Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Beauxbâtons pour entamer sa cinquième année au collège. Elle est née à Paris en ce beau jour qu'est le premier décembre 2044 en tant que née moldue ; à présent elle vit à Paris. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de bruyère, mesurant vingt et un virgule deux et contenant une plume de phénix. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une souris. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : elle et sa soeur réunies à nouveau. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. un clown, avec un gros nez rouge et d'énormes yeux, dans son cas.
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→ i am not a robot. ton pseudo : bibou ton âge : dix sept années ton avatar : la fameuse zooey deschanel avec ses yeux plus que merveilleux (a) ton avis sur sonorus : si je te dis what else ? tu me réponds : hmm... JE SURKIFF ! & c'est moi la p'tite moldue d'hier soir (a)
Dernière édition par C. Roxane Dumont le Lun 15 Nov - 9:38, édité 19 fois
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Dim 14 Nov - 3:58
→ the best day of my life.
« Le temps passé n'est plus, L'autre encore n'est pas, Et le présent languit entre vie et trépas ; Bref, la mort et la vie en tout temps est semblable. » -- Jean-Baptiste Chassignet
Paris. J’adore cette ville française ; ses lumières la nuit, les vitrines des grands magasins qui encadrent les Champs Elysées... J’ai tellement grandi dedans. J’ai tellement vécu des choses qu’il m’est carrément impossible d’imaginer une autre vie que j’aurais pu avoir autre part. Tellement de souvenirs qui sont enfouis en moi, quand j’évoque la ville de Paris ; comme par exemple, mes premiers pas, ma première bêtise, mon premier amour,… le décès de ma sœur ainée… Paris ; la capitale de la France, une grande ville. Ma ville tout simplement. Ma ville d’enfance. La ville dans laquelle, j’suis devenue celle que j’suis à présent. Ca sera avec regret que je la quitterais pour Beauxbâtons puis Poudlard, lorsque je serais adepte à y rentrer. Mais ca sera ainsi. Je n’aurais pas le choix, même si j’aurais tout donné pour renoncer à ce destin. On ne choisit malheureusement pas sa vie, ni son destin. Ca vous tombe comme ça, du jour au lendemain.
« Hé, Roxy ! ». Ma sœur de quatre ans mon ainé. Elle est presque comme moi. On se ressemble tellement, que des fois, on pouvait même nous prendre pour des jumelles. Les mêmes yeux. Le même regard. La même fossette lorsque vous souriez. Les mêmes habitudes. Ma sœur, c’est comme ma moitée. J’avais (et j’ai toujours) besoin d’elle pour vivre, pour apprendre, pour rire. Elle était toujours là, à mes cotés, à chacune de mes erreurs, à chacun de mes exploits. Je l’aimais tellement – et je l’aime toujours autant. Elle fait tout simplement partie de moi. « Quoi ? » ; Brynn venait de me sortir de mes songes. Contrairement à elle, je suis un peu plus rêveuse qu’elle. J’aime aller ailleurs, pendant un petit moment. Me retirer du monde. Ainsi, j’ai du redescendre sur Terre bien plus tôt que je n’avais prévu, d’où ma réponse brève. « Viens, on va jouer ensembles pendant que Mamie nous prépare à manger. » J’avais environ six ans, elle une dizaine d’années. On venait de perdre nos parents – morts dans un accident de voiture, deux ans plus tôt. Vu que nous sommes devenues orphelines, Brynn et moi avons du déménager chez notre grand mère maternelle, elle aussi vivant à Paris. Mamie, je l’ai toujours aimé même si des fois, je pouvais lui sortir d’affreuses insultes sous l’effet de la colère. Puis, Brynn a toujours essayé de combler le trou qu’avaient laissé nos parents à l’intérieur de moi, suite à leur mort. C’est dur d’accepter cette vérité là lorsque vous êtes qu’une petite fillette, candide et jolie. Ainsi, j’ai grandi de cette manière. Avec Mamie et Brynn, et notre chat gris qui s'appelait Mistigri.
