est qu'il l'a dit à tout le monde qu'il avait un héritier et que je serais sa plus grande fierté. Mouai. Depuis tout petit il a essayé de m'enseigner des bases digne d'un Rosier mais moi j'étais plus occupé à faire toutes les bêtises possibles et imaginables résultat il n'était pas rare que je le vois se mettre dans une colère monstrueuse avant que celle-ci ne retombe et qu'il me dise: ce n'est pas grave. Je pense qu'en faite, il ne voulait pas que je le déteste, car sinon, qui hériterait de son empire? Ma mère c'était une jeune femme très séduisante, de long cheveux blonds et un regard noir perçant qui pouvait vous faire frissonner. J'ai été quatre ans tout seul avant qu'une petite sœur pointe le bout de son nez. Très vite je me suis attachée à cette petite tête d'ange – qui était loin de l'être. Un peu trop au goût de mon père, qui quand j'avais sept ans me pris à part un soir. « Rhoan, tu ne dois pas trop traîner avec la gente féminine tu sais. » « Pourquoi? » « Tu es un homme! Un Rosier en tout honneur et tu dois apprendre quelques bases pour que tu sois redoutable. » « Moi je n'ai pas envie. » « Je ne te demande pas ton avis. » J'avais vu comme des flammes dans ses yeux et je me détacha rapidement de son étreinte avant de me réfugier dans ma chambre. Je ne voulais pas devenir un méchant, je ne voulais pas faire frémir les gens. Un soir, en descendant les escaliers j'entendais mon grand-père élevé la voix. « Il ne faut pas être laxiste avec lui! Il faut que tu montres qui commande! Si ce n'est pas toi qui lui dira comment se comporter je m'en chargerais! » Je déglutis en entendant ses paroles et rapidement il croisa mon regard. Je ne sais pas comment il faisait, mais à chaque fois, il savait que j'étais dans les parages. « Descends! » Je reculais avant de courir vers ma chambre mais rapidement je me retrouvais face à mon grand-père. Il venait de transplaner et j'en étais resté stupéfait. Rapidement il me prit par le bras et je sentis ses doigts s'enfoncer dans ma chair tellement qu'il serrait fort. Mes larmes perlaient au coin de mes yeux et je le sentis me secouer. « On ne pleure pas quand on est un Rosier! » « Mais... » A peine avais-je commencer à parler que je sentis une gifle s'abattre sur ma joue. « Tu ne parles que quand je te le dirais! »


1er Septembre 2054. Ma première rentrée à Poudlard. Mon grand-père m'avait dit que si je n'allais pas à Serpentard je serais une honte pour ma famille. Il ne me mettait pas du tout la pression celui là... Pendant tout le trajet dans le train je suis resté dans mon coin, je m'étais renfermé sur moi-même à cause de mon éducation et je ne voulais parler à personne. J'avais encore des marques sur la peau, surtout dans le dos et sur les bras. A chaque fois que je refusais de faire quelque chose mon grand-père m'insignait des coups et mon père disait que c'était pour mon bien. Le soulagement de mon côté était de me dire que grâce à Poudlard je ne rentrerais que pour les vacances. Quand on me mit le chapeau sur la tête, j'ai prié très fort et le nom Serpentard est sorti. Je me suis senti soulagé d'un énorme poids et j'ai rejoins la table des verts et des argentés. Pendant toute ma première année scolaire je me suis sentie bien, étudiant correctement et m'étant fait une amie, ma meilleure amie, Cissy. Sublime demoiselle qui n'avait pas sa langue dans sa poche et qui malgré son sale caractère, je l'appréciais. C'est grâce à elle que je me suis forgée un caractère et que dès que je suis rentrée pour les vacances de Noël j'ai tenu tête à mon grand-père, je m'en souviens encore. « Rhoan! Ne mets pas tes coudes sur la table et tiens toi correctement! » « La ferme. » Ma mère avait lâché ses couverts et le plat s'était fracassé par terre, mon père avait fait des yeux ronds et ma petite sœur me regardait en silence. Elle avait beaucoup grandi depuis que j'étais parti. « Qu'est ce que tu viens de dire? » Je croisais le regard de mon aileul et je le soutenais. « J'ai dit de la fermer. J'suis pas votre chien. » « Il ne s'est plus ce qu'il dit... On lui a lancé un mauvais sort. » Fit ma mère comme pour rattraper le coup. Je me levais pour prendre la direction des escaliers et mon grand-père transplana devant moi. « Excuse-toi. » « Je m'excuse qu'aux gens qui en valent la peine. » Je ne sais plus trop ce qui s'est passé par la suite, je me souviens juste que je me suis reveillé sur le sol de ma chambre, le nez en sang et quelques contusions. Celle-là, je ne l'avais pas volé.

