dit(e) x La sainte-nitouche






Extrait un :

Le bureau de ma mère endroit qui m'étais interdit durant le passé et que je m'étais bien gardé de franchir le seuil de la porte, oui je respectais les règles, si celle-ci sont instaurée elles ne sont pas faites pour être enfreint non? C'était le monde de ma mère là où elle passait le plus clair de ses journées. Le travail, ma mère était fascinée par son boulot, des fois me délaissant pour celui-ci, même si elle travaillait à la maison elle réussissait à ne pas me voir pendant une journée entière et à pendant ses moments il fallait ne surtout pas la déranger, bien que je savais que ma mère m'aimait je lui en voulais beaucoup de me délaisser pour ses recherches. Mais comment pourrais-je lui faire comprendre moi petite fille de huit ans seulement et surtout quand on est à moitié Granger, ma mère avait hérité de sa grande détermination et de se tuer au travail jusqu'à qu'elle trouve ce qu'elle cherchait, seul soucis dans la recherche c'est que l'on ne finit jamais, comme me la souvent dit grand-mère. Car quand ce n'était pas mon père qui s'occupait de moi, c'était elle qui s'occupait de moi, me rejoignant directement dans ma chambre quand elle venait pour me garder. Selon elle j'avais héritée de sa manie à ce poser beaucoup de trop de questions et déjà jeune je lisais beaucoup beaucoup trop pour mon âge, me plonger le plus souvent dans des comtes, autant sorcier que moldu, développent mon imagination devenue presque farfelue.

J'étais fière, oui, fière de faire partie de cette famille qui avait tellement donnée durant une certaine époque sombres dans le monde magique, certain de ma famille on donnait leurs vies, leur temps, leurs jeunesses grandissant trop vite. Je demandais souvent à Grand-mère de me raconter cette époque de sa vie, la voyant comme une héroïne au même titre qu'Harry Potter. Devenant admirative de sa grande intelligence et de son savoir, oui c'est sur elle que je prenais exemple.


Extrait Deux:
Poudlard, la si prestigieuse école de magie, celle qui avait vu défiler mes ancêtres, mes grands-parents, mes parents et maintenant c'était mon tour, à mon tour de franchir les immenses porte en chêne, de m'enrichir, de dévorer tous les livres de la bibliothèque de devenir une grande sorcière, oui je voulais devenir une grande sorcière connue. Mais j'étais inquiète, oui moi Pandora-Swann Hermione Thomas je suis inquiète, dans quelle maison j'allais faire mes années à Poudlard, je vous aurais bien répondu tout de suite Griffondor, toute ma famille reliée directement à moi y ayant fait leurs études, mais moi je me sentais différente, différente du courage des lions, si j'avais posé la question à mon père il m'aurait dit que je ferais sans doute partis de Serdaigle là où vont les érudit, mais je ne sais pas, je sens que je ne me sentirais pas à ma place comment vous expliquer bien que j'aime apprendre, il y avait autre chose en moi, de l'ambition une grande ambition et une détermination grandissante en moi et c'est deux choses ne sont pas les qualification distinct de la maison des verts et argents avec la ruse. Mais comment parler à qui que ce soit de mes craintes, si je disais que je me verrais bien chez les vert, je suis sûr que ma famille me rirait au nez et me regarderais différemment que maintenant comment faire ...

Extrait trois:

Les Garçons, un sujet qui m'importe peu, franchement je m'en fou complètement, bien que j'ai des amis du sexe opposé, je ne m'intéresse pas plus que cela a eu à par de leur amitié, malgré les protestations de mes amis, qui trouve que je devrais un peu plus m'interesser à moi-même, mais à quoi bon, pour le moment j'ai un seul but dans ma tête réussir à devenir une grande sorcière, sans doute même être une des premières femmes à devenir ministre de la magie pourquoi pas cela serait très plaisant...

Plusieurs de mes amies, ne me comprennent, " comment une fille comme toi aussi jolie, n'est pas intéressé par la gente masculine" et bien j'ai bien envie de leur dire que c'est bien possible, ce n'est pas moi, ce n'est pas pour moi, je ne saurais pas aimer ou alors est-ce que j'ai peur d'aimer tout simplement je ne sais pas trop...


"Je vais prendre l'air Danaé on se rejoint plus tard" Celle-ci me fit un simple signe de la main et rentra dans le château en direction de notre salle commune. Cela me prenait assez souvent de vouloir prendre l'air me retrouver seule, la solitude m'apaiser j'avais besoin de ma dose quotidienne de solitude, cela peut paraitre stupide mais c'est comme ça je n'y peut rien c'est un besoin peut être futile mais c'est un de mes besoins à moi. Lentement je me dirigeais à ma place mon endroit du parc où j'étais sur de me retrouver seule, en plus avec l'arriver des nouveaux de plusieurs écoles le château était encore plus bondé et j'avais l'impression de me sentir oppresser, comme si j'étouffais.

Aujourd'hui le soleil bien que timide réchauffé un peu l'atmosphère de ce temps de septembre, c'est fou comme le paysage du parc ne change pas d'année en année, toujours les mêmes odeurs, d'herbe d'eau, du vent qui s'immisce entre les branches des arbres.

Arriver dans mon petit coin de calme, en dessous d'un grand chêne et tout près du grand lac, ici la vu était tout simplement magnifique et le calme était tout simplement apaisant, réconfortant et dans ces condition quoi de mieux que d'étudier, c'est ainsi que je sortis de mon sac mon cours de potion près à faire l'immense parchemin que le professeur nous avait demandé pour la semaine d'après, oui je m'avance et alors.

Je commençais à écrire le premier mot de mon devoir quand des voix attiréres mon attention, un septième année qui discute avec un première année de salem quoi de mieux pour l'intégrer dans le système scolaire anglais, je me concentre une nouvelle fois quand, cette fois des cris me sorte de ma concentration et me faisant faire un très de frustration sur mon parchemin. Je lève les yeux observe les deux intrus ,mais ce n'est pas ce que je croyais, enfaîte les septième année était en train de martyriser le salemnien, pas que je m'intéressais du sort de se première année loin de là ,mais ils m'empêchaient de travailler et cela était tout simplement impardonnable.
Je me lève d'un pas rapide et me dirige vers les deux intrus, je tire le premier année derrière moi et regarde avec colère et mépris le septième année devant moi " Tu ne voudrais pas aller martyriser ta proie ailleurs ? " Celui-ci eu un petit rire et se rapprocha de moi jouant de sa grande taille croyant qu'il pourrait m'intimider " Mèle toi de tes affaires Thomas" Je le repousse du doigt " pas quand cela se fait dans mon espace vitale, alors toi et ce minable vous dégagez de là" et sans demander mon reste je retournais à ma place me rasseyant rageusement et attrapant mon livre, enfin du calme

Citation :

TON PSEUDO: HendlessLove
TON ÂGE:dix-sept année
TON AVIS SUR SONORUS?franchement super !
SI JE TE DIS 'WHAT ELSE?' TU ME RÉPONDS: Nespresso ?!