« La mort. L'horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma. Il n'y a pas d'explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d'une phrase : "Non, c'est fini" et claque la porte... » -- Anthony Burgess
Je ne pourrais jamais oublier la nuit où ma sœur est morte. C’est un souvenir marqué, de façon indélébile, à l’intérieur de moi. Chaque nuit, je ferais sans cesse ce cauchemar ; soit je revois la totalité de la scène. Cette nuit noire. Les flocons de neige. Cette route glacée. La silhouette d’un homme, d’un grand homme. Ce mouvement de baguette magique pointée vers ma sœur. Je verrais toujours cette scène d’une netteté incroyable, comme si ma sœur était morte hier. Alors que non, elle est décédée lorsqu’elle avait une quinzaine d’années – moi j’en avais quatre de moins. « Rox’, c’est l’heure de rentrer. ». Pour la inième fois, ma sœur essayait de me sortir de la balançoire du parc. Hélas, têtue comme j’étais, c’était une action assez difficile et carrément impossible. Moi, du haut de mes onze ans, j’adorais passer du temps sur la balançoire du parc qui se trouvait à quelques rues après celle où Mamie vivait. Ma sœur m’y emmenait presque tous les après midi, surtout pendant les vacances scolaires lorsqu’elle revenait de Beauxbâtons – j’avais appris quelques années auparavant, que ma sœur était en réalité une sorcière, une révélation que j’ai eu du mal à accepter car Brynn possédait une chose que je n’avais pas. « Cerys Roxane Dumont, s’il te plait tu viens et on rentre chez Mamie. » Je ne bronchais toujours pas. Je continuais toujours à m’envoler vers le ciel qui s’assombrissait de plus en plus, annonçant la nuit. Peut être, qu’à ce moment là, j’aurais du écouter ma sœur ainée et la rejoindre afin de rentrer. Ainsi, ma sœur ne serait pas morte à l’heure où je vous parle. Si Brynn n’est plus de ce monde, c’est à cause de moi tout simplement. Enfin, c’est ma conclusion. Beaucoup ne la partagent pas. D’autres, c’est l’inverse. Ma grand-mère pense que c’est de ma faute si Brynn est partie rejoindre mes parents. C’est pour ça qu’elle ne souhaite plus me voir. C'est pour ça aussi, que pendant les vacances scolaires, je restais à Beauxbâtons et à présent, je serais obligée de rester à Poudlard. Je n’ai plus réellement de foyers ; on m’a tout simplement jeté à la rue.
Nous quittions finalement le parc, déjà vide depuis longtemps, après que ma sœur m’extirpa de force à ma balançoire. Gamine, comme j’étais, j'avais piqué une crise enfantine. De chaudes larmes ne cessaient, alors, de dévaler sur mes joues, broyant ma vue. J’essayais juste d’avoir le même rythme de marche que celui de ma sœur, celle ci se dépêchant de rentrer avant que la nuit soit trop noire. Les rues étaient désertes, peu de personnes sortaient s’expliquant par le froid glacial qui venait de s'installer. Puis, dans la dernière rue avant celle de Mamie, survint un homme. Un grand homme. Je ne me souviens que de sa silhouette, étant donné que mes larmes m’empêchaient de voir autre chose. L’homme fit un semblant de geste, pointant quelque chose vers ma sœur et moi, criant un langage incompréhensible pour moi à cet âge là : « AVADAA KEDAVRA… ». Ma sœur me poussa alors contre un mur, empêchant la mort de me prendre avec elle… Puis, ce fut un trou noir. Le trépas. J’aurais du mourir, moi aussi mais contrairement à ma soeur, je n'étais qu'évanouie.
Ces deux mots raisonneront toujours dans ma tête, d’une manière insupportable. Un des sortilèges impardonnables. Deux mots que je ne pourrais jamais prononcer, que je ne pourrais jamais en parler.
Je n'ai jamais revu cet homme. J'ignore encore la raison pour laquelle ma soeur, Brynn est morte en cette nuit de décembre à l'âge de quinze ans. Ce que j'ai appris, c'est tout simplement que je ne suis pas la coupable de la mort de Brynn. Ca devait se passer comme ça, un point c'est tout.
« Chaque début d'écriture est un retour à la case départ. Et la case départ, c'est un endroit où l'on se sent très seul. Un endroit où aucun de vos accomplissements passés ne compte... » -- Quentin Tarantino
COLLEGE BEAUXBATONS, ECOLE DE SORCELLERIE ; […]
Chère Mlle Dumont,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores et déjà d’une inscription au collège Beauxbâtons. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Mlle Dumont, en l’expression de nos sentiments distingués.