« Tu crois qu'elle va nous rejoindre? » Je regardais ma meilleure amie. On était en quatrième année et ma petite sœur faisait sa rentrée à Poudlard. Je la voyais au loin les yeux qui pétillaient de malice. Elle ressemblait énormément à notre mère. Je souris légèrement en prenant un verre de jus de citrouille. « Sans doute. C'est une Rosier n'oublie pas. » Cissy sourit alors qu'on attendait le tour de Mylena. A son tour je la regardais confiante et qu'elle ne fut pas ma surprise quand j'entendis: Serdaigle. Rapidement je sentis une boule se faire dans ma gorge. Qu'est ce que l'on dirait aux parents? Je vis le visage déconfit de ma petite sœur et elle s'installa à la table des aigles. Je regardais Cissy, regard noir pour qu'elle ne dise rien. A la fin du buffet, je me leva pour rejoindre ma petite sœur qui commençait à sortir de la grande salle. Elle me regarda avec ses yeux foncés: « Il va me tuer. » « Non ne t'inquiète pas. » Je ne le laisserais pas faire. S'il voulait se défouler, qu'il se défoule sur moi mais pas sur elle. Evidemment, trois jours après elle a reçu une beuglante comme quoi elle était une honte pour la famille Rosier et que mon grand-père ne lui adresserait plus jamais la parole. Je vois encore ses larmes, je vois encore la profonde douleur qu'elle endurait. J'ai passé toute l'après-midi dans le parc en sa compagnie en la serrant dans mes bras. Qui a dit que les Serpentard n'avaient pas de cœur? Pour ma petite sœur je décrocherais la lune.


Dernière année. Je n'arrive pas à y croire. Je suis assis tranquillement dans la bibliothèque à lire un nouveau livre. Médecine cette fois ci. J'aime bien toucher à tout et agrandir ma culture. Je suis plongée ma lecture et voilà que Cissy regarde autour avant de se mettre à me parler. Un vrai moulin à paroles, je me demande pourquoi elle m'a suivit si c'est pour me parler des derniers potins, qui ne m'intéresse pas. « Tu as remarqué que mademoiselle sainte-nitouche te reluque? » Je soupire. Je jette un coup d'œil au dessus de mon livre pour regarder le regard froid de ma meilleure amie avant d'hausser les épaules. « Tu ne peux pas me laisser lire tranquillement? » « A quoi ca sert que tu lises autant? » « A ne pas entendre tes conneries. » Fis-je tout simplement avant qu'elle me lance un regard noir. Je ne peux pas m'empêcher de sourire. A peine ais-je le temps de lire une nouvelle ligne que j'entends de nouveau sa voix. « Pourquoi es-tu si impassible? Elle est si... niaise et naïve. » Ce n'était pas aujourd'hui que je lirais tranquillement. D'un coup, je ferma le livre qui tomba sur la table en bois avant de rejoindre mes mains entre elles et de la regarder. « Cela suffit. Tu es jalouse? » Elle rit légèrement. « Tu es tombé sur la tête mon pauvre Rosier. » Je me levais en prenant le livre que je glissa dans mon sac pour continuer la lecture plus tard. En marchant vers la sortie, je posa rapidement mon regard sur Pandora puis je continuais mon chemin, évidemment cela n'ai pas passé inaperçu au regard de Cissy. « Elle te tape dans l'oeil? » « Cissy? » « Oui? » « La ferme. »