Sujet: WHITAKER ♌ please don't leave me standing here, when the winter comes. Jeu 22 Déc - 4:57
AVEC AARON JOHNSON, PAR TUMBLR.
Elliott, Tristan Whitaker
dit le bad boy.
Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa septième année au collège. Il est né à Godric's Hollow en ce beau jour qu'est le 13 juillet 2043 en tant que sang pur ; à présent il vit sur le chemin de traverse. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de lierre, mesurant trente-et-un centimètres et contenant une plume d'hippogriffe. Avec cette baguette, il est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un écureuil. Pour ajouter à son bonheur, il y a aussi la vision qu'il a eu face au miroir du Risèd : sa future famille réunie au pied d'un sapin de Noël. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Le cadavre sans vie de son grand-père, dans son cas.
the best day of my life.
MISE EN SITUATION: aucun nombre de lignes imposé. Pour les élèves de Poudlard. Quelques jours après la rentrée, les nouveaux sont arrivés, s'acclimatent comme ils peuvent à cette nouvelle école. Vous êtes posés dans le parc, lorsque vous voyez un élève de septième année chambrer un première année qui vient de Salem. Que pensez-vous ? Racontez en bref les impressions du personnage quant à ses nouveaux camarades. Curieux ? Agacé ? Indifférent ? Excité ? Pour les élèves de Beaubâtons, Durmstrang et Salem. Premier diner dans la Grande Salle. Vous pénétrez dans cet univers inconnu, majestueux, où tout le monde se connait déjà, où la routine est établie. Que ressent le personnage ? Que fait-il ? Essaie-il de se lier aux autres pendant le diner ? Quelles sont ses premières impressions sur Poudlard, sur les élèves qui y étudient ? Sont-ils accueillants, le château est-il à la hauteur de ses attentes ? Ou le contraire ?
Citation :
TON PSEUDO : Luce, Lucette. Ben ouais, c'est l'jeu ma pauvre Lucette. TON ÂGE : Dix-sept ans, deux mois et dix jours. TON AVIS SUR SONORUS ? Je suis encore là non ? SI JE TE DIS 'WHAT ELSE?' TU ME RÉPONDS : Voilà, maman, papa... Je suis miss Voluto.
Dernière édition par Elliott T. Whitaker le Jeu 5 Jan - 7:25, édité 8 fois
Sujet: Re: WHITAKER ♌ please don't leave me standing here, when the winter comes. Jeu 22 Déc - 4:58
oh, oh, it's magic, you know.
« Lâche-moi ! » « Lâche-moi ! » répéta le petit garçon.
La jolie blonde qui le suivait assena une tapette sèche à l'arrière de la tête de son cousin. Il grogna et se retourna pour tenter de lui donner un coup de pied qui n'atteignit jamais sa cible. Elle ricana tandis que le petit garçon lui tira la langue avant de reprendre sa route.
« Arrête ! Quand je vais raconter ça à grand-père, tu vas voir... » « Cafteuse ! » « Serait-ce possible ? Elliott Whitaker, troisième du nom, a retrouvé sa capacité à former des mots par lui-même ! » « Gnagna Whitaker, gnagnagna lui-même ! »
La jeune fille secoua la tête en demandant comment un être si petit (un mètre vingt-six seulement !) pouvait être si insupportable. Il ne payait rien pour attendre celui-là ! Tout en marchant, Rosalie surveillait son cousin qui s'amusait à tirer dans les pommes de pin en sifflotant. Elle accéléra le pas pour le rattraper puisqu'il prenait de l'avance. Voyant cela, le petit garçon afficha un sourire satisfait et ne ralentit pas sa course. Les deux enfants, avançaient depuis un moment dans la forêt sombre et froide de décembre. La neige n'était pas encore tombée pour Noël et le moral de l'ancienne famille de mangemorts n'était pas au plus beau. En effet, le patriarche, Herbert Whitaker, souffrait d'une maladie plutôt étrange qui touchait surtout les moldus : des métastases. La nouvelle de cette maladie moldue avait totalement retournée la famille qui avait du mal à accepter que cet homme qui avait servi la cause sorcière avec tant d'ardeur puisse être balayé de la sorte par un cancer. Tous croyaient qu'une créature moldue dévorait le grand-père Whitaker de l'intérieur et que si la magie ne pouvait pas le soigner, rien ne pourrait. Le jeune Elliott quant à lui ne comprenait clairement pas la gravité de la situation. Quand on a six ans, on est loin de ce genre de chose. Pour l'instant, son occupation favorite était de faire perdre la tête à sa cousine, qui étant la plus jeune de la famille devait s'occuper de lui. Il était insupportable ce gamin de six ans, haut comme trois pommes et sans dents de devant. Rosalie en était sûre : il lui fallait un petit frère ou une petite sœur. Il est vrai que les parents d'Elliott, Moïra et Alphard, avaient eu beaucoup de mal à mettre au monde leur premier et unique enfant et il leur était tout autant difficile d'en concevoir d'autres. Toutefois leur jeune nièce restait certaine qu'avec un autre enfant dans leur petite famille, Elliott changerait de comportement, deviendrait moins capricieux. A ce moment précis, le petit garçon avait saisit les pommes de pin avec lesquelles il s'amusait jusqu'à présent pour les jeter sur sa pauvre cousine qui tentait tant bien que mal de contenir sa colère.
