Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa sixième année au collège. Elle est née à Londres en ce beau jour qu'est le vingt-deux juillet deux mille quarante-quatre en tant que née moldue ; à présent elle vit dans le centre ville de la capitale britannique. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être proche de l'excellence. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois d'ébène, mesurant trente et un centimètres et contenant une plume de phoenix. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un(e) hulotte. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'elle a eu face au miroir du Risèd : à savoir elle même au coté de sa défunte figure maternelle. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. La vision d'un trou béant et sans fond sans la présence de son père adoptif à ses cotés., dans son cas.
→ oh, oh, it's magic, you know. Assise sur la pelouse verdoyante du parc du domaine magique, la jeune sorcière tourna encore une énième page de son manuscrit, un certain ouvrage appartenant à la matière de l’étude des runes. Elle appréciait grandement cette étude, et ne cessait de repasser en boucle les divers écrits. La poésie, la littérature, les ouvrages de magie, toute cette connaissance couchée sur papier faisait partie des nombreuses passions de la Ainsworth bien avant son don musical. Ses prunelles parcouraient le haut de la page lorsque des cris narquois fusèrent de toute part à l’autre bout de l’endroit où elle se trouvait. Un septième année. Un vert et argent suivit par de nombreux sous-fifres. Une vision que l’on pouvait apercevoir de plus en plus au fil des années et qui ne cessait de perdurer au fur et à mesure du temps. Le serpent prônant une chevelure d’un brun cuivré soupira légèrement l’air agacé. « Je t’ai demandé de sortir ce que tu avais dans ton sac le mioche ! ». Le concerné gisait à terre, le regard quelques peu apeuré par la prestance que ce donnait le traitre et ses comparses. Cette situation était pathétique pour ses sorciers bientôt tous majeurs pour la plupart. Pour autant, la première année appartenait à l’un des nouveaux venus et à première vue la gosse devait sans aucun doute appartenir à l’école de Salem. Cette dernière était perçu comme des ennemis, des étrangers, des exclus sous prétexte qu’ils ne provenaient guère de même endroit que les autres. Pour autant, Alice préférait se dire qu’ils n’avaient rien demandé à personne et que la mauvaise graine se trouvait n’importe où et ce peu importe les lieux, et les temps. La preuve vivante, la mauvaise herbe estompait son humeur massacrante et blessante aux yeux de tous. Un effet mode, un effet de pouvoir qui devait les amuser plus que toutes autres choses. Pour autant, la patience dont elle était dotée pris le dessus sur elle-même, puis elle reporta son attention sur son bouquin. Une fraction de seconde plus tard, pas un seul de ses condisciples de Poudlard n’osa lever le petit doigt. Et puis très véridiquement parlant, ils commençaient sérieusement à l’agacer avec ses cris tonitruants et dépourvus d’un sens quelconque. Fermant son ouvrage rapidement, elle se leva et marcha d’un pas déterminé vers le rassemblement des sournois, que la née moldue appelait très fréquemment les imbéciles pour rester courtoise. « Alors tu es sourde où bien … ». « Oui bien je te conseille d’aller voir ailleurs. ». La voix impassiblement froide de la blonde coupa la réplique de son interlocuteur d’une manière assez abrupte. « Ne te mêle pas de mes affaires Ainsworth. ». « Réplique toute préparée je te félicite, tu en as d’autres en réserve ? ». Face au calme patient de la demoiselle, le brun aux reflets de cuivre jura entre ses dents n’ayant guère à répliquer. Puis comme à l’accoutumée ils menacèrent les deux sorcières avant de tourner les talons, les regards soutenus de colère et de rancœurs. Alice secoua péjorativement le visage avant de s’abaisser doucement la jeune adolescente quelques peu effrayée. « Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas tous comme cela. Et puis tu sais, ignore les gens trop idiot cela peut toujours les instruire. ».
Spoiler:
→ i am not a robot. ton pseudo : blue bird. ton âge : l'age idiot. ton avatar : candice accola ton avis sur sonorus : superbe (l) si je te dis what else ? tu me réponds : Expresso ? Clooney ? Up in the air ?
Dernière édition par G. Alice Ainsworth le Dim 6 Fév - 7:57, édité 5 fois
Sujet: Re: ☆ for every step in any walk i'll be your guide. Sam 29 Jan - 9:42
CHAPTER ONE ✎ for every step in any walk i'll be your guide.