Signée la directrice de Beauxbâtons. Je venais de recevoir la même lettre que celle qu'avait eu autrefois ma soeur. Comme Brynn, le même jour, le même mois et au même âge, je venais d'apprendre que j'étais une sorcière et que j'allais pouvoir faire ma rentrée à Beauxbâtons, collège qui ne cessait de recevoir un certain éloge de la part de mon ainée. Tout compte fait, je possédais la même chose que ma soeur : soit des gênes de sorcière. Finalement, j'étais réellement comme ma soeur. « Mamiiiiie, je suis comme Brynn ! Je suis une sorcière ! Je viens de recevoir ma lettre d’admission ! ». Heureuse, je déboulais dans la cuisine afin de montrer cette fameuse lettre à ma grand mère, auteur de ma joie. Mais, celle ci me jeta uniquement un regard rempli de haine et d'amertume : Brynn aurait du rentrer en sixième année à Beauxbâtons. Parrallèlement à cette sensation de froideur de la part de ma grand mère - prenant de ce fait, réellement conscience qu'entre ma grand mère et moi ça n'allait être plus pareil - je ressentis soudainement une peur. Peur de cette rentrée. J'allais avoir besoin de ma soeur, en ce moment précis de mon histoire. Malheureusement, j'étais seule. Bien seule.
Dernière édition par C. Roxane Dumont le Jeu 18 Nov - 5:51, édité 24 fois
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Dim 14 Nov - 3:58
→ oh, oh, it's magic, you know.
Dans quelques minutes, je devrais faire mon rentrée dans cette grande salle pour faire mon premier diner. J’angoisse un peu. Enfin beaucoup même. Je ne connais pas du tout le collège de Poudlard, et ca ne fait que quelques heures que je suis dedans. Ce matin, je me suis même perdue à plusieurs reprises dans tous ces couloirs. Quelle horreur ! Je n’aime pas angoisser, ni stresser. Puis, pourquoi ça ne se passerait pas bien ? J’imagine toute sorte de choses. Je me fais tous les films qu’on pourrait s’imaginer en quelques minutes à peine. A ce qu’il paraît, les élèves nés moldus sont mal vus… Ils les appellent « Sang de bourbe ». A Beauxbâtons, ce n’était jamais le cas. Pensant à ce style d’insultes, je frisonne. Et m*rde, je ne supporte pas cette tenue : une sorte d’uniforme avec les insignes du collège de Poudlard. Je me sens à l’étroit dans cette jupe, même si elle me va particulièrement bien. Ca doit être à cause de l’appréhension. Brynn, fais que tout se passe bien… Aides moi, je t’en supplie. « Roxane, tu viens ? » . Assise sur le lit que j’allais à présent occupée pendant toute l’année, je relève mes yeux pour regarder ma copine. Aurore, elle aussi française provenant de Beauxbâtons. Je lui souris, mal à l’aise. Consciente de mon appréhension, Aurore me renvoie le même sourire et je me lève pour la rejoindre afin qu’on descende ensembles. Nous descendons alors, les escaliers qui devraient nous emmener à la Grande Salle. Odieux escaliers à faire qu’à leur tête… Les escaliers me semblent un véritable infini, ne trouvant aucune fin tant que j’avais peur de cette nouvelle approche. Je demeure encore silencieuse me faisant d’atroces longs métrages, allant du plus heureux jusqu’au plus tragique. « Roxane ? Allo ? ». Toujours Aurore qui venait de me parler et qui avait remarqué que j’étais ailleurs. A l’avenir, je devrais faire plus attention à cette évasion répétitive – peut être trop répétitive en passant. « Oui ?! ». Elle soupire sans pour autant cesser de sourire. « J’ai faim donc on rentre. » Je lui adresse un sourire amusé et j’emboite le pas. La traversée de la Grande Salle me semble un supplice. Tous ces regards. Jeunes hommes et jeunes filles de Poudlard ou de Dumstrang. J’ose à peine les regarder. J’ose à peine les dévisager. Pitié que j’atteigne très vite la table des Beauxbâtons pour ne plus sentir ces regards déstabilisants. Finalement, après un long moment – qui s'était révélé être en fin de compte quelques minutes – j’arrive à ma table. Je m’assois précipitamment. A ce moment là, les regards cessent. J’me sens plus légère. Ainsi, mes yeux se mirent à contempler la table. Celle ci demeure bien garnie. Même trop… On avait le choix, allant du poulet au pudding. La boisson, c’était du jus de citrouille. Quelle originalité ! En France, on n’avait pas tout ceci. Bien que Beauxbâtons me semble être un excellent collège, Poudlard doit l’être aussi. Je ne sais pas. Je ne me fais encore aucune opinion. Je préfère. Enfin, je décide de relever