« Vivement que tu ailles à Poudlard toi ! » « Vivement que tu ailles à Poudlard toi ! repris le petit garçon en imitant la voix de sa cousine. Je pourrais t'embêter encore plus comme ça ! » lança-t-il victorieusement. « Et moi, je pourrais te botter les fesses comme je voudrais car tu n'auras personne derrière qui te cacher ! » répliqua Rosalie avec un sourire.
Le petit garçon lui lança méchamment une pomme de pin qui la frôla. Il shoota dans une autre en grognant des menaces comme quoi il irait le dire à ses parents, menaces qu'il aurait oubliées avant qu'ils n'arrivent au manoir des Whitaker. Les deux enfants continuaient d'avancer entre les arbres et bientôt devant leurs yeux se dessina la silhouette d'une imposante bâtisse : le manoir Whitaker. C'était un véritable château de l'ancien temps, à l'image des rois, vieux de plusieurs siècles durant lesquels plusieurs générations de Whitaker avaient vécu. La fierté de cette ancienne famille de mangemorts les avait empêcher de laisser le patriarche rejoindre l'hôpital Sainte-Mangouste afin d'y être soigné. C'est pourquoi, toutes les semaines, les enfants faisaient l'aller puis le retour pour ramener à leur grand-père les médicaments donc il avait besoin. Bien entendu, Rosalie aurait pu tenter de transplaner pour leur éviter cette balade quotidienne mais elle était encore un peu jeune et craignait aussi de transplaner avec son cousin, même si elle en était déjà capable. Ils avancèrent jusqu'au manoir et entrèrent. Là, Elliott se précipita vers l'escalier pour rejoindre le premier étage, puis se faufiler dans la chambre de son grand-père.
« Alors, tu as réussi mon garçon ? Combien de temps cette fois ? » « Une heure tout pile ! » lui répondit le petit garçon en regardant une montre en or dont les aiguilles tournaient à une vitesse impossible. « Deux paquets de chocogrenouilles, deux ! »
Rosalie apparut dans l'encadrement de la porte et les regarda d'un air mélancolique. Herbert, la remarquant détourna son attention du petit garçon qui s'était à présent assis au bord de son lit.
« Et bien, tu n'embrasses pas ton vieux grand-père, Rosa ? » la jeune fille s'exécuta avec un petit sourire. « Deux paquets, tu dis ? Tu es sûr qu'on n'avait pas plutôt dis un seul ? »
Le petit garçon resta longtemps dans la chambre de son grand-père jusqu'à ce que celui-ce ne s'endorme et que Rosalie emmène son cousin ailleurs. Il lui montra victorieusement les chocogrenouilles qu'il avait pu remporter en jouant à divers jeux au cours de l'après-midi avec le vieux Whitaker. Ce gamin avait beau être le plus chiant du monde, il avait beau être un farceur incorrigible, ce n'était qu'un enfant. Rosalie se surprit à éprouver des remords de ne pas lui expliquer ce qui arrivait à leur grand-père. C'est à ce moment que le petit garçon choisi de crocheter les jambes de sa cousine avant de filer en courant. Elle trébucha mais pu se rattraper de justesse au premier mur qui s'offrit à elle. Elle bougonna tandis que le rire moqueur de son cousin résonna du couloir. Et finalement, la compassion qu'elle venait d'éprouver s'évapora comme glace au soleil, elle pensa plutôt que ce gosse était insupportable. Ce qu'elle ignorait, c'est que cela durerait encore longtemps.
six ans plus tard.