❝ Je regarde le monde sous un jour nouveau, un jour qui ne viendra probablement jamais mais en lequel je continue de nourrir l’espoir, celui de la connaissance partagée, de l’harmonie salutaire, du bonheur acquis mais imprécis. J’aimerais vous dire combien la vie est rose, et combien l’existence humaine reste paisible pour chacun d’entre nous, mais cela ne serait que vous leurrez et me fourvoyez moi-même, sur un chemin que je peux voir. J’aspire à devenir un être sauvage sous réserve de cauchemars. On désire tant de choses pour ne rien apprécier en retour. Je me voile la pensée, et je n’oubli guère le vestige de cette figure maternelle qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Certains sont sur que la vie leur apporterons beaucoup de choses, et pour d’autres et bien rien ne vient. On m’a enlevée une attache précieuse, un pilier que tout enfant voit comme divin. Je n’ai pas l’esprit à perdre la raison puisqu’elle à toujours pris le dessus sur le moindre de mes faits et gestes. C’est un « moi » intérieur que je ne domine que par période et à coup. On ne joue pas avec les dès de l’existence et encore moins avec elle-même. Croire pour apprendre ? Pourquoi pas. Pour ma part j’essaie d’apprendre pour croire mais dans la logique une seule chose importe c’est la délivrance. Petit nous sommes condamnés à souffrir mais la souffrance s’arrête avec la mort, puisque c’est une délivrance devenue liberté. Vous pensez que je lis beaucoup trop, certes je vous en accorde le bénéfice du doute, mais que voulez vous on ne refait pas le monde entier qu’avec des « si », mais avec des écrits peut être ? Pourtant c’est grâce à des croyances que je poursuis dans le chemin de l’espérance, et que les octaves de mon esprit se tournent doucement vers la joie intérieure de sourire. J'aurais aimée vouloir connaitre ce passé si ombrageux à ma mère, mais il n'a de cesse de me dévoiler la mégarde. Une luminescence a cependant enjolivée mes vestiges d'enfants perdue et silencieuse. Un nom propre parmi tant d'autres, une appellation digne d'un roman littéraire mais avant tout lui le modèle de sagesse et de joie. Sans Tristan rien ne serait pareil, sans lui je perd de ma connaissance et lui perd de sa force. ❞
CHAPTER TWO ✎ i wake up, it's a bad dream no one on my side. i was fighting but i just feel too tired to be fighting. you are my guardian angel.
flash back
Pas un bruit au sein de la pièce. Pas un son en provenance de sa chambre plongée dans un silence et un noir convainquant. Assez convainquant pour la rendre hostile à cet environnement sensé être favorable aux rêves et au saison du sommeil si réparateur à l’humain. Pelotonnée sous sa couverture en laine d’un bleu soutenu, la jeune enfant ne cessait de respirer de façon plus saccadée comme angoissée par la teneur des nuages remplient de noirceur que dessinait le ciel et qui cachait la lune aux rayons de miel. « Ne prend pas peur ma chérie, la pluie s’accompagne toujours d’éclairs pour chasser les mauvais rêves. ». Les paroles de sa défunte mère résonnaient encore dans sa mémoire, et perpétuaient encore la souffrance naissante de son quotidien. Dès lors, une fine larme salée perla sur sa joue blanche. La première depuis que sa mère l’avait quittée, elle l’ange que l’on croyait dépourvu de toutes notions de sentiments. Assertion stupide. Tout être vivant en possédait, il ne fallait guère être observateur pour le deviner juste sincère et véridique. Le tonnerre retentit une première fois lorsqu’elle alluma la lumière, tout en prenant au creux de sa main droite un vieux conte pour enfants moldu. Le pays des merveilles. Avait il réellement existait un jour ? Avait il surtout un quelconque intérêt ? Péjorativement dans un geste doux et sérieux, la fillette secoua son visage de poupée puis en parcourut les premières pages alors que de fines gouttes de pluie s’agrippaient aux carreaux lisses de sa chambre. La petite lumière qui éclairait les pages de l’ouvrage semblait faiblir sous la puissance de l’orage qui rageait au dehors tel un tigre en colère. Et ce fut dans un énième coup de tonnerre que la lampe se brise sous le mouvement brusque de la gamine moldue. Alice laissa tomber son livre emplit d’imagination stupide, les morceaux de l’ampoule gisant au pied du lit en chêne. Son cri étouffé entre ses deux mains, elle resta immobile quelques secondes, son impassibilité peint sur ses traits. On ne pouvait lire en elle, mais sa peur masquer par sa