mon regard dans le but d’observer le monde que j’allais connaître : brouhahaha, rires et bavardages. Chaque élève semblait connaître son voisin. Chaque élève paraissait avoir l’habitude, sauf Drumstang ou encore les premiers annés de Poudlard. Cependant, personne ne mange encore. Qu’attendons-nous justement ? Je regarde Aurore. Celle ci était en train de parler avec d’autres élèves de Beauxbâtons. Elle me semble à l’aise. Ce qui n’est pas mon cas. « Excuses moi mais j’aimerais avoir ton prénom… » Je sursaute, perdue dans mes pensées. Qui venait de me parler ? Je cherche du regard l’auteur de mon sursaut, je croise un regard masculin carrément inconnu à ma mémoire. J’affiche de gros yeux et lui réponds « Par… pardon ? Mon prénom ? Hmm… » Bégayant comme une chèvre, surprise par cette approche, j’suis incapable de prononcer un mot, à la suite de l’autre, avec une suite logique. Remarquant ma surprise et mon incapacité à agir, Aurore prend la parole « Elle s’apelle Roxane. » Le jeune homme, ravi, affiche un sourire. « Si tu veux, Roxane, demain matin, je te ferais visité le château. Je m’appelle Cédric et je suis un élève de Poudlard. Je t’ai remarqué ce matin. Tu t’es perdue plusieurs fois n’est ce pas ? » . Est ce que tous les élèves de Poudlard agissaient ainsi ? Souriant en coin, je hoche la tête en prononçant un unique mot : « Oui. ». « Alors à demain, dans la cour. » me fait Cédric en me faisant un clin d’oeil, avant de reprendre la place qu’il avait délaissé pour aller me rejoindre.
Dernière édition par C. Roxane Dumont le Mer 17 Nov - 4:40, édité 3 fois
Galadriel E. Weasley
⊰ PARCHEMINS : 290 ⊰ INSCRIPTION : 09/10/2010 ⊰ CRÉDITS : cristalline ⊰ ÂGE RPG : seize ans ⊰ PSEUDO : * ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 9644
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Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Dim 14 Nov - 4:12
FIRST
Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche, ma chère proie *out*
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Dim 14 Nov - 5:50
lilween ; mercii ! et oui une nouvelle Beauxbatônienne & puis KS
tristan ; et g*d j'avais zappé qu'il y avait une musique avec mon prénom x_x & ouiii c'était moi la p'tite moldue d'hier soir, qui voulait absolument v'nir sur le forum ! mercii pour ta bienvenue pour finir.
cohnaan ; thank you joli jeune homme *out*
Invité
Invité
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Dim 14 Nov - 5:53
OH, ZOOOEY bienvenue et bonne chance pour ta fiche :DD
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Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Lun 15 Nov - 9:18
BIENVENUE ROOOOOXAAAAAAANE, YOU DON'T HAVE TO PUT ON THE RED LIGHT
Georgie Finnigan a écrit:
/!\ → Une petite précision souvent oubliée à prendre en compte lors de la rédaction de sa fiche : lorsqu'un élève est né après le 1er septembre, il reçoit sa lettre l'année suivante. Il faut impérativement avoir onze ans à la rentrée pour pouvoir entrer à Poudlard.
Je laisse ta fiche ouverte juste pour que tu changes, mais je te valide quand même, parce que ce serait trop sadique de te faire attendre pour ce petit détail et tantine Geo n'est pas du touuuut sadique
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Lun 15 Nov - 9:28
Georgie Finnigan a écrit:
Je laisse ta fiche ouverte juste pour que tu changes, mais je te valide quand même, parce que ce serait trop sadique de te faire attendre pour ce petit détail et tantine Geo n'est pas du touuuut sadique
Il se fait tard peut être mais j'comprends pas. J'ai tout fais pour faire en sorte que mademoiselle ait 11 ans. C'est quoi le souci au juste ? XD
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Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Lun 15 Nov - 9:35
Et bien, soit elle est née en décembre 44, mais elle est en cinquième année, car le 1e septembre 55 elle n'avait que 10 ans et demi je te l'accorde xD, soit elle est née en décembre 43, et elle est en sixième, car elle avait 11 ans et demi lors de son entrée à Poudlard, en septembre 56. Je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
Sujet: Re: DUMONT, Roxane - « le destin n'est pas une chaîne mais un envol. » Lun 15 Nov - 9:38
Non, pas totalement. Les maths et moi, ca fait 1000 xD. Non mais ouai, j'ai pigé t'inquiètes. Je te modifie ça. Elle sera née en 44 et donc sera en cinquième année.