« Elliott, dépêche toi ! On va être en retard. » « J'arrive. » répondit simplement le garçon.
Cela faisait un an qu'Elliott avait rejoint les rangs de l'école de sorcellerie nationale, sans même que son grand-père ne le voit y entrer. La mort du vieux Whitaker avait retourné toute la famille, en particulier Elliott. Il avait beau continué à faire ses blagues, il cachait son jeu et ça, sa cousine, Rosalie, le voyait parfaitement. Ce qui était impressionnant c'était avec quel tact et quelle virtuosité il parvenait à éviter le sujet et à le détourner à son avantage. Il était plutôt bon, à l'école, en tout cas, ses notes étaient tout à fait convenables, toutefois, Rosalie, qui était devenue assistante auprès de l'infirmière de l'école pouvait facilement être au courant de ce qui se disait sur son cousin. C'était un élève dissipé, un élément perturbateur en classe. Jamais au grand jamais elle n'avait aperçu son cousin plongé dans un livre ou attelé à la rédaction d'un devoir. Il passait pour un blagueur lourd et feignant pourtant, il avait de très bons résultats sans même travailler, en apparence. Elle connaissait Elliott et elle savait que tout chez lui n'était qu'apparences, cependant, elle tentait de savoir comment il s'y prenait pour se faire passer pour ce dragueur du dimanche tout en entretenant sa scolarité à flots. Parce qu'en plus d'être un farceur, le jeune Whitaker avait déjà plusieurs conquêtes à sa liste, ce que désapprouvait totalement sa cousine. Il faut dire qu'elle était l'exception de la famille, la seule à avoir échapper à la maison Serpentard pour se retrouver chez son ennemi de toujours : Godric Gryffondor. Rosalie pensait aujourd'hui que ça avait été une bonne chose pour elle malgré le rejet que cela avait clairement suscité chez les membres de sa famille.
Dernière édition par Elliott T. Whitaker le Ven 17 Fév - 5:43, édité 17 fois
Bonnie D. Callahan
▲ LE BONOBO DE LA JUNGLE commande une armée de poux tueurs.
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Ophélia P. Zabini (ancienne H. Tristan Ainsworth)
Sujet: Re: WHITAKER ♌ please don't leave me standing here, when the winter comes. Jeu 22 Déc - 5:35
Une glace à la menthe ? Je préférerais autre chose à la menthe (et que ça se passe dans un lit). MAIS NON monsieur se contente d'une glace à la menthe. Je te cause plus.
Sujet: Re: WHITAKER ♌ please don't leave me standing here, when the winter comes. Jeu 22 Déc - 5:38
'Scuse ma belle mais JE NE SUIS PAS UN GIGOLO ! Je suis un être humain, j'ai un coeur qui bat dans le fond de ma poitrine et une âme qui vit... ARHEM, ce soir, dortoir des filles de Salem ?
Syrius S. Slyback
▲ SYSSY L’IMPÉRATRICE jette des diadèmes empoisonnés.
⊰ PARCHEMINS : 572 ⊰ INSCRIPTION : 10/10/2010 ⊰ ÂGE : 28 ⊰ CRÉDITS : class whore/tumblr. ⊰ ÂGE RPG : Seize ans. ⊰ PSEUDO : winged syrius. ⊰ COMPTE DE GRINGOTTS : 10480
STOP FOR A MINUTE ⊰ JUKEBOX: ⊰ RELATIONSHIPS: ⊰ DOUBLE-COMPTE: Cohnaan C. Callahan
Sujet: Re: WHITAKER ♌ please don't leave me standing here, when the winter comes. Jeu 22 Déc - 5:40
LILWEEN EST UN HOMME, LILWEEN EST UN HOOOOOOOOOOMME Et sacrément sexy d'ailleurs. Re-Bienvenue Elliott d'amour