responsabilité. Les mauvais rêves, elle ne cessait d’en faire en solitaire une fois la nuit tombée et cela personne ne pouvait le comprendre, pas même elle sauf peut être celui qui avait améliorée son existence. Une hypothèse à laquelle elle n’avait encore aucune réponse. Ses petits pieds nus épousaient parfaitement le planché de l’appartement du génie des potions, et pourtant ses pas feutrés semblaient avoir informés l’adulte de sa présence. Toquant à la porte de la chambre du Ainsworth, Alice l’entendit murmurer des paroles douces et rassurantes. « Alice ? Tout va bien ? ». Aucune méchanceté ne transpercer son regard azuréen, si ce n’était de la protection. Elle hocha posément son visage ne laissant guère transparaitre cette image de peur de dormir seule par un temps d’orage qui l’empêchait de sombrer parmi ses cauchemars. « La lumière s’est brisée. Mon livre sur le sol. L’orage … ». « L’orage t’empêche de trouver le sommeil ? ». Dans un geste instinctif, la douce enfant baissant son regard écorce vers le bas. Tristan s’approcha lentement d’elle et doucement lui releva le menton à l’aide de sa main gauche. « Ne t’inquiète pas, les orages chassent les mauvais rêves Alice. Et tant que je serais là je veillerai toujours sur toi. ». L’intonation de confiance de sa voix la rendait un peu plus combattante face à ses angoisses, elle qui avait toujours su les départager seule. Derechef, sa figure paternelle la serra dans ses bras, la berçant tendrement au son de leur souffle respectifs. Ses prunelles se fermèrent alors pour laisser place à la sécurité du sommeil. Un sommeil léger qui réparait le trou béant entamé dans sa mémoire.
flash back end
Les yeux clos, elle venait de rêver d’un souvenir auquel elle n’avait pas songée il y a de cela plusieurs années. Elle ne savait pas combien de fois, elle pouvait rêver de son passé ou encore des vestiges antérieurs qui peuplaient sa mémoire, mais y repensant un léger sourire se dessina aux commissures de ses lèvres. Elle respira doucement avant de rouvrir ses prunelles, et se redressa quelque peu sur le bord du canapé du salon. Instinctivement, la jeune moldue de dix années porta son regard vers la pendule qui trônait au dessus du rebord de la fausse cheminée. Une vieillerie qui faisait bien évidement office de décoration intérieure. Un détail auquel la blondinette n’avait jamais arrêtée son attention première. Il devait être aux alentours de onze heures du matin lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait dormit trois heures d’affilées, sans pour autant se rendre compte du départ de son père adoptif. Elle soupira de son erreur, mais pour se rattraper elle décida de se mettre à la cuisine. Une tache qu’elle avait toujours appréciée en dépit du départ précipitée de sa pauvre moldue de mère, morte et enterrée. Contrairement à beaucoup de jeunes enfants, Alice avait une capacité hors du commun à pouvoir prendre sur elle diverses choses, mais également en gérer plusieurs. Présentement, elle ne lâchait guère son livre de littérature des yeux alors qu’elle était tout simplement en train de mettre de la farine dans le saladier. La lecture avait su apaiser son manque de confiance ou encore ces craintes bien que la présence de Tristan y soit pour beaucoup réellement parlant. Le temps s’écoula rapidement alors qu’elle portait son sac en bandoulière sur son épaule. La gamine toisa la cuisine d’un air sérieux : le repas de Tristan était en vue sur le comptoir de la cuisine, le feu éteint, et un mot était laissé sur le réfrigérateur. Elle attrapa son écharpe lorsque la porte d’entrée s’ouvrit sur l’identité coutumière de l’ancien serpentard. « Tu pars déjà pour ton cours de piano ? ». Lui avait il dit d’une intonation douce et souriante à souhait. La plus jeune passa devant lui en hochant son visage radieux en guise de réponse. « Tu as le temps de manger avec moi tout de même j’ai ramené du … ». Il n’eu pas le temps de terminer sa phrase qu’elle avait déjà emprunté les escaliers de l’appartement. « C’est déjà fait ne t’inquiète pas ! A tout à l’heure ! ». Il secoua amusément la tête, devant le comportement de l’enfant de sa meilleure amie. Une fois dans la cuisine, il remarqua derechef le plat que lui avait préparé la petite Ainsworth et le mot qui gisait massivement sur le frigo de la cuisine. La missive était simple mais aussi prévenante que la douceur et la sagesse de la fillette. « N’oubli pas de prendre soin de toi, j’en ferais autant. ».
Alice a l’imagination réaliste, calme, posée. Le monde des merveilles n’existe pas pour elle. Du moins son monde n’existe qu’au travers du regard de celui qui la rend plus insouciante, plus forte.
Dernière édition par G. Alice Ainsworth le Dim 6 Fév - 3:44, édité 6 fois
Sujet: Re: ☆ for every step in any walk i'll be your guide. Sam 29 Jan - 9:42
CHAPTER THREE ✎ don't become a ghost without no colour, cause you're the best paint life ever made.
« Tu es à moi Alice, plus que tu ne peux l’imaginer. Je veux encore de ta personne … ». Sa voix suave parcourait encore le fond de sa conscience et ne cessait d’embrumer son esprit vers d’autres horizons, des contrées qu’elle avait occultées depuis son départ, celui qui à jamais semblait avoir transformé tout son être. Son chanteur de rire avait disparu, son meilleur n’était plus présent, et rien que pour cela elle ne désirait qu’une seule chose, se mouvoir dans la poussière d’ange qu‘il avait laissé auprès d‘elle. La nuit avait pris possession du ciel, et le vent hivernal venait doucement mais certainement jouer dans ses cheveux d’un blond vénitien alors qu’elle observait depuis la petite colline le large étang du domaine magique. La douce présentait un visage impassible et pourtant si versatile qu’il était impossible de la comprendre à livre ouvert. Les vestiges de son passé demeuraient bien trop présent pour que le trou béant encré au fond de sa poitrine s’apaise en cet instant si douloureux, mais encore une fois aucune souffrance ne se lisait sur son visage. La passion, l’existence approuvée, la douceur rêvée, le partage réciproque, l’amour et la patience étaient toutes des vertus recommandées si vous désiriez absolument vivre aux bons soins d’une lumière un peu saine et équilibrée. La méfiance, le mouvement cartésien, le doute, l’aliénation d’un fatalisme demeuraient bel et bien des caractéristiques nécessaires pour vivre au sein de l’ombre. L’obscurité avait toujours été le bien fondé à l’intérieur duquel la mystérieuse muse avait toujours tiré sa révérence que cela soit dans sa vie antérieure ou bien en ce moment même - en d’autres termes celui de son enfance -. Elle aimait à penser que rien ne venait par l’apposition directe du destin lui-même qui se fondait sur les croyances bibliques d’un jour ou non. Un être humain dépourvu d’une âme ne pouvait que rejoindre les portes d’un Enfer dont le gardien éternel lui ouvrirait dignement le chemin du buché. Malheureusement les thèses contradictoires se voulaient pieuses et véridiques à un tel point parfois, qu’il en était difficile d’extraire de l’essence en matière de croyance et d’espoir. La lumière et l’ombre était à l’instar de la vie et la mort, deux termes intrinsèquement liés que l’on soit d’accord avec cette pensée ou non. La nuit était bien la continuité toute simple du jour et ainsi de suite comme l'expression simpliste " ainsi va la vie ". Peut être que l’existence d’un individu paumé n’était pas si fortuite après tout ? Peut être que l’opposé de votre « vous » intérieur pouvait vous donnez un sens, un but ultime à votre inconstance naturelle et peut être même que le sentiment amoureux pouvait inverser la donne, et la tendance aux questions existentielles qui tendaient à vous faire croire tout le contraire ? On a tous dans le cœur une pointe d’amertume, une douceur douloureuse qui nous rappelle à l’ordre, face au poids que portent les erreurs lourdes. Certains se souviennent combien une personne a comptée à notre cœur, un cœur qui peut disparaitre du jour au lendemain telle que la personne pour laquelle vous auriez tout donné. Cette sensation l’audacieuse l’avait déjà connue et ceux à de nombreuses reprises qui selon elles devenaient bien trop redondantes à son gout. Perdre sa mère tuait un peu plus sa mémoire, mais le départ de Dwight agrandissait encore sa peine car lui seul gardait au creux de ses mains les souvenirs d’antan qu’ils avaient partagés.
Fermant ses prunelles d’écorce l’espace de quelques minutes, Alice respira enfin une bouffée de bien être pour pouvoir enfin se concentré sur ce qui restait de sa mémoire. C’est alors que dans un mouvement délicat, elle sentit la prestance sensuelle et préméditée de Castiel se rapprocher un peu plus de son corps. Ses lèvres venant embrasser tendrement son oreille puis sa clavicule en descendant doucement vers son cou. « Tu es encore en train de rêvasser ma belle, j’aimerai moi aussi faire parti de tes songes … ». Le jeune sorcier déposa dès lors ses mains autour de la fine taille de sa camarade et la berça avec une douceur calculée. Cette dernière toujours les yeux clos, oublia avec brio les paroles qu’avait prononcé Castiel, une faculté qu’elle avait toujours eu sans le moindre problème, une action que le brun aux nombreux reflets de jais avait cependant remarqué. A pas feutrés, l’ange rigolard contourna le corps sans défaut de sa proie de manière à ce que son visage demeure en parallèle au sien. Dès lors, la mystérieuse sentit le souffle saccadé du pauvre sorcier qui pensait encore lire en elle à sa guise, mais ce soir elle n’en ferait rien du moins pas encore. Rouvrant les prunelles avec une expression de vide sans faille, elle se rapprocha encore un peu plus de lui. « Pourquoi en faire partit Castiel ? Donne-moi une seule bonne raison pour te laisser accéder à tes désirs intérieurs ? ». Sa voit digne d’un vent sibérien, permit à son interlocuteur d’être l’auteur d’un sourire ironique aux commissures de ses lèvres. Le britannique saisit doucement les mains de la blondinette et vint brutalement chercher les douces lèvres de celle qu’il convoitait depuis un certain déjà. Leur échange ne dura qu’un bref instant puisqu’elle mit un terme à leur baiser sans détour bien qu’avec une certaine prévenance. Son regard clair brillait dans la faible lumière qu’offraient les petites lumières du parc. « Je viens de jouer avec toi Castiel, comme autrefois tu as joué avec lui. Dwight est ton propre frère, vous partagez le même sang mais guère la même vision de l’existence. ». Elle se recula de quelques pas et s’apprêtait à quitter les lieux lorsque la voix coutumière de Castiel retentit tel un requiem pour l’espérance au sein de la nuit obscure. « Tu fais peut être erreur sur lui comme sur moi Alice. ». Sa voix dure comme du marbre avait toujours proféré des mensonges et de la rancœur à l’état pur, et son assertion des plus acerbes annoncée d’hors et déjà la haine de son futur venin. Il effectua de nouveau quelques pas en direction de la jeune fille, venant une énième fois coller sa bouche à son oreille gauche. « Je n’en aurais jamais finis avec toi, tu hantes mes pensées et je compte bien découvrir pourquoi, ton silence ne sera pas toujours partiel et salutaire mon ange … ». Elle soupira avec une lassitude à peine audible, laissant le vent jouer de sa musique au gré des dernières feuilles d’automne.
Dernière édition par G. Alice Ainsworth le Mer 2 Fév - 3:23, édité 3 fois
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Sujet: Re: ☆ for every step in any walk i'll be your guide. Sam 29 Jan - 9:57
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Ophélia P. Zabini (ancienne H. Tristan Ainsworth)
Sujet: Re: ☆ for every step in any walk i'll be your guide. Lun 7 Fév - 5:58
Rien à redire, c'est exactement comme ça que je voyais la relation Alice/Tristan, trop hâte de rp avec toi. Perfecto, validée à Serdaigle. Georgie viendra t'ajouter au groupe !
Spoiler:
9 points pour Gryffondor, 13 points pour Serdaigle, 3 points pour Salem, 3 pour Durmstrang, 3 pour Serpentard, 3 pour Poufsouffle